0
Avec un bon semestre de retard sur le 6650 de Nokia, Sony Ericsson dévoile le Z1010, son premier téléphone UMTS
La 3G c'est pour bientôt. Avec un bon semestre de retard sur le 6650 de son concurrent Nokia, le constructeur nippo-suédois Sony Ericsson dévoile le Z1010, son premier téléphone UMTS basé sur la technologie W-CDMA, compatible avec les réseaux 3G européens.
Contrairement aux premiers combinés japonais du réseau FOMA de DoCoMo, le Z1010 sera multibande et pourra donner accès aussi bien aux réseaux GSM/GPRS que UMTS.
Pliable, à la manière des terminaux 3G japonais, ce Z1010 a été optimisé pour l'imagerie. Il dispose en effet de deux caméras, l'une dans le dos de l'appareil et une seconde, plus petite, sous l'écran principal de 167*220 pixels et 65 536 couleurs. Le Z1010 dispose d'un second écran, noir et blanc, de 101*80 pixels, sur la face avant de l'appareil.
Profitant de la technologie UMTS et d'un débit ascendant de 64 kb/s et descendant de 384 kb/s, le Z1010 permet d'envoyer par MMS des séquences vidéos, au format QCIF, ou des photos au format VGA. Le médiaphone est également capable de lire des fichiers vidéo MPEG-4, H.263 ou des séquences audio en MP3, ACC ou AMR.
Sony Ericsson annonce également des sonneries polyphoniques, le WAP 2.0, le Java MIDP 1.0, bluetooth "longue portée", le format d'extension MemoryStick Duo (qui équipe déjà le P800) ou encore un port USB et un port IrDA. Aucune information n'est par contre disponible sur le logiciel qui pourrait donc ne pas être symbian...
"Nous présentons ce produit pour soutenir le lancement commercial des réseaux 3G, pour séduire les consommateurs et les développeurs d'applications. 2003 sera l'année où l'industrie va se focaliser sur l'interopérabilité et la standardisation afin de lancer des réseaux et des applications 3G attractifs" indique Jan Wäreby, Corporate Executive VP, Responsable commercial chez Sony Ericsson.
Reste à connaitre le prix du Z1010 et surtout la politique commerciale des opérateurs cellulaires qui, après avoir tant dépensé pour leurs licences UMTS, font pour l'instant preuve d'une certaine discrétion sur le lancement effectif de leurs réseaux 3G.
La 3G c'est pour bientôt. Avec un bon semestre de retard sur le 6650 de son concurrent Nokia, le constructeur nippo-suédois Sony Ericsson dévoile le Z1010, son premier téléphone UMTS basé sur la technologie W-CDMA, compatible avec les réseaux 3G européens.
Contrairement aux premiers combinés japonais du réseau FOMA de DoCoMo, le Z1010 sera multibande et pourra donner accès aussi bien aux réseaux GSM/GPRS que UMTS.
Pliable, à la manière des terminaux 3G japonais, ce Z1010 a été optimisé pour l'imagerie. Il dispose en effet de deux caméras, l'une dans le dos de l'appareil et une seconde, plus petite, sous l'écran principal de 167*220 pixels et 65 536 couleurs. Le Z1010 dispose d'un second écran, noir et blanc, de 101*80 pixels, sur la face avant de l'appareil.
Profitant de la technologie UMTS et d'un débit ascendant de 64 kb/s et descendant de 384 kb/s, le Z1010 permet d'envoyer par MMS des séquences vidéos, au format QCIF, ou des photos au format VGA. Le médiaphone est également capable de lire des fichiers vidéo MPEG-4, H.263 ou des séquences audio en MP3, ACC ou AMR.
Sony Ericsson annonce également des sonneries polyphoniques, le WAP 2.0, le Java MIDP 1.0, bluetooth "longue portée", le format d'extension MemoryStick Duo (qui équipe déjà le P800) ou encore un port USB et un port IrDA. Aucune information n'est par contre disponible sur le logiciel qui pourrait donc ne pas être symbian...
"Nous présentons ce produit pour soutenir le lancement commercial des réseaux 3G, pour séduire les consommateurs et les développeurs d'applications. 2003 sera l'année où l'industrie va se focaliser sur l'interopérabilité et la standardisation afin de lancer des réseaux et des applications 3G attractifs" indique Jan Wäreby, Corporate Executive VP, Responsable commercial chez Sony Ericsson.
Reste à connaitre le prix du Z1010 et surtout la politique commerciale des opérateurs cellulaires qui, après avoir tant dépensé pour leurs licences UMTS, font pour l'instant preuve d'une certaine discrétion sur le lancement effectif de leurs réseaux 3G.
