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Après Linux, un autre logiciel libre éveille la convoitise des investisseurs. Editeur de la base de donnée opensource éponyme, la jeune pousse suédoise MySQL AB annonce une levée de fonds de 19,5 millions de dollars auprès des fonds d'investissement Benchmark Capital et Index Ventures.
Souvent proposée dans le cadre d'une architecture "LAMP" (Linux + Apache + MySQL + PHP), cette base de donnée est disponible depuis quelques années sous licence GPL, ce qui lui a permis de connaitre un succès planétaire (elle équipe 4 millions de serveurs web), au point de faire de l'ombre à des géants comme Oracle ou DB2 d'IBM.
Mais MySQL est également disponible sous des versions commerciales, pour les entreprises ne souhaitant pas subir les contraintes de la licence GPL. La société édite également des services de support ou de certification et s'est engagé dans des partenariats avec des poids lourds de l'informatique comme l'allemand .
A l'instar de RedHat, Debian ou MandrakeSoft, les principaux éditeurs commerciaux de Linux, MySQL AB devrait donc poursuivre un modèle de développement original mixant la philantropie du logiciel libre et les réalités du capitalisme électronique.
Souvent proposée dans le cadre d'une architecture "LAMP" (Linux + Apache + MySQL + PHP), cette base de donnée est disponible depuis quelques années sous licence GPL, ce qui lui a permis de connaitre un succès planétaire (elle équipe 4 millions de serveurs web), au point de faire de l'ombre à des géants comme Oracle ou DB2 d'IBM.
Mais MySQL est également disponible sous des versions commerciales, pour les entreprises ne souhaitant pas subir les contraintes de la licence GPL. La société édite également des services de support ou de certification et s'est engagé dans des partenariats avec des poids lourds de l'informatique comme l'allemand .
A l'instar de RedHat, Debian ou MandrakeSoft, les principaux éditeurs commerciaux de Linux, MySQL AB devrait donc poursuivre un modèle de développement original mixant la philantropie du logiciel libre et les réalités du capitalisme électronique.
