En attendant la sortie de la version finale, prévue pour le 13 octobre prochain, les adeptes d'Ubuntu pourront participer aux derniers travaux qui entourent la mouture 11.10 en téléchargeant et installant la première bêta proposée.
La version 11.10 (Oneiric Ocelot) de la distribution GNU/Linux Ubuntu est depuis jeudi soir accessible sous la forme d'une première bêta (qui fait suite à trois versions alpha), réservée à des fins de test. L'occasion pour les amateurs de découvrir plus avant les nouveautés annoncées du système, à commencer par l'intégration du client de messagerie Thunderbird (7.0 bêta à ce stade), qui remplace désormais Evolution.
Entre autres changements, Ubuntu 11.10 bêta 1 propose un nouveau sélecteur d'applications ouvertes via le raccourci Alt + Tab, un nouvel écran de login faisant appel à LightDM et différents raffinements cosmétiques. Sous le capot, cette nouvelle version améliore la gestion des applicatifs 32 bits sur un système 64 bits et signe le passage à la version 3.0.3 du noyau Linux ainsi qu'à GNOME 3.1.5, en attendant la version stable 3.2.
Elle inaugure également l'intégration de Firefox 7.0 bêta, du logiciel de sauvegarde Déjà Dup ou de la suite LibreOffice en version 3.4.2. Le Software Center profite enfin d'une mise à jour significative. Tous les détails liés à cette première bêta ainsi que les liens de téléchargement sont accessibles via le site du projet.
Alexandre Laurent
Alex, responsable des rédactions. Venu au hardware par goût pour les composants qui fument quand on les maltraite, passé depuis par tout ce qu'on peut de près ou de loin ranger dans la case high-tech,...
Alex, responsable des rédactions. Venu au hardware par goût pour les composants qui fument quand on les maltraite, passé depuis par tout ce qu'on peut de près ou de loin ranger dans la case high-tech, que ça concerne le grand public, l'entreprise, l'informatique ou Internet.
Milite pour la réhabilitation de Après que + indicatif à l'écrit comme à l'oral, grand amateur de loutres devant l'éternel, littéraire pour cause de vocation scientifique contrariée, fan de RTS qui le lui rendent bien mal.
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