Annoncée depuis plusieurs mois, Symantec vient de publier la version 3.0 finale de Norton 360. Destinée au grand public, cette solution de sécurité « tout-en-un » a pour mot d'ordre la légèreté et une simplicité d'utilisation à toute épreuve. Ces changements significatifs pourraient tordre le cou à la réputation sulfureuse des produits Symantec. Lors des tests effectués par la rédaction Clubic, la réalité s'est révélée conforme aux annonces faites par l'éditeur californien. Rapide, le processus d'installation s'effectue en une minute et ne réclame pas de redémarrage système. Peu gourmand, la consommation de mémoire vive se situe désormais aux alentours de 2 Mo et affiche un pic de 9 Mo en analyse.
ESET dévoile la version 4.0 de l'antivirus NOD32 et de la suite ESET Smart Security. L'éditeur de logiciels de sécurité annonce plusieurs nouveautés pour sa nouvelle gamme, à commencer par un nouveau moteur d'analyse optimisé pour détecter davantage de menaces dans les fichiers compressés et inspecter les communications chiffrées des protocoles HTTPS ou POP3S. Le scanner de mail s'ouvre quant à lui à de nouveaux clients dont Windows Live Mail, le logiciel de messagerie intégré à la suite Windows Live Essentials.
Connu pour ses utilitaires de sécurité, de sauvegarde et d'optimisation, Symantec s'intéresse désormais aux solutions de contrôle parental. Afin d'éviter les écueils du tout sécuritaire, l'éditeur californien déclare rechercher une réponse plus globale au problème de la protection des enfants sur internet. Pour ce faire, il vient de créer le Norton Online Family Advisory Council réunissant médecins, écrivains et autres spécialistes de la question. Ce groupe de réflexion a pour but de mettre au point des outils plus adaptés, favorisant la compréhension et le dialogue parents-enfants.
Depuis quelques mois, le ver Conficker/Downadup tourne sur la Toile et s'installe sur de nouvelles machines jour après jour. La firme spécialisée en sécurité informatique Arbor Networks estime qu'il y aurait environ 12 millions d'ordinateurs infectés.
Mauvaise publicité en vue ? L'un des sites de l'éditeur en sécurité russe Kaspersky aurait été hacké ce week-end par un pirate roumain, qui s'appuie sur des captures d'écran et la liste des en-têtes des tables de la base de donnes sous-jacente au site pour prouver ses dires. En jouant avec quelques paramètres et champs de formulaire, il explique avoir réussi à accéder à la quasi-totalité des informations hébergées par le site, des noms d'utilisateur aux codes d'activation en passant par les répertoires de bugs.
Propriété du groupe américain IAC/InterActiveCorp, le moteur de recherche Ask.com s'associe à l'éditeur de logiciels de sécurité informatique Symantec. De l'antivirus intégré pour attirer le chaland ? Ask.com va associer à son moteur la suite Norton 360, dont la nouvelle version doit sortir ce mardi. Le but : proposer une fonction de détection de sites qui font peser une menace sur le système utilisé par l'internaute.
Microsoft promet pour Windows 7 un contrôle des comptes d'utilisateurs (user account control ou UAC) moins envahissant sans toutefois porter préjudice à la sécurité. Il semblerait toutefois qu'il y ai encore du chemin à parcourir, puisque certes ces invites de confirmation sont désormais plus discrètes, mais elles sont aussi et surtout victimes d'une vulnérabilité les rendant inutiles.
Mac OS X a beau pouvoir se passer d'anti-virus (ou pas), des logiciels de sécurité sont pourtant destinés au système d'exploitation d'Apple. Norton Internet Security pour Mac n'est certes pas un anti-virus en tant que tel, mais il protège les Mac des menaces du Web et des usurpations d'identité (phishing).
La troisième version de Norton 360 approche, apportant son lot d'améliorations et de nouveautés par rapport à la précédente version sortie au mois de mars 2008. La mise à disposition aujourd'hui par Symantec de la deuxième bêta de ce logiciel de sécurité tout-en-un est l'occasion de faire le point.
