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La diplomatie américaine demande à Bruxelles "de faire preuve de transparence et d'équité" dans le différend 'antitrust' qui l'oppose à Microsoft.
A l'heure où Microsoft défend ses arguments "concurrentiels" devant une Commission européenne sceptique, les Etats-Unis entrent dans le débat.
Selon l'International Herald Tribune du 31 mars 2006, la diplomatie américaine aurait demandé à Bruxelles de respecter les droits de la défense et d'assurer un "traitement équitable" de ce dossier 'antitrust'.
Accusé d'abus de position dominante, Microsoft estime avoir apporté une réponse "adéquate" à la requête européenne formulée le 21 décembre dernier ("Statement of Objections"). Cette requête lui impose, sous peine d'une astreinte de 2 M€ par jour, de se conformer aux exigences de Bruxelles communiquées en mars 2004, à savoir : Des mesures correctives complétées d'une amende de 497 M€.
Le numéro un mondial du logiciel affirme avoir répondu aux attentes européennes à travers la fourniture de protocoles nécessaires à l'interopérabilité entre PC/Serveurs sous Windows et logiciels concurrents, et l'accessibilité sous licence au code source de son OS.
Quoi qu'il en soit, l'exécutif européen estime que la documentation technique fournie jusqu'ici ne permet pas une interopérabilité effective. De plus, Bruxelles a récemment déclaré ne pas souhaiter que le nouvel OS de Microsoft, Windows Vista, intègre certaines applications 'maison' pré-installées.
L'entretien bruxellois à huis clos de Microsoft a débuté jeudi et s'achèvera vendredi soir. Malgré l'intervention des Etats-Unis, la Commission européenne pourrait décider la mise en œuvre rétroactive d'une astreinte journalière qui cesserait une fois les mesures correctives effectivement appliquées.
A l'heure où Microsoft défend ses arguments "concurrentiels" devant une Commission européenne sceptique, les Etats-Unis entrent dans le débat.
Selon l'International Herald Tribune du 31 mars 2006, la diplomatie américaine aurait demandé à Bruxelles de respecter les droits de la défense et d'assurer un "traitement équitable" de ce dossier 'antitrust'.
Accusé d'abus de position dominante, Microsoft estime avoir apporté une réponse "adéquate" à la requête européenne formulée le 21 décembre dernier ("Statement of Objections"). Cette requête lui impose, sous peine d'une astreinte de 2 M€ par jour, de se conformer aux exigences de Bruxelles communiquées en mars 2004, à savoir : Des mesures correctives complétées d'une amende de 497 M€.
Le numéro un mondial du logiciel affirme avoir répondu aux attentes européennes à travers la fourniture de protocoles nécessaires à l'interopérabilité entre PC/Serveurs sous Windows et logiciels concurrents, et l'accessibilité sous licence au code source de son OS.
Quoi qu'il en soit, l'exécutif européen estime que la documentation technique fournie jusqu'ici ne permet pas une interopérabilité effective. De plus, Bruxelles a récemment déclaré ne pas souhaiter que le nouvel OS de Microsoft, Windows Vista, intègre certaines applications 'maison' pré-installées.
L'entretien bruxellois à huis clos de Microsoft a débuté jeudi et s'achèvera vendredi soir. Malgré l'intervention des Etats-Unis, la Commission européenne pourrait décider la mise en œuvre rétroactive d'une astreinte journalière qui cesserait une fois les mesures correctives effectivement appliquées.
