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Les six opérateurs titulaires d'une licence UMTS allemande pourront partager certaines de leurs infrastructures : stations-relais, pylônes et antennes.
L'autorité allemande de régulation des télécoms (Reg TP - Regulierungsbehoerde für Telekommunikation und Post) autorise les six opérateurs titulaires d'une licence de troisième génération à partager une partie de leurs infrastructures.
Cette décision doit permettre aux opérateurs de réduire leurs dépenses de développement. Les économies globales sont estimées à 14 milliards d'euros par le Financial Times.
Les six opérateurs concernés ont investi plus de 50 milliards d'euros dans ces licences UMTS et devraient ajouter 8 milliards d'euros de plus chacun pour la construction des réseaux... La situation n'est pas la même pour tous cependant.
Le partage des infrastructures devrait permettre à Viag Interkom, 4ème opérateur de téléphonie mobile allemand contrôlé par British Telecom, de générer une baisse de 20 à 30% de ses dépenses.
Les opérateurs Mobilcom (filiale de France Télécom) et du Groupe 3G, détenu par l'Espagnol et le Finlandais Sonera, auront vraisemblablement de plus lourdes dépenses, leurs réseaux doivent être entièrement construits.
A l'inverse, Mannesmann, filiale du Britannique Vodafone, et Deutsche Telekom géants de la téléphonie allemande, disposent déjà d'une infrastructure réseau de 2e génération, leurs coûts de développement seront par conséquent moins importants.
Il semble bien que Vodafone et T-Mobile, 2ème opérateur de téléphonie mobile du pays, soient les mieux placés sur le marché allemand de l'UMTS.
Pour rassurer les uns et les autres, l'autorité RegTP a rappelé que toute «coopération» entre opérateurs devait s'inscrire dans le cadre fixé lors de l'attribution des licences UMTS en 2000.
L'autorité allemande de régulation des télécoms (Reg TP - Regulierungsbehoerde für Telekommunikation und Post) autorise les six opérateurs titulaires d'une licence de troisième génération à partager une partie de leurs infrastructures.
Cette décision doit permettre aux opérateurs de réduire leurs dépenses de développement. Les économies globales sont estimées à 14 milliards d'euros par le Financial Times.
Les six opérateurs concernés ont investi plus de 50 milliards d'euros dans ces licences UMTS et devraient ajouter 8 milliards d'euros de plus chacun pour la construction des réseaux... La situation n'est pas la même pour tous cependant.
Le partage des infrastructures devrait permettre à Viag Interkom, 4ème opérateur de téléphonie mobile allemand contrôlé par British Telecom, de générer une baisse de 20 à 30% de ses dépenses.
Les opérateurs Mobilcom (filiale de France Télécom) et du Groupe 3G, détenu par l'Espagnol et le Finlandais Sonera, auront vraisemblablement de plus lourdes dépenses, leurs réseaux doivent être entièrement construits.
A l'inverse, Mannesmann, filiale du Britannique Vodafone, et Deutsche Telekom géants de la téléphonie allemande, disposent déjà d'une infrastructure réseau de 2e génération, leurs coûts de développement seront par conséquent moins importants.
Il semble bien que Vodafone et T-Mobile, 2ème opérateur de téléphonie mobile du pays, soient les mieux placés sur le marché allemand de l'UMTS.
Pour rassurer les uns et les autres, l'autorité RegTP a rappelé que toute «coopération» entre opérateurs devait s'inscrire dans le cadre fixé lors de l'attribution des licences UMTS en 2000.
