Google Talk est en panne, à l'échelle mondiale, depuis quelques heures. Ce n'est pas le service le plus populaire de Google et il existe de nombreuses alternatives, mais une telle panne de la part d'un tel acteur soulève des questions.
Jeudi à 12h40, le voyant de Google Talk passait à l'orange, témoignant d'un dysfonctionnement partiel, et Google indiquait enquêter suite aux signalements d'utilisateurs. Dix minutes plus tard, il reconnaissait une interruption de service pour la majorité des utilisateurs, qui pouvaient se connecter au service mais pas l'utiliser, tout en promettant qu'il indiquerait une heure plus tard quand il réparerait la panne.
Le géant du Web a bien publié un rapport une heure plus tard, mais pour reporter sa promesse d'une heure, puis d'une deuxième et à l'instant d'une troisième.
Autrement dit, soit Google ne trouve pas la cause de la panne, soit les dégâts sont importants. Quoi qu'il en soit l'image du géant en a déjà pris un coup, en attendant l'issue de l'affaire.
Publication initiale le 26/07/2012 à 15 h 58
Mise à jour le 26/07/2012 à 18 h 08
Google a annoncé à 17 h 25 que Google Talk était rétabli, après 4 heures et 25 minutes de panne. « Le problème devrait être résolu, » indiquait à cette heure le suivi des services, sans en révéler la cause. L'éditeur avait déjà fait état d'un rétablissement pour certains utilisateurs à 16 h 50 et prédisait déjà une restauration totale du service sous peu.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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