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Nous avions déjà évoqué dans une précédente brève la propagation du nouveau virus/ver qui se chargerait vous souhaiter par email ses meilleurs voeux à l'aide d'une pièce jointe vérolée (voir l'actualité Le virus/ver qui vous souhaite la bonne année). Désormais, on sait que ce virus pour la nouvelle année cache surtout un concept plutôt ingénieux pour rendre un peu plus riche son créateur.
Ainsi, le ver « Nuwar.B » qui continue de propager se présente toujours sous un email nommé « Happy New Year » et accompagné d'une pièce jointe vérolée baptisée « postcard.exe ». Si cette pièce jointe est ouverte, le PC est transformé en un PC zombie, chargé de relayer des Spams. En plus du message « Happy New Year », le Troyen Spammer.EN que contient « postcard.exe » se charge aussi d'envoyer des emails censés convaincre leurs destinataires d'acheter les actions de certaines sociétés cotées en bourse.
L'auteur de ce virus/ver aurait donc acheté un grand nombre d'actions en bourse liées à ces sociétés avant de concevoir son programme. Il espérait certainement qu'un grand nombre d'internautes se laisseront convaincre par sa supercherie numérique en achetant les actions concernées, ce qui aurait pu avoir comme conséquence de faire monter rapidement la valeur des actions. En vendant ses actions achetées à un prix « normal », l'auteur du virus aurait ainsi pu empocher une belle plus-value.
Une méthode simple, ingénieuse et fourbe qui démontre comment un virus peut être utilisé à des fins purement pécuniaires.
Ainsi, le ver « Nuwar.B » qui continue de propager se présente toujours sous un email nommé « Happy New Year » et accompagné d'une pièce jointe vérolée baptisée « postcard.exe ». Si cette pièce jointe est ouverte, le PC est transformé en un PC zombie, chargé de relayer des Spams. En plus du message « Happy New Year », le Troyen Spammer.EN que contient « postcard.exe » se charge aussi d'envoyer des emails censés convaincre leurs destinataires d'acheter les actions de certaines sociétés cotées en bourse.
L'auteur de ce virus/ver aurait donc acheté un grand nombre d'actions en bourse liées à ces sociétés avant de concevoir son programme. Il espérait certainement qu'un grand nombre d'internautes se laisseront convaincre par sa supercherie numérique en achetant les actions concernées, ce qui aurait pu avoir comme conséquence de faire monter rapidement la valeur des actions. En vendant ses actions achetées à un prix « normal », l'auteur du virus aurait ainsi pu empocher une belle plus-value.
Une méthode simple, ingénieuse et fourbe qui démontre comment un virus peut être utilisé à des fins purement pécuniaires.
