Le célèbre chinois Xiaomi fera demain ses débuts sur le marché international, avec une première vente flash proposant quelques accessoires aux bons rapports prix/prestation.
Un peu plus de six mois après Meizu, c'est au tour d'une autre marque chinoise réputée de se lancer en France et à l'international. Xiaomi, dont Apple n'a ravi la première place du marché du téléphone en Chine que récemment, ouvrira demain une boutique en ligne aux États-Unis et en Europe.
Les fameux smartphones de la série Mi n'y seront toutefois pas commercialisés. Xiaomi testera dans un premier temps le marché international avec quatre accessoires, aux États-Unis, au Royaume-Uni, en France et en Allemagne, sous forme d'une vente flash qui ouvrira ce mardi 19 mai à 13 h heure française et ne durera probablement que quelques instants, jusqu'à ce que les stocks « très limités » ne soient écoulés.
Les quatre produits proposés sont les suivants :
le casque « haute fidélité » Mi Headphones, à 80 dollars
la batterie Mi Power Bank de 10 400 mAh, à 14 dollars
la batterie Mi Power Bank de 5 000 mAh, à 10 dollars
Les prix en euros ne sont pas encore connus, et il se peut que des frais d'expédition voire d'importation non négligeables s'ajoutent. Quoi qu'il en soit Xiaomi a fait sa réputation avec des produits aux très bons rapports prix/prestation et il se peut que certains produits restent très intéressants.
Le vice-président de Xiaomi, qui n'est autre qu'Hugo Barra, responsable du développement d'Android chez Google jusqu'en 2013, avait annoncé les ambitions d'expansion internationale de la marque il y a quelques mois, au MWC 2015. Il avait indiqué que la marque ne vendrait que quelques accessoires. Du moins dans un premier temps, car le fondateur et PDG Lei Jun a ensuite affirmé au CeBIT que les smartphones seraient aussi commercialisés, sans toutefois préciser d'échéance.
Il faudra en tout cas disposer d'un compte Mi Account pour accéder demain à la vente. Les internautes intéressés peuvent s'inscrire dès à présent.
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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