L'éditeur de logiciels anti-virus destinés aux particuliers et aux professionnels Symantec a repéré une augmentation des infections liée au ver W32.Downadup. Une variante capable de se propager sur un réseau local et sur des supports de stockage tels des clés USB a fait son apparition le 30 décembre 2008, touchant principalement les entreprises.
C'est un cheval de Troie plutôt particulier qui a été identifié le 2 janvier dernier par le cabinet de sécurité Sophos. Baptisé Troj/Qhost-AC, ce dernier bloque l'accès aux sites de téléchargement de fichiers BitTorrent The Pirate Bay, Suprbay et Mininova.
Faut-il protéger son téléphone d'un antivirus ? Telle est la question que l'on pourrait se poser tant l'objet devient un véritable organiseur regroupant de plus en plus d'informations personnelles.
En matière de sécurité sur Internet, Ad-Aware de Lavasoft reste une référence incontournable pour effacer toute traces de spyware sur la machine. Hier, l'éditeur suédois a dévoilé son anti-virus.
Apple a finalement pris le parti de retirer de son site Web une fiche pratique conseillant aux utilisateurs d'ordinateurs Mac d'installer un, voire plusieurs, antivirus sur leur machine. L'ampleur médiatique prise par cette anecdotique mention aurait-elle convaincu la firme de faire volte-face ?
Le 21 novembre dernier, Apple a mis à jour l'une des fiches de sa base de connaissances en ligne, pour conseiller à ses clients d'installer un antivirus sur leurs ordinateurs Mac. Si les initiés savent que Mac OS n'est pas totalement à l'abri des menaces informatiques que véhicule le Web, la démarche ne manque pas d'amuser les détracteurs de la firme dirigée par Steve Jobs : Apple a en effet longtemps mis l'accent sur le caractère sûr de son système d'exploitation, et n'a pas manqué de pointer du doigt les vulnérabilités dont souffre Windows dans ses campagnes de publicité.
Symantec lance aujourd'hui Norton Antivirus Gaming Edition, une édition spéciale destinée tout particulièrement aux joueurs. Elle présente un certain nombre de caractéristiques spécifiques comme un mode de fonctionnement moins intrusif et une utilisation des ressources système réduite.
En 2008, la prolifération des programmes malveillants n'a pas cessé d'augmenter. Selon Kasperky, cette année, le taux de malware a été multiplié par trois. Pour pallier ce problème, les éditeurs de solutions de sécurité tentent de nouvelles approches dans la détection des menaces. Chez Symantec, les experts parient sur la dimension communautaire avec la mise en perspective du degré de réputation des programmes chez les utilisateurs.
La victoire de Barack Obama aux élections présidentielles sur le territoire de l'Oncle Sam a fait couler beaucoup d'encre et une fois de plus les hackers en ont profité pour tirer parti de la situation. Il y a quelques mois à peine, les chercheurs du laboratoire de sécurité informatique Sophos avaient communiqué à propos de ce malware qui se propageait sous la forme d'un email vous invitant à visionner une vidéo pornographique de l'ancien candidat à la présidence.
Aujourd'hui, lors du salon Tech-Ed à Barcelone, Microsoft a annoncé la publication de son cinquième rapport de sécurité semestriel. Les chiffres de ce rapport se basent sur l'analyse du MSRT, un outil de prévention contre les attaques de malwares distribué via Windows Update et Microsoft Update et déployé sur 475 millions d'ordinateurs à travers le monde. Microsoft utilise aussi les données de Windows Defender, un logiciel de protection installé sur 67,4 millions de machines et de Windows Live OneCare. Selon la firme de Redmond, la France serait particulièrement touchée par les logiciels espions installant des chevaux de Troie à l'insu des utilisateurs.
Il y a tout juste 20 ans, Robert Tappan Morris, alors étudiant à l'université de Cornell, lançait le premier ver sur la Toile depuis les serveurs du MIT, surnommé « Morris ». Si son auteur affirmait à l'époque que le ver devait mesurer la taille réelle du réseau Internet, ce malware n'en était pas moins dangereux et, au travers d'une faille de l'agent Sendmail utilisé par le protocole SMTP, un même ordinateur pouvait être infecté à plusieurs reprises pour finalement être rendu inutilisable. Ce nouveau type de malware allait bientôt devenir la véritable plaie du réseau. Aujourd'hui, parmi les nombreux vers qui circulent sur la Toile, « Sinowal » est identifié par les éditeurs comme l'une des menaces les plus préoccupantes.
