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Selon une étude du cabinet GartnerG2 l'Internet haut débit séduit encore peu les Européens. Des tarifs trop élevés expliquent en partie cette situation.
D'après une analyse de l'institut GartnerG2 publiée lundi, les Européens, dans leur majorité, n'auraient pas l'intention de se doter d'une connexion à Internet haut débit d'ici trois ans.
La filiale du groupe Gartner explique cette situation en France, Allemagne, Royaume-Uni, par des tarifs trop élevés (accès) et un manque d'information sur les services disponibles.
La majorité des foyers européens n'est pas prête à payer un abonnement haut débit coûtant entre 45 et 60 euros. Un prix deux fois supérieur à l'accès Internet classique, mais le RTC reste du bas débit, non permanent, et en France à l'heure actuelle les offres illimitées n'ont toujours pas fait leur réapparition...
Quoiqu'il en soit, GartnerG2 estime que si les tarifs d'accès ne baissent pas de manière significative pour le grand public, seuls 10% des ménages disposeront d'une connexion haut débit dans ces pays d'ici 2005.
"Pour parvenir à développer le haut débit, il faudra abaisser les prix de 45-60 euros par mois actuellement à moins de 30 euros", estime Adam DAUM, Vice-président et chef du bureau d'analyse chez GartnerG2.
Fin 2001, le nombre de foyers équipés et connectés à Internet haut débit dans ces trois pays était de 1,7 million, soit 1,9% du total.
Par ailleurs, moins de 10% des foyers connectés à Internet aujourd'hui estiment que l'offre haut débit actuelle est intéressante.
"Les professionnels croyaient que les consommateurs se précipiteraient sur le haut débit. Seulement, la vitesse à elle seule n'est pas assez attrayante", commente Adam DAUM.
L'étude de GartnerG2 a été réalisée auprès de 6 000 foyers européens à l'automne 2001.
L'institut estime pour conclure que les débouchés actuels du haut débit sont des niches, le télétravail par exemple qui reste confidentiel, au Royaume-Uni 5% de la population active travaille à son domicile.
Pour GartnerG2 le haut débit va se développer, mais plus lentement que prévu, grâce notamment à la richesse des contenus et à des points d'accès publics.
D'après une analyse de l'institut GartnerG2 publiée lundi, les Européens, dans leur majorité, n'auraient pas l'intention de se doter d'une connexion à Internet haut débit d'ici trois ans.
La filiale du groupe Gartner explique cette situation en France, Allemagne, Royaume-Uni, par des tarifs trop élevés (accès) et un manque d'information sur les services disponibles.
La majorité des foyers européens n'est pas prête à payer un abonnement haut débit coûtant entre 45 et 60 euros. Un prix deux fois supérieur à l'accès Internet classique, mais le RTC reste du bas débit, non permanent, et en France à l'heure actuelle les offres illimitées n'ont toujours pas fait leur réapparition...
Quoiqu'il en soit, GartnerG2 estime que si les tarifs d'accès ne baissent pas de manière significative pour le grand public, seuls 10% des ménages disposeront d'une connexion haut débit dans ces pays d'ici 2005.
"Pour parvenir à développer le haut débit, il faudra abaisser les prix de 45-60 euros par mois actuellement à moins de 30 euros", estime Adam DAUM, Vice-président et chef du bureau d'analyse chez GartnerG2.
Fin 2001, le nombre de foyers équipés et connectés à Internet haut débit dans ces trois pays était de 1,7 million, soit 1,9% du total.
Par ailleurs, moins de 10% des foyers connectés à Internet aujourd'hui estiment que l'offre haut débit actuelle est intéressante.
"Les professionnels croyaient que les consommateurs se précipiteraient sur le haut débit. Seulement, la vitesse à elle seule n'est pas assez attrayante", commente Adam DAUM.
L'étude de GartnerG2 a été réalisée auprès de 6 000 foyers européens à l'automne 2001.
L'institut estime pour conclure que les débouchés actuels du haut débit sont des niches, le télétravail par exemple qui reste confidentiel, au Royaume-Uni 5% de la population active travaille à son domicile.
Pour GartnerG2 le haut débit va se développer, mais plus lentement que prévu, grâce notamment à la richesse des contenus et à des points d'accès publics.
