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Confirmant différentes analyses rendues publiques récemment, selon les prévisions du BIPE (www.bipe.fr), établies dans le cadre de l'Observatoire des technologies de l'information et de la communication, la reprise du marché français des TIC est engagée.
Le BIPE, société européenne de conseil, estime à 7,9% le taux de croissance annuel moyen de l'ensemble du secteur (télécommunications, informatique, électronique grand public, contenus) pour la période 2003-2007, logiciels et équipements inclus.
Par ailleurs, l'Observatoire constate que la reprise sensible « est directement liée au dynamisme du marché grand public ».
Les efforts du gouvernement dans le cadre du projet « Internet déclaré d'intérêt tout public », et de la mise en place de l'administration électronique du futur (Projet ADELE) ont semble-t-il participé à cette dynamique, de la progression de l'ADSL à la couverture mobile du territoire.
Selon la lettre de conjoncture des TIC publiée par l'Observatoire, le développement de nouvelles offres d'équipements et de contenus en 2003 et 04 va influencer « la progression de nouveaux usages fixes et mobiles mais n'aura d'effets réels qu'après une période de transition qui pourrait se prolonger jusqu'en 2006. »
L'appropriation sociale des nouvelles technologies est un processus long « qui conduit à un décalage important entre le cycle d'innovation et le cycle de consommation », indiquent les auteurs de l'étude.
Dans un tel environnement, l'Internet haut débit est un élément « moteur de la croissance du marché. » Trois millions d'individus étaient abonnés haut débit fin 2003 au niveau national, ce qui représente plus de la moitié du marché français de l'accès à l'Internet fixe.
Désormais, le pays enregistre une substitution du bas vers le haut débit. Comme le note l'Observatoire « le nombre d'abonnés bas débit est en régression depuis mi-2003. »
Par ailleurs, on assiste depuis décembre 03/janvier 04 à « un basculement de l'offre d'accès vers une offre de services », et ce grâce au lancement d'offres couplées Internet/téléphonie sur IP/TV par ADSL (asymmetric digital Subscriber line).
« Cette nouvelle orientation de l'offre devrait contribuer à augmenter le revenu moyen par abonné, l'enjeu étant pour les opérateurs de compenser les baisses de prix d'accès par des services à valeur ajoutée », a conclu l'Observatoire.
Le BIPE, société européenne de conseil, estime à 7,9% le taux de croissance annuel moyen de l'ensemble du secteur (télécommunications, informatique, électronique grand public, contenus) pour la période 2003-2007, logiciels et équipements inclus.
Par ailleurs, l'Observatoire constate que la reprise sensible « est directement liée au dynamisme du marché grand public ».
Les efforts du gouvernement dans le cadre du projet « Internet déclaré d'intérêt tout public », et de la mise en place de l'administration électronique du futur (Projet ADELE) ont semble-t-il participé à cette dynamique, de la progression de l'ADSL à la couverture mobile du territoire.
Selon la lettre de conjoncture des TIC publiée par l'Observatoire, le développement de nouvelles offres d'équipements et de contenus en 2003 et 04 va influencer « la progression de nouveaux usages fixes et mobiles mais n'aura d'effets réels qu'après une période de transition qui pourrait se prolonger jusqu'en 2006. »
L'appropriation sociale des nouvelles technologies est un processus long « qui conduit à un décalage important entre le cycle d'innovation et le cycle de consommation », indiquent les auteurs de l'étude.
Dans un tel environnement, l'Internet haut débit est un élément « moteur de la croissance du marché. » Trois millions d'individus étaient abonnés haut débit fin 2003 au niveau national, ce qui représente plus de la moitié du marché français de l'accès à l'Internet fixe.
Désormais, le pays enregistre une substitution du bas vers le haut débit. Comme le note l'Observatoire « le nombre d'abonnés bas débit est en régression depuis mi-2003. »
Par ailleurs, on assiste depuis décembre 03/janvier 04 à « un basculement de l'offre d'accès vers une offre de services », et ce grâce au lancement d'offres couplées Internet/téléphonie sur IP/TV par ADSL (asymmetric digital Subscriber line).
« Cette nouvelle orientation de l'offre devrait contribuer à augmenter le revenu moyen par abonné, l'enjeu étant pour les opérateurs de compenser les baisses de prix d'accès par des services à valeur ajoutée », a conclu l'Observatoire.