Apple a finalement ouvert à l'international « iTunes in the Cloud », l'une des dernières innovations de son offre de contenu dématérialisé, disponible aux États-Unis depuis novembre dernier. Mais la France n'est pas encore concernée.
« iTunes in the Cloud » permet comme son nom l'indique de stocker en ligne ses contenus, en permettant en fait de re-télécharger ou de diffuser (streaming) autant de fois qu'on le souhaite les contenus qu'on y a achetés, et le cas échéant de passer de la HD 720p à la Full HD 1080p gratuitement.
Cette fonction avait été présentée conjointement à iTunes Match, qui ne s'était quant à lui ouvert à l'international qu'un mois après son lancement aux États-Unis. De toute évidence, les négociations avec l'industrie du cinéma restent aujourd'hui encore plus tendues qu'avec les maisons de disques.
Depuis hier, « iTunes in the Cloud » est quoi qu'il en soit disponible dans 37 nouveaux pays, notamment dans la plupart des pays d'Amérique Latine ou d'Asie Pacifique dans lesquels Apple est déjà implanté. En Europe en revanche, seuls la Hongrie, l'Irlande, la Slovaquie, la République Tchèque et le Royaume-Uni sont concernés, mais ni l'Allemagne, ni l'Espagne, ni la France, ni l'Italie. En Asie, le Japon manque également à l'appel.
On peut néanmoins penser que le lancement dans de nombreux autres pays facilitera et accélèrera les négociations, comme ce fut déjà le cas par le passé. Un tableau récapitulatif des contenus éligibles au re-téléchargement par pays est disponible sur le site Internet d'Apple.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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