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L'industrie américaine du disque, après avoir attaqué en justice Sirius, porte plainte contre son concurrent : XM Radio Satellite.
Après le P2P, la RIAA s'attaque à XM, premier diffuseur américain de radio numérique par satellite.
Le modèle économique d'XM Satellite Radio est-il trop bien huilé ?
Pour un abonnement de 12,95$ par mois, les amateurs nord-américains accèdent à domicile, en balade ou en voiture, à plus de 170 canaux, flux musicaux, actualités, débats, sports ou divertissements, c'est au choix.
Les récepteurs 'XM Ready' sont vendus sur le site Internet d'XM et par de grands distributeurs aux Etats-Unis (Best Buy, J&R, WalMart, Sears,Target, etc.) Cerise sur le gâteau, les internautes du haut débit à travers le monde peuvent également bénéficier d'XM Radio (http://listen.xmradio.com).
L'industrie américaine du disque apprécie peu.
Au cœur de la polémique : les baladeurs Helix de Samsung et Inno de Pioneer vendus sur le site Internet d'XM Satellite Radio sous l'appellation XM2go. A la fois récepteurs radio et baladeurs numériques (MP3/WMA), ces appareils nomades permettent d'écouter et d'enregistrer les programmes diffusés par XM, jusqu'à 50h.
La RIAA estime que, sous le prétexte du droit à la copie privée, XM Radio bafoue le droit d'auteur, pratique la diffusion numérique illégale et ne respecte pas les règles du jeu concurrentiel.
XM Radio ne reverse aucun droit à l'industrie du disque pour ce type d'utilisation, à l'inverse de services en ligne comme iTunes, Realmusic, Napster. Pour sa défense, XM argue que les fichiers enregistrés ne peuvent être exportés et sont inaudibles une fois l'abonnement arrivé à terme.
L'argument ne satisfait pas la RIAA. L'organisation a porté plainte auprès d'une cour fédérale de New York. Elle souhaite obtenir jusqu'à 150.000 dollars par titre (XM Radio diffuse 160.000 titres par mois et compte environ 6,5 millions d'auditeurs).
Sirius, l'unique concurrent d'XM aux Etats-Unis, est également dans la ligne de mire de la RIAA.
Après le P2P, la RIAA s'attaque à XM, premier diffuseur américain de radio numérique par satellite.
Le modèle économique d'XM Satellite Radio est-il trop bien huilé ?
Pour un abonnement de 12,95$ par mois, les amateurs nord-américains accèdent à domicile, en balade ou en voiture, à plus de 170 canaux, flux musicaux, actualités, débats, sports ou divertissements, c'est au choix.
Les récepteurs 'XM Ready' sont vendus sur le site Internet d'XM et par de grands distributeurs aux Etats-Unis (Best Buy, J&R, WalMart, Sears,Target, etc.) Cerise sur le gâteau, les internautes du haut débit à travers le monde peuvent également bénéficier d'XM Radio (http://listen.xmradio.com).
L'industrie américaine du disque apprécie peu.
Au cœur de la polémique : les baladeurs Helix de Samsung et Inno de Pioneer vendus sur le site Internet d'XM Satellite Radio sous l'appellation XM2go. A la fois récepteurs radio et baladeurs numériques (MP3/WMA), ces appareils nomades permettent d'écouter et d'enregistrer les programmes diffusés par XM, jusqu'à 50h.
La RIAA estime que, sous le prétexte du droit à la copie privée, XM Radio bafoue le droit d'auteur, pratique la diffusion numérique illégale et ne respecte pas les règles du jeu concurrentiel.
XM Radio ne reverse aucun droit à l'industrie du disque pour ce type d'utilisation, à l'inverse de services en ligne comme iTunes, Realmusic, Napster. Pour sa défense, XM argue que les fichiers enregistrés ne peuvent être exportés et sont inaudibles une fois l'abonnement arrivé à terme.
L'argument ne satisfait pas la RIAA. L'organisation a porté plainte auprès d'une cour fédérale de New York. Elle souhaite obtenir jusqu'à 150.000 dollars par titre (XM Radio diffuse 160.000 titres par mois et compte environ 6,5 millions d'auditeurs).
Sirius, l'unique concurrent d'XM aux Etats-Unis, est également dans la ligne de mire de la RIAA.
