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Le numéro un mondial du logiciel tente d'apaiser les points de désaccords qui l'opposent à la Commission européenne à propos de Windows.
Décidément les juristes chez Microsoft ne chôment pas !
Après avoir obtenu un nouveau délai dans le procès antitrust qui l'oppose encore à 9 Etats américains, de la Californie à la Floride, le numéro un mondial du logiciel tente d'obtenir 'les grâces' de la Commission européenne.
Microsoft a annoncé mercredi avoir proposé à la Commission de révéler certaines informations qui, selon l'exécutif européen, auraient été tenues secrètes afin de limiter la concurrence .
"Nous sommes prêts à répondre aux inquiétudes de la Commission," signalait à Reuters John FRANK, avocat principal associé de Microsoft Europe.
Michael TSCHERNY, porte-parole de Mario MONTI Commissaire européen en charge de la concurrence, a néanmoins signalé qu'aucune proposition "n'avait été reçue jusqu'à présent" et n'a pas souhaité s'exprimer davantage sur le sujet.
Pour mémoire : Il y a trois ans, la Commission européenne ouvrait, elle aussi, une enquête antitrust sur Microsoft.
L'autorité européenne estime que Microsoft a développé son système d'exploitation, Windows, pour qu'il fonctionne mieux avec ses serveurs, plutôt qu'avec ceux de ses concurrents.
La Commission mène également une investigation sur l'intégration du lecteur multimédia de l'éditeur, Media Player, avec Windows.
L'Europe s'intéresse notamment au système de protection du logiciel qui semble bien fonctionner sur les PC sous Windows et les serveurs Microsoft, mais pas avec les serveurs de la concurrence.
D'après Reuters, Microsoft travaille à l'élaboration d'une norme en matière de sécurité des serveurs qui n'affaiblirait pas son logiciel propriétaire.
Décidément les juristes chez Microsoft ne chôment pas !
Après avoir obtenu un nouveau délai dans le procès antitrust qui l'oppose encore à 9 Etats américains, de la Californie à la Floride, le numéro un mondial du logiciel tente d'obtenir 'les grâces' de la Commission européenne.
Microsoft a annoncé mercredi avoir proposé à la Commission de révéler certaines informations qui, selon l'exécutif européen, auraient été tenues secrètes afin de limiter la concurrence .
"Nous sommes prêts à répondre aux inquiétudes de la Commission," signalait à Reuters John FRANK, avocat principal associé de Microsoft Europe.
Michael TSCHERNY, porte-parole de Mario MONTI Commissaire européen en charge de la concurrence, a néanmoins signalé qu'aucune proposition "n'avait été reçue jusqu'à présent" et n'a pas souhaité s'exprimer davantage sur le sujet.
Pour mémoire : Il y a trois ans, la Commission européenne ouvrait, elle aussi, une enquête antitrust sur Microsoft.
L'autorité européenne estime que Microsoft a développé son système d'exploitation, Windows, pour qu'il fonctionne mieux avec ses serveurs, plutôt qu'avec ceux de ses concurrents.
La Commission mène également une investigation sur l'intégration du lecteur multimédia de l'éditeur, Media Player, avec Windows.
L'Europe s'intéresse notamment au système de protection du logiciel qui semble bien fonctionner sur les PC sous Windows et les serveurs Microsoft, mais pas avec les serveurs de la concurrence.
D'après Reuters, Microsoft travaille à l'élaboration d'une norme en matière de sécurité des serveurs qui n'affaiblirait pas son logiciel propriétaire.