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3D Vision débarque sur mobile
La 3D stéréoscopique débarque sur tablette et smartphone. L'annonce nécessite toutefois quelques précisions. Interrogé sur les problématiques de compatibilité, NVIDIA indique qu'à l'heure actuelle, seuls 16 jeux sont compatibles. Ces dernières sont accessibles depuis Tegra Zone (NDLR : kiosque d'applications parallèle fourni par NVIDIA). Un filtre permet de connaître les titres qui prennent en charge cette technologie.Concernant l'affichage, il n'est pas question d'utiliser l'écran de la tablette ou du smartphone. NVIDIA indique que 3D Vision nécessite un téléviseur 3D ou un moniteur compatible (la tablette devra être raccordée en HDMI). Attention toutefois, les premiers kits 3D Vision PC ne pourront pas être utilisé, même lorsque la tablette est équipée d'une prise USB. Avec les moniteurs, la compatibilité se limite aux modèles intégrant nativement le 3D vision.
3D Vision sur tablette et smartphone : c'est possible !
Vos « gros » jeux PC sur tablette ? C'est possible, mais...
Avec Splashtop THD, il est possible de jouer à des jeux PC gourmands sur une tablette Tegra 3. Dans les grandes lignes, il s'agit d'un système similaire à VNC ou Logmein, le jeu est donc intégralement exécuté par le PC. Après installation d'une application côté PC et tablette, l'image de l'ordinateur est renvoyée sur la tablette. Lors de la démonstration, la manette de jeu (Xbox 360) était connectée directement à l'ordinateur. Pour s'affranchir du câble, NVIDIA indique qu'il existe deux solutions.
Ordinateur et tablette executant Splashtop THD
La première d'entre elles est évidente, elle consiste à utiliser une manette sans fil. Dans ce cas, la portée reste limitée. Pour contourner cette limitation, NVIDIA assure qu'il est possible de connecter directement la manette en USB sur la tablette (à condition que cette dernière dispose d'une connectique de ce type). Les commandes sont alors transmises sans fil vers l'ordinateur cible. Lors de la démonstration, nous n'avons pas constaté de temps de latence.
Après être tombé dans la marmite des nouvelles technologies en trébuchant malencontreusement sur une GameBoy en 1990, j’ai pu observer de nombreux effets secondaires qui se sont intensifiés tout au long des 23 années qui ont suivi. Désormais, je suis doté d'extensions « naturelles » prenant les doux noms de smartphone, tablettes, PC, Macs, consoles vidéo, Media Centers, etc. Mon système nerveux semble également avoir fait un bond en avant depuis que j'ai transformé ma maison en gruyère pour mettre en place une installation réseau gigabit tentaculaire. La suite au prochain épisode !
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