En annonçant sa manette de jeu Xbox One Elite lors de l'E3, Microsoft avait surpris son monde avec une manette très haut de gamme proposée à 149 euros TTC. Un prix peu courant qui s'explique par des prestations inédites pour ce contrôleur sans fil, livré dans un bel écrin, et largement personnalisable à son goût avec divers boutons remplaçables et des gâchettes à la course réglable.
Depuis son lancement début novembre, la manette est en rupture de stock en France. Une situation qui s'étend à d'autres pays qui semblaient jusqu'ici épargnés. Ainsi Amazon n'a plus de stock, hors MarketPlace, ni en France ni aux Etats-Unis. Le Microsoft Store officiel... est lui aussi en rupture de stock. Comme la plupart des autres marchands référençant la manette. Du coup le cours de celle-ci a tendance à s'envoler sur le marché parallèle ou des vendeurs la propose à un tarif qui flirte avec les 200 euros.
Microsoft est au courant de la situation de pénurie sur ce produit et a indiqué à nos confrères de Tech Insider :
« Bien que la manette Xbox One Elite soit en rupture chez de nombreux revendeurs à travers le monde, nous travaillons le plus rapidement possible pour livrer plus d'unités à nos fans. Chaque semaine de nouvelles unités devraient arriver chez les revendeurs mais le stock sera limité jusqu'en mars 2016. »
Vous voilà donc prévenu si vous convoitez cette manette : il vous faudra encore de la patience. Petit espoir tout de même : Amazon indique sur son site français un stock attendu pour le 15 janvier 2016.
Passionné d'informatique depuis mon premier Amstrad 3086 XT et son processeur à 8 MHz, j'officie sur Clubic.com depuis ses presque débuts. Si je n'ai rien oublié d'Eternam, de MS-DOS 3.30 et de l'ineffable Aigle d'Or sur TO7, je reste fasciné par les évolutions constantes en matière de high-tech. Bercé par le hardware pur et dur, gourou ès carte graphique et CPU, je n'en garde pas moins un intérêt non feint pour les produits finis, fussent-ils logiciels. Rédacteur en chef pour la partie magazine de Clubic, je fais régner la terreur au sein de la rédaction ce qui m'a valu quelques surnoms sympathiques comme Judge Dredd ou Palpatine (les bons jours). Mon environnement de travail principal reste Windows même si je lorgne souvent du côté de Mac OS X.
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