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Dans un communiqué que l'on peut qualifier d'incendiaire, l'association de consommateurs UFC Que Choisir annonce que de nombreuses procédures devraient être lancées demain, mardi 16 mai, auprès de juges de proximité par des clients de Free mécontents.
« Il n'est plus acceptable qu'un opérateur provoque l'envahissement des permanences "litiges" des associations locales de l'UFC Que Choisir. Une grande partie des problèmes rencontrés dans le secteur des nouvelles technologies ont pour origine cette société », indique l'association dans son communiqué qui vise tout particulièrement « l'absence ou les interruptions de fourniture du service » accusées de se multiplier ou l'impossibilité dans laquelle se trouve les consommateurs de « trouver un interlocuteur pour répondre à leurs demandes légitimes ».
L'association déplore également qu'en dépit de « ses propres manquements », l'opérateur s'obstine à vouloir percevoir le prix de l'abonnement en procédant par « prélèvements forcés ou en ayant recours aux services de sociétés spécialisées dans le recouvrement qui exercent une pression illégitime et donc scandaleuse sur les consommateurs ».
Par conséquent, les associations locales de l'UFC Que Choisir « somment la société Free de revoir son comportement et ses pratiques commerciales et l'avertissent d'une intensification de la campagne judiciaire lancée ce jour, sur tout le territoire français ».
« Bien que l'opérateur ait fait l'objet de multiples condamnations par les tribunaux, bien que des tentatives renouvelées d'arrangements amiables aient été organisée par les bénévoles des associations, l'opérateur reste incroyablement autiste », peut-on encore lire dans le communiqué de l'UFC Que Choisir.
« Il n'est plus acceptable qu'un opérateur provoque l'envahissement des permanences "litiges" des associations locales de l'UFC Que Choisir. Une grande partie des problèmes rencontrés dans le secteur des nouvelles technologies ont pour origine cette société », indique l'association dans son communiqué qui vise tout particulièrement « l'absence ou les interruptions de fourniture du service » accusées de se multiplier ou l'impossibilité dans laquelle se trouve les consommateurs de « trouver un interlocuteur pour répondre à leurs demandes légitimes ».
L'association déplore également qu'en dépit de « ses propres manquements », l'opérateur s'obstine à vouloir percevoir le prix de l'abonnement en procédant par « prélèvements forcés ou en ayant recours aux services de sociétés spécialisées dans le recouvrement qui exercent une pression illégitime et donc scandaleuse sur les consommateurs ».
Par conséquent, les associations locales de l'UFC Que Choisir « somment la société Free de revoir son comportement et ses pratiques commerciales et l'avertissent d'une intensification de la campagne judiciaire lancée ce jour, sur tout le territoire français ».
« Bien que l'opérateur ait fait l'objet de multiples condamnations par les tribunaux, bien que des tentatives renouvelées d'arrangements amiables aient été organisée par les bénévoles des associations, l'opérateur reste incroyablement autiste », peut-on encore lire dans le communiqué de l'UFC Que Choisir.
