Selon un dernier pointage du cabinet IDC, 40% des professionnels qui disposent d'une tablette tactile l'utilisent de manière exclusive. Si le marché des tablettes continue sa chute, ces produits semblent intéresser cette population.
Dans la majorité des cas, la tablette tactile n'a pas vocation à remplacer totalement les postes traditionnels (ordinateurs portables ou fixes). Certains collaborateurs, en situation de mobilité fréquente semblent toutefois privilégier les tablettes. Selon IDC, pas moins de 40% des personnes qui disposent d'une tablette et d'un PC portable utilisent désormais exclusivement ce premier outil.
Après avoir interrogé 2000 sociétés basées en France, en Allemagne ainsi qu'en Grande-Bretagne, le cabinet constate que d'autres populations de salariés ne trouvent pas forcément d'utilité à recourir à une tablette. Les personnes chargées des tâches opérationnelles ou rattachées aux unités de production n'utilisent par exemple leur appareil que dans respectivement 55 et 64% des cas.
Pour ce qui est des managers, de la direction ou plus généralement des personnes amenées à devoir créer des documents de présentation, la tablette ne s'impose pas non plus. Dans ce type de scénario, l'appareil apparaît comme un complément au poste fixe ou au PC portable.
Dans cette optique, le marché professionnel ne se présente donc pas forcément comme un relai de croissance en puissance pour les tablettes tactiles. Selon les derniers pointages d'ABI research, les ventes dans ce domaine sont en baisse de 35% au premier trimestre (16% sur l'année).
Mêler informatique, politique et journalisme tu essaieras ! Voilà ce que m'a demandé un jour un monsieur ridé tout vert qui traînait dans un square en bas de mon immeuble. J'essaie désormais de rempli...
Mêler informatique, politique et journalisme tu essaieras ! Voilà ce que m'a demandé un jour un monsieur ridé tout vert qui traînait dans un square en bas de mon immeuble. J'essaie désormais de remplir cette mission en tant que rédacteur pour Clubic.
Je traite principalement de politique numérique tout comme de sécurité informatique et d’e-Business. Passionné de Star Wars, de Monster Hunter, d’Heroic Fantasy et de loisirs numériques, je collabore régulièrement à de multiples projets vidéo de la rédaction.
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