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Après une introduction réussie au , le fournisseur de services en ligne de CRM doit faire face au mécontentement de certains de ses "petits porteurs".
Après une introduction en bourse euphorique en juin 2004, le spécialiste des services en ligne de management de la relation clients, Salesforce.com, doit faire face au mécontentement de certains de ses actionnaires.
Bien que le fournisseur américain ait réussi à imposer son modèle à l'international, à savoir proposer sur Internet en mode hébergé (ASP) des solutions dédiées à la gestion du service et du support clients, à l'automatisation des forces de vente et du marketing, il n'aurait pas été assez "transparent".
Fin juillet dernier, trois plaintes en nom collectif ont été déposées dans l'Etat de Caroline du Nord par des groupes de "petits porteurs" contre Salesforce.com et sa direction.
Ces actionnaires accusent Salesforce.com et certains de ses dirigeants d'avoir dissimulé des informations essentielles - concernant la décroissance de ses bénéfices - pour assurer son introduction au Nasdaq. Le jour de cette introduction l'action est passée à 15 dollars, alors que le prix initial avait été fixé à 11 dollars.
Au grand étonnement de certains, il y a deux semaines, la direction générale de Salesforce.com a déclaré tabler sur un chiffre d'affaires 2005 de 165 millions de dollars et sur un bénéfice par action de 3 cents, au lieu des 175 millions et des 6 cents espérés par les investisseurs à la suite des précédentes déclarations de l'exécutif de Salesforce.
Il est peu probable néanmoins, que les actionnaires "floués" obtiennent gain de cause en justice.
A l'heure actuelle, Salesforce.com compte 10 700 clients à travers le monde, dont AOL et , et 161 000 abonnés payants. Tous bénéficient automatiquement, sans coût supplémentaire, des mises à jour régulières de leur service de "CRM à la demande".
Disponible en 11 langues dont le français, le service Salesforce.com est proposé en quatre éditions : Personal, qui est gratuite, Enterprise, Team et Professional, payantes.
Enfin, les administrateurs ont la possibilité de créer des extensions vers des applications d'éditeurs tels que BEA, Borland, et Microsoft, ou vers des logiciels "open source" comme Apache, Perl et PHP.
Après une introduction en bourse euphorique en juin 2004, le spécialiste des services en ligne de management de la relation clients, Salesforce.com, doit faire face au mécontentement de certains de ses actionnaires.
Bien que le fournisseur américain ait réussi à imposer son modèle à l'international, à savoir proposer sur Internet en mode hébergé (ASP) des solutions dédiées à la gestion du service et du support clients, à l'automatisation des forces de vente et du marketing, il n'aurait pas été assez "transparent".
Fin juillet dernier, trois plaintes en nom collectif ont été déposées dans l'Etat de Caroline du Nord par des groupes de "petits porteurs" contre Salesforce.com et sa direction.
Ces actionnaires accusent Salesforce.com et certains de ses dirigeants d'avoir dissimulé des informations essentielles - concernant la décroissance de ses bénéfices - pour assurer son introduction au Nasdaq. Le jour de cette introduction l'action est passée à 15 dollars, alors que le prix initial avait été fixé à 11 dollars.
Au grand étonnement de certains, il y a deux semaines, la direction générale de Salesforce.com a déclaré tabler sur un chiffre d'affaires 2005 de 165 millions de dollars et sur un bénéfice par action de 3 cents, au lieu des 175 millions et des 6 cents espérés par les investisseurs à la suite des précédentes déclarations de l'exécutif de Salesforce.
Il est peu probable néanmoins, que les actionnaires "floués" obtiennent gain de cause en justice.
A l'heure actuelle, Salesforce.com compte 10 700 clients à travers le monde, dont AOL et , et 161 000 abonnés payants. Tous bénéficient automatiquement, sans coût supplémentaire, des mises à jour régulières de leur service de "CRM à la demande".
Disponible en 11 langues dont le français, le service Salesforce.com est proposé en quatre éditions : Personal, qui est gratuite, Enterprise, Team et Professional, payantes.
Enfin, les administrateurs ont la possibilité de créer des extensions vers des applications d'éditeurs tels que BEA, Borland, et Microsoft, ou vers des logiciels "open source" comme Apache, Perl et PHP.
