0
Le Financial Times indique que son application pour iPhone et iPad ne sera plus vendue. Depuis plusieurs mois, la direction du quotidien et Apple étaient opposés sur le fait que la firme s'arroge 30 % du prix de l'abonnement. En outre, Apple avait également demandé à ce que le journal lui communique de nombreuses informations sur les utilisateurs.
La direction du FT a déclaré au site paidcontent que « les applications pour iPad et iPhone ne seront plus disponibles depuis iTunes pour les nouveaux utilisateurs. Nous dirigeons actuellement nos lecteurs vers la nouvelle application Web ». La déclaration est donc le signe clair du divorce entre la firme et l'éditeur.
En conséquence, l'application ne sera donc plus disponible depuis l'AppStore. En revanche, la Web-App en HTML 5 reste, pour sa part, utilisable via Safari et permet au FT de rester présent sur les smartphones et tablettes d'Apple.
Pour rappel, en avril dernier, le journal avait montré son agacement face à la politique d'Apple en matière de traitement des informations personnelles. Le Financial Times reprochait à la firme de lui demander de transmettre le nom, l'adresse e-mail et le lieu de résidence des utilisateurs. Afin de conserver un lien de confiance avec ses abonnés, la direction du quotidien n'a donc pas souhaité mettre en place ce partage de données.
L'application du Financial Times ne sera plus disponible depuis la boutique en ligne d'Apple. La décision a été prise suite à une mésentente portant sur la collecte de données des utilisateurs mais également sur la part prélevée par la firme à tout achat d'application.
La direction du FT a déclaré au site paidcontent que « les applications pour iPad et iPhone ne seront plus disponibles depuis iTunes pour les nouveaux utilisateurs. Nous dirigeons actuellement nos lecteurs vers la nouvelle application Web ». La déclaration est donc le signe clair du divorce entre la firme et l'éditeur.
En conséquence, l'application ne sera donc plus disponible depuis l'AppStore. En revanche, la Web-App en HTML 5 reste, pour sa part, utilisable via Safari et permet au FT de rester présent sur les smartphones et tablettes d'Apple.
Pour rappel, en avril dernier, le journal avait montré son agacement face à la politique d'Apple en matière de traitement des informations personnelles. Le Financial Times reprochait à la firme de lui demander de transmettre le nom, l'adresse e-mail et le lieu de résidence des utilisateurs. Afin de conserver un lien de confiance avec ses abonnés, la direction du quotidien n'a donc pas souhaité mettre en place ce partage de données.