L'éditeur de solutions de sécurité informatique symantec a annoncé que la société devrait procéder à des suppressions d'emplois, et ce, en conséquence de la crise économique. Un porte-parole de la firme ajoutait hier que ces licenciements auraient lieu avant la fin de l'année 2008 et toucheraient environ 4,5% des salariés à travers le monde.
Le spécialiste de la sécurité Symantec, éditeur de l'antivirus Norton notamment, annonce aujourd'hui deux services d'assistance en ligne destinés à ceux qui souhaitent optimiser les performances de leur ordinateur. Tout deux s'appuient sur l'intervention de techniciens qui, à l'aide du logiciel LogMeIn Rescue, accèdent à distance à la machine des clients qui peuvent observer les interventions en temps réel.
Mal nécessaire de tous les utilisateurs de PC sous Windows, l'antivirus est hélas loin, très loin d'être une espèce en voie de disparition. La prolifération de menaces de plus en plus sophistiquées pousse les éditeurs de logiciels de sécurité à redoubler d'efforts pour proposer, sur les rayonnages des revendeurs, des produits qui suivent cette tendance, multipliant de ce fait les fonctionnalités : antispyware, antirootkit, protection pro-active contre les menaces inconnues ou encore protection contre les sites frauduleux se sont généralisées sur la quasi totalité des antivirus du marché, même en version de base.
L'éditeur des solutions de protection des données Kaspersky a publié son rapport de sécurité pour le premier semestre de l'année 2008. D'une manière générale, la prolifération des menaces a triplé par rapport au premier semestre 2007. En tout, ce sont 367 772 nouveaux malware qui ont été détectés en 2008, cela représente une moyenne de 61 295,33 par mois.
Lundi dernier, Symantec a annoncé être entré dans le programme VMware Alliance Affiliate Initiative, un réseau visant à former des rapprochements technologiques dans plusieurs domaines de l'informatique d'entreprise.
Entre le 9 et le 13 juin dernier, le centre de recherches technologiques de Symantec a mené une étude auprès 874 départements IT d'entreprises dans 9 pays de l'Union européenne.
Symantec annonce la gamme 2009 de ses logiciels de sécurité, constituée de Norton Antivirus et Norton Internet Security 2020. Pour ces nouvelles versions, Symantec déclare avoir mis l'accent sur la rapidité des logiciels et sur leur faible impact au niveau des performances. Rowan Trollope, Vice Président de la division grand public de l'éditeur, en fait une priorité : « Nous avons voulu changer la perception des logiciels de sécurité auprès des utilisateurs qui les considèrent comme volumineux, lourds et lents. Nous avons essayé de réduire cet impact à zero, et de ne pas être simplement plus rapides que nos concurrents, mais d'être les plus rapides » . Pour celà, Symantec a affirme avoir revu sa copie dès l'installation, dont la procédure a été créée de zero, prenant notamment exemple sur la simplicité de Mac OS X dans ce domaine (selon le propre aveu de Rowan Trollope).
BitDefender annonce la disponibilité de sa nouvelle gamme 2009 de produits de sécurité, composée comme précédemment de trois produits : BitDefender Antivirus 2009, BitDefender Internet Security 2009 et BitDefender Total Security 2009. La gamme s'enrichit notamment de nouveautés apportées au produit haut de gamme, Total Security qui se dote d'un module de protection des données sensibles par un algorithme AES 256 bits et d'une protection de la messagerie instantanée, permettant notamment de chiffrer les échanges. La protection en temps réel se voit quant à elle améliorée au niveau de la défense proactive, et la suite permet de protéger de manière centralisée l'ensemble des PC d'un réseau local.
Au Pays-Bas, un jeune homme de 19 ans a été arrêté pour avoir créé puis distribué un programme malveillant. Aidé par le FBI et par l'éditeur d'anti-virus Kapersky, l'unite-criminelle-high-Tech Néerlandaise affirme que ce hacker était sur le point de vendre ce botnet à un brésilien de 35 ans pour la somme de 25 000 euros.