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Les consoles portables de nouvelle génération n'échappent pas à la règle du piratage. Il n'aura fallu que quelques mois pour permettre à des hackers du monde entier de mettre en point des systèmes permettant de les pirater.
Ainsi, concernant la nouvelle console portable à double écran de Nintendo, la DS, bien que ne permettant pas de disposer d'un système de mémoire interne accessible à distance ou non, des groupes de hackers ont déjà mis au point un périphérique permettant d'y connecter des cartes mémoires flash réinscriptibles.
Ces cartes sont disponibles via des capacités de 512MB et 1GB et peuvent ainsi contenir et permettre d'executer la majorité des jeux de la console qui sont déjà disponibles sur les réseaux de type Peer To Peer. Si aujourd'hui des jeux comme Nintendogs ou Super Mario 64 DS sont téléchargeables sur ces réseaux, de nouveaux programmes (navigateur web, lecteur de mail, ...) développés pour la console seront sans doute également prochainement disponibles.
Concernant la première console portable de Sony, la PSP, celle-ci a résisté semble-t-il quelques mois de plus et vient récemment d'être piratée à plus grande échelle. En effet, si depuis quelques mois, il était déjà possible d'exécuter des programmes créés ou adaptés par des développeurs tiers, aujourd'hui principalement des émulateurs d'anciennes consoles (Megadrive, Super NES), sur des consoles Japonaises de première génération (firmware 1.00), il est désormais possible également de les exécuter sur des nouvelles consoles PSP produites en série (firmware 1.50), qu'elles soient Anglaises ou Japonaises.
A noter que les premières consoles Japonaises étaient disponibles via un firmware 1.00, puis ont été mises à jour en version 1.50 avec un support de plusieurs autres langues (dont l'Anglais et le Français), mais également avec des corrections de failles connues de sécurité. C'est ainsi que même avec cette mise à jour, des hackers ont trouvé un moyen également d'exécuter des programmes non signés sur la console, ce via une carte externe MemoryStick et un PC sous Windows.
A noter cependant que si il est possible d'exécuter des programmes comme des émulateurs ou des petits jeux (echecs, labyrinthe, Tetris...), il ne semble toutefois pas encore possible de lancer des jeux depuis une carte mémoire MemoryStick, les protections mises en place par Sony étant toujours d'actualité... pour combien de temps ?
En attendant, même en utilisant des protocoles de cryptage de clefs numériques permettant d'authentifier un contenu en voie d'être exécuté sur une console portable, il semble toujours y avoir des failles de sécurité permettant aux hackers de les exploiter, sans pour autant à avoir à décrypter ces mêmes clefs, processus qui peut prendre des mois (avec de la chance), voire des années (plus probable).
Pour contourner ces problèmes, Sony a mis en place un système de mise à jour régulière du système des consoles PSP avec une obligation de la part des éditeurs d'empêcher le fonctionnement de certains nouveaux jeux sur des consoles anciennes non à jour. Quelle sera maintenant la réponse de Nintendo ?
Ainsi, concernant la nouvelle console portable à double écran de Nintendo, la DS, bien que ne permettant pas de disposer d'un système de mémoire interne accessible à distance ou non, des groupes de hackers ont déjà mis au point un périphérique permettant d'y connecter des cartes mémoires flash réinscriptibles.
Ces cartes sont disponibles via des capacités de 512MB et 1GB et peuvent ainsi contenir et permettre d'executer la majorité des jeux de la console qui sont déjà disponibles sur les réseaux de type Peer To Peer. Si aujourd'hui des jeux comme Nintendogs ou Super Mario 64 DS sont téléchargeables sur ces réseaux, de nouveaux programmes (navigateur web, lecteur de mail, ...) développés pour la console seront sans doute également prochainement disponibles.
Concernant la première console portable de Sony, la PSP, celle-ci a résisté semble-t-il quelques mois de plus et vient récemment d'être piratée à plus grande échelle. En effet, si depuis quelques mois, il était déjà possible d'exécuter des programmes créés ou adaptés par des développeurs tiers, aujourd'hui principalement des émulateurs d'anciennes consoles (Megadrive, Super NES), sur des consoles Japonaises de première génération (firmware 1.00), il est désormais possible également de les exécuter sur des nouvelles consoles PSP produites en série (firmware 1.50), qu'elles soient Anglaises ou Japonaises.
A noter que les premières consoles Japonaises étaient disponibles via un firmware 1.00, puis ont été mises à jour en version 1.50 avec un support de plusieurs autres langues (dont l'Anglais et le Français), mais également avec des corrections de failles connues de sécurité. C'est ainsi que même avec cette mise à jour, des hackers ont trouvé un moyen également d'exécuter des programmes non signés sur la console, ce via une carte externe MemoryStick et un PC sous Windows.
A noter cependant que si il est possible d'exécuter des programmes comme des émulateurs ou des petits jeux (echecs, labyrinthe, Tetris...), il ne semble toutefois pas encore possible de lancer des jeux depuis une carte mémoire MemoryStick, les protections mises en place par Sony étant toujours d'actualité... pour combien de temps ?
En attendant, même en utilisant des protocoles de cryptage de clefs numériques permettant d'authentifier un contenu en voie d'être exécuté sur une console portable, il semble toujours y avoir des failles de sécurité permettant aux hackers de les exploiter, sans pour autant à avoir à décrypter ces mêmes clefs, processus qui peut prendre des mois (avec de la chance), voire des années (plus probable).
Pour contourner ces problèmes, Sony a mis en place un système de mise à jour régulière du système des consoles PSP avec une obligation de la part des éditeurs d'empêcher le fonctionnement de certains nouveaux jeux sur des consoles anciennes non à jour. Quelle sera maintenant la réponse de Nintendo ?
