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Kinderstart, moteur américain destiné aux jeunes enfants, accuse Google de limiter volontairement sa visibilité afin de se débarrasser d'un concurrent potentiel
L'indice de popularité des pages web utilisé par Google, PageRank de 0 à 10, est à nouveau remis en cause.
L'éditeur de Kinderstart.com, moteur de recherche destiné aux enfants âgés de 0 à 7 ans, a déposé plainte contre Google en Californie. Kinderstart accuse Google de limiter volontairement sa visibilité afin de se débarrasser d'un concurrent potentiel.
Selon Kinderstart, le site aurait perdu 70% de son audience au printemps 2005 après que son PageRank se soit effondré jusqu'à 0. Lorsqu'un internaute tapait le mot clé 'Kinderstart' sur Google, le site n'apparaissait plus dans la première page de résultat.
Kinderstart entend mener une action collective (class action) pour le compte d'autres sites qui, comme lui, auraient perdu de l'audience du fait d'une chute de leur PageRank.
Google, de son côté, affirme que son indice de popularité basé sur l'étude des liens entre les pages, repose à la fois sur des critères objectifs (algorithme) et sur des critères subjectifs de pertinence qui relèvent de la libre expression. Or, cette dernière est inscrite au sacro-saint 1er amendement de la Constitution des Etats-Unis.
Le juge de la cour de district nord de Californie, San Jose, entendra les arguments des deux parties lors d'une prochaine audition, le 29 septembre 2006, afin de déterminer la suite à donner à cette affaire.
Il est peu probable que Kinderstart.com l'emporte.
L'indice de popularité des pages web utilisé par Google, PageRank de 0 à 10, est à nouveau remis en cause.
L'éditeur de Kinderstart.com, moteur de recherche destiné aux enfants âgés de 0 à 7 ans, a déposé plainte contre Google en Californie. Kinderstart accuse Google de limiter volontairement sa visibilité afin de se débarrasser d'un concurrent potentiel.
Selon Kinderstart, le site aurait perdu 70% de son audience au printemps 2005 après que son PageRank se soit effondré jusqu'à 0. Lorsqu'un internaute tapait le mot clé 'Kinderstart' sur Google, le site n'apparaissait plus dans la première page de résultat.
Kinderstart entend mener une action collective (class action) pour le compte d'autres sites qui, comme lui, auraient perdu de l'audience du fait d'une chute de leur PageRank.
Google, de son côté, affirme que son indice de popularité basé sur l'étude des liens entre les pages, repose à la fois sur des critères objectifs (algorithme) et sur des critères subjectifs de pertinence qui relèvent de la libre expression. Or, cette dernière est inscrite au sacro-saint 1er amendement de la Constitution des Etats-Unis.
Le juge de la cour de district nord de Californie, San Jose, entendra les arguments des deux parties lors d'une prochaine audition, le 29 septembre 2006, afin de déterminer la suite à donner à cette affaire.
Il est peu probable que Kinderstart.com l'emporte.
