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Après Universal, EMI est prêt à distribuer les titres de son catalogue via SpiralFrog, nouveau service de téléchargement gratuit financé par la publicité.
La jeune pousse new-yorkaise SpiralFrog a indiqué mercredi 6 septembre 2006 avoir signé un nouveau contrat avec une major du disque : EMI.
Une semaine après avoir passé contrat avec Universal Music Group, filiale du français Vivendi, SpiralFrog signe un accord similaire avec EMI. La maison de disques va donc distribuer les titres de son catalogue via ce nouveau kiosque de musique en ligne.
Financé par la publicité, ce service devrait être activé en décembre 2006. Spiralfrog.com permettra aux internautes installés au Canada et aux Etats-Unis de télécharger gratuitement et légalement de la musique sur Internet.
Chaque titre gratuitement téléchargé devrait être associé d'une publicité de 90 secondes. La musique sera vraisemblablement protégée par un DRM Windows Media, il sera par conséquent impossible de la lire sur un baladeur iPod d'Apple.
La firme de Steve Jobs, grâce à la complémentarité quasi-exclusive entre son iPod et son kiosque iTunes Music Store, domine le secteur du téléchargement légal de musique avec une part de marché d'environ 80%. Sur ce marché, Spiralfrog.com se présente comme une alternative légale "gratuite" au modèle payant tel que le pratique Apple.
Concurrencer les ténors de la musique en ligne peut être un objectif pour SpiralFrog, mais il s'agit surtout de générer des revenus à travers la publicité et d'éloigner les internautes de l'échange illégal de fichiers par le biais du P2P.
"C'est un concept très intéressant [...] Chaque fois qu'il sera possible de créer une nouvelle source de revenus pour nos artistes et de lutter contre le piratage sur Internet, on verra EMI mener la charge", a déclaré Roger Faxon, co-DG d'EMI Music Publishing.
La pression devrait s'intensifier sur Apple avec l'arrivée de "nouveaux" concurrents : SpiralFrog, MySpace (le réseau social proposera en téléchargement les oeuvres de 3 millions de groupes indépendants) et, surtout, Microsoft avec son baladeur Zune.
La jeune pousse new-yorkaise SpiralFrog a indiqué mercredi 6 septembre 2006 avoir signé un nouveau contrat avec une major du disque : EMI.
Une semaine après avoir passé contrat avec Universal Music Group, filiale du français Vivendi, SpiralFrog signe un accord similaire avec EMI. La maison de disques va donc distribuer les titres de son catalogue via ce nouveau kiosque de musique en ligne.
Financé par la publicité, ce service devrait être activé en décembre 2006. Spiralfrog.com permettra aux internautes installés au Canada et aux Etats-Unis de télécharger gratuitement et légalement de la musique sur Internet.
Chaque titre gratuitement téléchargé devrait être associé d'une publicité de 90 secondes. La musique sera vraisemblablement protégée par un DRM Windows Media, il sera par conséquent impossible de la lire sur un baladeur iPod d'Apple.
La firme de Steve Jobs, grâce à la complémentarité quasi-exclusive entre son iPod et son kiosque iTunes Music Store, domine le secteur du téléchargement légal de musique avec une part de marché d'environ 80%. Sur ce marché, Spiralfrog.com se présente comme une alternative légale "gratuite" au modèle payant tel que le pratique Apple.
Concurrencer les ténors de la musique en ligne peut être un objectif pour SpiralFrog, mais il s'agit surtout de générer des revenus à travers la publicité et d'éloigner les internautes de l'échange illégal de fichiers par le biais du P2P.
"C'est un concept très intéressant [...] Chaque fois qu'il sera possible de créer une nouvelle source de revenus pour nos artistes et de lutter contre le piratage sur Internet, on verra EMI mener la charge", a déclaré Roger Faxon, co-DG d'EMI Music Publishing.
La pression devrait s'intensifier sur Apple avec l'arrivée de "nouveaux" concurrents : SpiralFrog, MySpace (le réseau social proposera en téléchargement les oeuvres de 3 millions de groupes indépendants) et, surtout, Microsoft avec son baladeur Zune.