iMusic-School réunit 1,9 million d'euros pour ses cours de musique en ligne

17 janvier 2012 à 09h51
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L'école de musique en ligne iMusic-School a indiqué lundi avoir réuni 1,9 million d'euros auprès de Seventure Partners et de Viveris Management pour assurer son développement.

Apprendre la guitare auprès d'un « gratteux » reconnu sans se ruiner, c'est possible... du moins sur Internet. Lancée en 2007, la société iMusic School dispense en effet de nombreux cours de musique vidéo, accessibles par le Web au travers d'abonnements allant de 9,90 à 19,90 euros par mois. Pour assurer son développement, elle vient d'annoncer avoir levé 1,9 million d'euros auprès de deux fonds, Seventure Partners et Viveris Management.

Celle qui revendique aujourd'hui le titre de première école de musique sur Internet compte aujourd'hui à son catalogue quelque 12 000 vidéos de formation liées à l'apprentissage de la guitare, de la basse, du chant, de la batterie ou des platines de DJ. Parmi ses profs, quelques artistes reconnus, de Sanseverino à Manuel Delgado, en passant par Manu du groupe Watcha ou Fifi Chayeb. Les cours, classés par instrument et par niveau de progression, sont proposés par le biais de vidéos, accompagnées de supports de type tablatures, partitions ou playbacks.

« Avec ce nouvel apport, nous allons pouvoir aller plus loin encore dans notre entreprise de démocratisation de la pratique musicale, en proposant à tous de nouveaux cours, de nouveaux artistes/professeurs qui font référence dans leur domaine, et ce toujours pour un tarif n'excédant pas 19,90 €/mois », promet dans un communiqué Stéphane Chauffriat, directeur général de iMusic-School.

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Alexandre Laurent

Alex, responsable des rédactions. Venu au hardware par goût pour les composants qui fument quand on les maltraite, passé depuis par tout ce qu'on peut de près ou de loin ranger dans la case high-tech,...

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Alex, responsable des rédactions. Venu au hardware par goût pour les composants qui fument quand on les maltraite, passé depuis par tout ce qu'on peut de près ou de loin ranger dans la case high-tech, que ça concerne le grand public, l'entreprise, l'informatique ou Internet. Milite pour la réhabilitation de Après que + indicatif à l'écrit comme à l'oral, grand amateur de loutres devant l'éternel, littéraire pour cause de vocation scientifique contrariée, fan de RTS qui le lui rendent bien mal.

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