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La vidéo à la demande (VOD) a le vent en poupe ! Entre 1,8 et 2 millions de vidéos auraient été achetées, via des services de VOD, sur les six derniers mois dans l'Hexagone, indique le cabinet NPA Conseil dans une étude parue la semaine dernière. Ces résultats encourageants sont dus à une offre de plus en plus variée, à la multiplication des services de VOD et aux quelque 10 millions de foyers reliés à haut débit.
Pour son étude, NPA a recueilli les chiffres émanant des principaux acteurs du secteur comme les services de télévision (TF1, M6, TPS, Arte, Canalplay), les fournisseurs d'accès à Internet (Free), les distributeurs de biens culturels comme la Fnac ou Virgin et les « indépendants » comme l'INA ou Vodeo.tv. Le succès de ces différents prestataires est loin de ne reposer que sur les films, puisque les statistiques font la part belle aux séries TV et aux documentaires, avec une offre qui ne cesse de s'enrichir.
TF1 a par exemple annoncé en fin de semaine dernière deux nouveautés liées aux séries TV. Tout d'abord, la série Le Maître du Zodiaque sera proposée durant une semaine au téléchargement gratuit, le jour même de sa diffusion à la télévision. Les épisodes seront entrecoupés de trois pages de publicités d'environ une minute trente. Après une semaine, ils seront commercialisés au prix de 1,99 euro l'épisode. Enfin, la saison 2 de la série à succès Lost sera également proposée au téléchargement en VOD le soir même de sa diffusion à la télévision, mais de façon payante cette fois, sans publicités, pour 1,99 euro l'épisode. Rappelons par ailleurs que le groupe TF1 a lancé, le 10 juillet dernier, une offre de VOD dite « téléchargement définitif avec sauvegarde », associant téléchargement de film et DVD de sauvegarde (voir VoD: téléchargement définitif chez TF1/Universal).
Actuellement, la vidéo à la demande s'apparente souvent à une location : le fichier téléchargé ne peut être consulté que durant un certain laps de temps, avant de devenir inutilisable. L'acquisition définitive et la possibilité de graver sur DVD les contenus issus des offres de VOD sont deux des principales attentes des consommateurs, mais posent le problème de la copie sauvage. Movielink, un service de vidéo à la demande américain, s'apprête semble-t-il à franchir le pas et à lancer prochainement une offre qui permettra de graver soi-même sa vidéo sur DVD, ce dernier pouvant ensuite être lu sur une platine de salon. Il utilisera pour cela une technologie DRM mise au point par la société Sonic Solutions qui limitera le nombre de copies possibles.
Pour son étude, NPA a recueilli les chiffres émanant des principaux acteurs du secteur comme les services de télévision (TF1, M6, TPS, Arte, Canalplay), les fournisseurs d'accès à Internet (Free), les distributeurs de biens culturels comme la Fnac ou Virgin et les « indépendants » comme l'INA ou Vodeo.tv. Le succès de ces différents prestataires est loin de ne reposer que sur les films, puisque les statistiques font la part belle aux séries TV et aux documentaires, avec une offre qui ne cesse de s'enrichir.
TF1 a par exemple annoncé en fin de semaine dernière deux nouveautés liées aux séries TV. Tout d'abord, la série Le Maître du Zodiaque sera proposée durant une semaine au téléchargement gratuit, le jour même de sa diffusion à la télévision. Les épisodes seront entrecoupés de trois pages de publicités d'environ une minute trente. Après une semaine, ils seront commercialisés au prix de 1,99 euro l'épisode. Enfin, la saison 2 de la série à succès Lost sera également proposée au téléchargement en VOD le soir même de sa diffusion à la télévision, mais de façon payante cette fois, sans publicités, pour 1,99 euro l'épisode. Rappelons par ailleurs que le groupe TF1 a lancé, le 10 juillet dernier, une offre de VOD dite « téléchargement définitif avec sauvegarde », associant téléchargement de film et DVD de sauvegarde (voir VoD: téléchargement définitif chez TF1/Universal).
Actuellement, la vidéo à la demande s'apparente souvent à une location : le fichier téléchargé ne peut être consulté que durant un certain laps de temps, avant de devenir inutilisable. L'acquisition définitive et la possibilité de graver sur DVD les contenus issus des offres de VOD sont deux des principales attentes des consommateurs, mais posent le problème de la copie sauvage. Movielink, un service de vidéo à la demande américain, s'apprête semble-t-il à franchir le pas et à lancer prochainement une offre qui permettra de graver soi-même sa vidéo sur DVD, ce dernier pouvant ensuite être lu sur une platine de salon. Il utilisera pour cela une technologie DRM mise au point par la société Sonic Solutions qui limitera le nombre de copies possibles.
