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L'Autorité de régulation des télécommunications (ART) a publié jeudi son Observatoire des marchés des services télécoms pour le troisième trimestre 2002.
Le chiffre d'affaires du marché des clients finals a progressé de 1,3% entre le troisième trimestre 2001 et la même période en 2002, et la progression en volume a été de 5,2% sur un an.
Globalement, les services de téléphonie fixe stagnent, Internet progresse et les services mobiles "soutiennent la croissance".
En une année, le marché de la téléphonie mobile a augmenté de 15% en valeur et de 17,2% en volume.
La facture mensuelle moyenne de l'abonné 'mobile' en France s'est élevée à 26,70 euros, soit une augmentation de 3,3% sur un an, précise l'ART. Quant à la consommation mensuelle moyenne par abonné, elle a atteint 113,8 minutes de communications, soit une hausse de 5,4% entre le troisième trimestre 2001 et le troisième trimestre 2002.
De plus, chaque abonné a envoyé 13 SMS par mois en moyenne, soit une progression de 64,5% en un an. Au cours du troisième trimestre 2002 près de 1,5 milliard de messages 'texte' courts ont été transmis !
A l'heure de la mobilité, le marché de la téléphonie fixe "se tasse tant en volume qu'en valeur", indique l'ART.
Deux secteurs résistent néanmoins : Les communications des fixes vers les mobiles et vers l'international (utiliser son mobile pour appeler l'étranger, New York par exemple, revient cher et le plus souvent le son est médiocre), et les abonnements à la présélection.
Ce secteur, "trusté" par les opérateurs privés (Cegetel, Tele2, 9Telecom, etc.), a progressé de 10% sur le seul troisième trimestre 2002.
Sur un marché enfin ouvert à la concurrence, France Télécom perd des plumes. Mais pour le moment, atermoiements du dégroupage et succès de l'ADSL (asymetric digital Subscriber line) aidant, l'opérateur historique peut encore facturer l'abonnement principal à des usagers pourtant abonnés chez un concurrent pour les communications.
Internet, de son côté, poursuit heureusement "sa progression".
L'Autorité de régulation des télécoms souligne que les revenus générés par cette activité auprès des clients finals ont atteint 288 millions d'euros au troisième trimestre 2002 (soit une hausse de 6% sur un an), pour un volume de près de 15 milliards de minutes.
Le chiffre d'affaires du marché des clients finals a progressé de 1,3% entre le troisième trimestre 2001 et la même période en 2002, et la progression en volume a été de 5,2% sur un an.
Globalement, les services de téléphonie fixe stagnent, Internet progresse et les services mobiles "soutiennent la croissance".
En une année, le marché de la téléphonie mobile a augmenté de 15% en valeur et de 17,2% en volume.
La facture mensuelle moyenne de l'abonné 'mobile' en France s'est élevée à 26,70 euros, soit une augmentation de 3,3% sur un an, précise l'ART. Quant à la consommation mensuelle moyenne par abonné, elle a atteint 113,8 minutes de communications, soit une hausse de 5,4% entre le troisième trimestre 2001 et le troisième trimestre 2002.
De plus, chaque abonné a envoyé 13 SMS par mois en moyenne, soit une progression de 64,5% en un an. Au cours du troisième trimestre 2002 près de 1,5 milliard de messages 'texte' courts ont été transmis !
A l'heure de la mobilité, le marché de la téléphonie fixe "se tasse tant en volume qu'en valeur", indique l'ART.
Deux secteurs résistent néanmoins : Les communications des fixes vers les mobiles et vers l'international (utiliser son mobile pour appeler l'étranger, New York par exemple, revient cher et le plus souvent le son est médiocre), et les abonnements à la présélection.
Ce secteur, "trusté" par les opérateurs privés (Cegetel, Tele2, 9Telecom, etc.), a progressé de 10% sur le seul troisième trimestre 2002.
Sur un marché enfin ouvert à la concurrence, France Télécom perd des plumes. Mais pour le moment, atermoiements du dégroupage et succès de l'ADSL (asymetric digital Subscriber line) aidant, l'opérateur historique peut encore facturer l'abonnement principal à des usagers pourtant abonnés chez un concurrent pour les communications.
Internet, de son côté, poursuit heureusement "sa progression".
L'Autorité de régulation des télécoms souligne que les revenus générés par cette activité auprès des clients finals ont atteint 288 millions d'euros au troisième trimestre 2002 (soit une hausse de 6% sur un an), pour un volume de près de 15 milliards de minutes.
