Sony comble finalement l'une des lacunes de la PlayStation 4 avec le lancement d'une télécommande, universelle qui plus est, l'« Universal Media Remote for PS4 ».
Certes, la PlayStation 4 est la console « pour les joueurs ». C'est le slogan qu'a trouvé Sony pour la différencier de la Xbox One, qui se veut plus polyvalente. Pourtant, tout comme la PlayStation 3, la PS4 est le lecteur de Blu-ray et la passerelle multimédia de nombreux consommateurs.
Jusqu'à présent, Sony ne proposait pas d'alternative à la manette DualShock 4 aux utilisateurs non-joueurs. Alors qu'une télécommande fut l'un des premiers accessoires officiels de la PlayStation 3. Deux ans après le lancement de la PS4, la marque comble enfin cette lacune.
Suite à une apparition prématurée sur Amazon, Sony lance finalement, dans un premier temps aux États-Unis, au Canada et au Mexique, l'Universal Media Remote for PlayStation 4, la télécommande média universelle pour PlayStation 4. Comme prévu, elle remplace avantageusement une manette dans le menu principal et dans les applications multimédia les plus populaires. Elle est entièrement compatible avec la fonction lecteur de Blu-ray, avec le lecteur de médias, ainsi qu'avec des applications comme Netflix, YouTube, PlayStation Video, etc. PlayStation Music en revanche, c'est-à-dire Spotify, n'est pas encore listé.
Cet accessoire officiel présente l'intérêt de pouvoir réveiller la console, contrairement à d'autres télécommandes universelles Bluetooth telles que la Logitech Harmony Elite. Dotée d'un émetteur infrarouge, elle peut télécommander trois autres appareils : un téléviseur, un amplificateur AV et un décodeur TV.
Cette Universal Media Remote for PS4 sera disponible d'ici la fin du mois, dans les pays précités, au prix public de 30 dollars HT (l'équivalent de 32 euros TTC).
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
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