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L'Autorité de régulation des télécommunications (ART) a rendu public vendredi dernier son tableau de bord du dégroupage au 1er juin 2003.
Pour mémoire, l'accès dégroupé au réseau local "consiste à permettre aux nouveaux opérateurs d'utiliser le réseau local de l'opérateur historique, France Télécom, constitué de paires de fils de cuivre, pour desservir directement leurs abonnés."
En France, sur plus de 34 millions de lignes téléphoniques fixes, 37 904 étaient partiellement dégroupées début juin, contre 16 847 début avril 2003. Ces chiffres émanent des opérateurs, France Télécom et "les privés", précise l'ART dans son communiqué.
La progression est remarquable "après six mois d'existence de ces offres". En effet, depuis décembre 2002, des offres d'accès à l'Internet haut débit via l'ADSL (asymmetric digital Subscriber line), offres résidentielles basées sur le dégroupage, sont proposées au grand public par des opérateurs privés tels que Free et 9Telecom.
Néanmoins, ces lignes concernent toujours, pour la majorité, Paris et sa banlieue, les villes de Lyon, Marseille et Nice. Bref, les grosses agglomérations françaises...
Pour sa part, l'ART reste positive et souligne que le développement du dégroupage partiel dans d'autres zones, déjà équipées pour, "est en cours". Depuis le 1er avril dernier, 17 nouveaux sites de dégroupage auraient été "livrés aux opérateurs alternatifs sur sept villes", soit au total 193 sites livrés sur le territoire national (à Paris et sur 20 villes de province).
Ce déploiement s'appuie sur une offre d'hébergement des équipements des opérateurs privés dans des "espaces dédiés" intégrés aux salles de l'opérateur historique, soit en accès partagé.
Quant au dégroupage total de la boucle locale, effectif depuis plus d'un an, il s'établit à 2 324 lignes au 1er juin 2003 (sur un total de 40 228 lignes dégroupées), contre 1 610 lignes au 1er avril dernier (+714 lignes).
Bien que progressive, la croissance du nombre de lignes totalement dégroupées a été plus marquée sur la période que de février à avril 2003 (+197 lignes). La "totale" doit permettre aux opérateurs entrants de proposer "des offres à forte valeur ajoutée aux seules entreprises ."
Pour mémoire, l'accès dégroupé au réseau local "consiste à permettre aux nouveaux opérateurs d'utiliser le réseau local de l'opérateur historique, France Télécom, constitué de paires de fils de cuivre, pour desservir directement leurs abonnés."
En France, sur plus de 34 millions de lignes téléphoniques fixes, 37 904 étaient partiellement dégroupées début juin, contre 16 847 début avril 2003. Ces chiffres émanent des opérateurs, France Télécom et "les privés", précise l'ART dans son communiqué.
La progression est remarquable "après six mois d'existence de ces offres". En effet, depuis décembre 2002, des offres d'accès à l'Internet haut débit via l'ADSL (asymmetric digital Subscriber line), offres résidentielles basées sur le dégroupage, sont proposées au grand public par des opérateurs privés tels que Free et 9Telecom.
Néanmoins, ces lignes concernent toujours, pour la majorité, Paris et sa banlieue, les villes de Lyon, Marseille et Nice. Bref, les grosses agglomérations françaises...
Pour sa part, l'ART reste positive et souligne que le développement du dégroupage partiel dans d'autres zones, déjà équipées pour, "est en cours". Depuis le 1er avril dernier, 17 nouveaux sites de dégroupage auraient été "livrés aux opérateurs alternatifs sur sept villes", soit au total 193 sites livrés sur le territoire national (à Paris et sur 20 villes de province).
Ce déploiement s'appuie sur une offre d'hébergement des équipements des opérateurs privés dans des "espaces dédiés" intégrés aux salles de l'opérateur historique, soit en accès partagé.
Quant au dégroupage total de la boucle locale, effectif depuis plus d'un an, il s'établit à 2 324 lignes au 1er juin 2003 (sur un total de 40 228 lignes dégroupées), contre 1 610 lignes au 1er avril dernier (+714 lignes).
Bien que progressive, la croissance du nombre de lignes totalement dégroupées a été plus marquée sur la période que de février à avril 2003 (+197 lignes). La "totale" doit permettre aux opérateurs entrants de proposer "des offres à forte valeur ajoutée aux seules entreprises ."
