Aux États-Unis, le Guthrie Theater de Minneapolis a récemment mis en place une nouvelle catégorie de places réservée aux utilisateurs de Twitter, permettant de live tweeter les représentations.
Avant le levé de rideau, les théâtres demandent plutôt aux spectateurs, sinon d'éteindre totalement leurs téléphones, au moins de les mettre en silencieux et de les ranger. Mais aux États-Unis, où Twitter est largement utilisé, des théâtres ouvrent tour à tour des tweet seats, des fauteuils destinés à ceux qui souhaitent tweeter.
Après le théâtre public de New York, l'Opera de Palm Beach et l'orchestre symphonique de Cincinnati, le Guthrie Theater de Minneapolis est le quatrième à se lancer. Pour quatre représentations de « The Servant of Two Masters », qui laisse beaucoup place à l'improvisation, le théâtre propose des fauteuils au balcon pour 15 dollars. Ces places sont parmi les plus en retrait, afin que les écrans des twittos n'importunent pas les autres spectateurs. Il faut croire que jusqu'à présent certains ne pouvaient s'empêcher.
Ces fauteuils sont quelques uns des moins bien placés, mais ils sont aussi deux fois moins chers que les autres, et permettent aux uns de rester connectés tout en assurant gratuitement la promotion des autres. Un échange de bon procédé amené à se généraliser ? En revanche ces places ne sont pas disponibles par Internet, mais seulement par téléphone... Un comble ?
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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