Samsung a annoncé vendredi la disponibilité en France des Galaxy A3 et A5, et complété la série d'un modèle supplémentaire, le Galaxy A7.
Galaxy A3 et A5 : un rapport prix/prestation moyen
Présentés fin octobre, les Samsung Galaxy A3 et A5 à coque métallique sont finalement disponibles en France. Samsung nous a révélé leurs prix publics, qui sont, respectivement, de 300 et 400 euros. Le fabricant mise sur son image de marque — et en particulier sur le positionnement luxe du Galaxy Alpha, auquel ces nouveaux smartphones milieu de gamme sont assimilés - face au rapport prix/prestation bien meilleur de la série Motorola Moto G.
Galaxy A7 : seulement 6,3 mm d'épaisseur
Samsung complète quoi qu'il en soit sa série de smartphones stylés Galaxy A d'un modèle plus grand, mieux équipé et encore plus fin : le Galaxy A7.
Ce nouveau venu arbore un grand écran Super AMOLED de 5,5 pouces (14 cm) affichant une définition Full HD (1920 x 1080 pixels), soit une résolution de 400 pixels par pouce. Il peut étaler sa batterie de 2 600 mAh sur une plus grande surface et donc s'aplatir encore un peu : il ne mesure plus que 6,3 mm d'épaisseur et devient ainsi le smartphone le plus fin du fabricant, devant les Galaxy A5 et Galaxy Alpha de 6,7 mm. À titre de comparaison, l'iPhone 6 Plus dispose d'un écran identique mais mesure 7,1 mm d'épaisseur.
À l'exception de sa puce qui passe de quatre cœurs à 1,2 GHz à huit cœurs à 1,8 GHz, le Galaxy A7 partage sa fiche technique avec l'A5. Il dispose donc de capteurs frontaux et dorsaux de 5 et 13 millions de pixels, avec fonctions selfie et GIF animé, de 2 Go de mémoire vive, de 16 Go de mémoire interne, d'un emplacement microSD et de connectivités 4G LTE, Wi-Fi 802.11n, Bluetooth 4.0 et NFC.
Le Samsung Galaxy A7 sera disponible en France au mois de mars, à un prix encore inconnu.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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