Après s'être illustré avec la gamme Zeppelin, Bowers & Wilkins revient sur le marché de l'enceinte sans fil avec deux modèles plus conventionnels, les A7 et A5, qui misent quant à eux sur leur grande sobriété.
Contrairement aux Zeppelin, les enceintes B&W de la série A se passent de station d'accueil iPod/iPhone, sur fond de cohabitation de deux connecteurs différents, si bien que rien ne vient perturber leur apparence quasi monolithique.
Ils disposent donc d'une connectivité Wi-Fi, mais aussi Ethernet, permettant de les relier au réseau local pour diffuser avec ou sans fil de la musique issue d'un terminal iOS (iPhone, iPad ou iPod Touch) ou d'un ordinateur exécutant iTunes, au travers du protocole AirPlay. Au dos de chacune des enceintes, on trouve néanmoins une entrée auxiliaire 3,5 mm, permettant de connecter n'importe quelle source, et même une entrée USB 2.0 sur l'A7, permettant de la relier directement à un ordinateur (pilote générique USB Audio Class).
Les A7 et A5 se distinguent exclusivement par leur taille et donc par leur puissance. Pour une fois chez un fabricant haut de gamme, des données chiffrées complètent les superlatifs :
l'A7 abrite deux haut-parleurs de 25 mm et 25 W pour les aigus, deux de 75 mm et 25 W pour les médiums et un de 150 mm et 50 W pour les graves
l'A5 quant à elle abrite deux haut-parleurs de 25 mm et 20 W pour les aigus et deux de 100 mm et 20 W pour le reste du spectre
Les enceintes « Bowers & Wilkins A7 » et « A5 » seront commercialisées en France à partir du mois d'octobre. Facturées respectivement 800 et 500 euros, elles encadreront le Zeppelin Air qui est au prix public de 600 euros.
360 x 220 x 160 mm pour 5,7 kg / 300 x 180 x 120 mm pour 3,6 kg
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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