Le fabricant Camsports a annoncé aujourd'hui le renouvellement du vaisseau amiral de ses caméras embarquées. L'Evo Pro 2 succède ainsi à l'Evo 1080 Pro lancée il y a un peu moins d'un an.
L'Evo Pro 2 reprend la conception tubulaire de sa prédécesseur mais elle est présentée comme « deux fois plus puissante ». C'est en fait le taux de l'encodage AVC/H.264 qui est doublé, et porté à 15 Mb/s, ce qui promet une meilleure gestion des couleurs mais aussi des mouvements, ce qui n'est pas anodin pour une caméra à vocation sportive.
Cette caméra made in France n'a pas la prétention de rivaliser avec la GoPro ou d'autres références du segment en terme de qualité d'image, mais elle présente plusieurs autres avantages.
Elle est pour commencer moitié moins chère. Elle est aussi et surtout plus compacte et plus légère, puisqu'elle mesure 85 mm de long et 24 mm de diamètre pour 65 g seulement. Sa coque en aluminium est néanmoins antichoc et étanche à 10 m sans caisson supplémentaire.
Sur le plan technique, cette caméra est dotée d'un capteur CMOS à 5 millions de pixels, surmonté d'une lentille grand angle à 135°, qui tourne pour s'adapter à n'importe quelle orientation sans accessoire. À défaut d'écran LCD ou de visée déportée par Wi-Fi, un laser aide à cadrer. La caméra enregistre en Full HD 1080/30p ou en HD 720/60p sur une carte mémoire microSDHC d'un maximum de 32 Go. Enfin plusieurs modes et paramètres sont disponibles (time-lapse, balance des blancs, etc.), mais ils requièrent l'édition d'un fichier texte à la racine de la carte mémoire.
La Camsports Evo Pro 2 est disponible dès à présent en France. Un « Starter Pack » incluant une fixation adhésive et trois supports velcro est proposé pour 200 euros. Un « Performer Pack » ajoutant une télécommande sans fil est vendu 230 euros, et un « Explorer Pack » ajoutant encore une batterie, portant l'autonomie de 75 minutes à 5 heures, est enfin vendu 270 euros.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
Rejoignez la communauté des passionnés de nouvelles technologies. Venez partager votre
passion et débattre de l’actualité avec nos membres qui s’entraident et partagent leur
expertise quotidiennement.
