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Le gouvernement a annoncé les premières utilisations du Réseau de Transport d'Electricité pour développer l'accès à Internet haut débit.
Le gouvernement a annoncé mercredi le lancement des premières utilisations du Réseau de Transport d'Electricité (RTE) pour développer l'accès à Internet haut débit.
L'exécutif avait lancé le chantier de "l'accès pour tous à l'Internet à haut débit d'ici 2005" lors du Comité interministériel d'aménagement et de développement du territoire (CIADT) à Limoges le 9 juillet dernier.
Il avait été décidé d'expertiser les infrastructures du RTE, 75 000 km de lignes électriques aériennes à haute et très haute tension, pour équiper les pylônes EdF de fibres optiques ou utiliser les milliers de kilomètres de fibres optiques déjà en place.
L'utilisation des pylônes électriques du RTE devrait permettre, selon un communiqué des services du Premier ministre, "un déploiement plus rapide et moins coûteux des infrastructures accessibles aux opérateurs de télécommunication à haut débit."
Les premiers accords concernant le RTE ont été signés avec 4 régions : l'Alsace, le Limousin, la région Midi-Pyrénées et la Réunion, et 6 départements : la Loire, le Maine-et-Loire, la Manche, la Nièvre, l'Orne, et les Pyrénées-Atlantiques.
Deux groupements de communes ont également signé l'accord sur ce projet : le SIPPEREC (Syndicat intercommunal de la périphérie de paris pour l'électricité et les réseaux de communication en Ile-de-France) et le Syndicat mixte de la Côte d'Opale dans le Nord-Pas-de-Calais.
"Le RTE est un moyen supplémentaire d'apporter le haut débit dans certaines parties du territoire", les moins accessibles notamment, a précisé l'entourage du Premier ministre Lionel JOSPIN.
80% de la population française pourrait avoir accès au haut débit en 2005, l'utilisation du RTE pourrait couvrir les 20% restant.
Le gouvernement a annoncé mercredi le lancement des premières utilisations du Réseau de Transport d'Electricité (RTE) pour développer l'accès à Internet haut débit.
L'exécutif avait lancé le chantier de "l'accès pour tous à l'Internet à haut débit d'ici 2005" lors du Comité interministériel d'aménagement et de développement du territoire (CIADT) à Limoges le 9 juillet dernier.
Il avait été décidé d'expertiser les infrastructures du RTE, 75 000 km de lignes électriques aériennes à haute et très haute tension, pour équiper les pylônes EdF de fibres optiques ou utiliser les milliers de kilomètres de fibres optiques déjà en place.
L'utilisation des pylônes électriques du RTE devrait permettre, selon un communiqué des services du Premier ministre, "un déploiement plus rapide et moins coûteux des infrastructures accessibles aux opérateurs de télécommunication à haut débit."
Les premiers accords concernant le RTE ont été signés avec 4 régions : l'Alsace, le Limousin, la région Midi-Pyrénées et la Réunion, et 6 départements : la Loire, le Maine-et-Loire, la Manche, la Nièvre, l'Orne, et les Pyrénées-Atlantiques.
Deux groupements de communes ont également signé l'accord sur ce projet : le SIPPEREC (Syndicat intercommunal de la périphérie de paris pour l'électricité et les réseaux de communication en Ile-de-France) et le Syndicat mixte de la Côte d'Opale dans le Nord-Pas-de-Calais.
"Le RTE est un moyen supplémentaire d'apporter le haut débit dans certaines parties du territoire", les moins accessibles notamment, a précisé l'entourage du Premier ministre Lionel JOSPIN.
80% de la population française pourrait avoir accès au haut débit en 2005, l'utilisation du RTE pourrait couvrir les 20% restant.
