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Après avoir frôlé la faillite, le groupe Alcatel semble enfin voir le bout du tunnel. Pour le deuxième trimestre 2003, le groupe annonce une perte nette ramenée à 675 millions d'euros (contre 1 143 M€ en T2 2002) et surtout un résultat d'exploitation désormais positif, à 21 millions d'euros.
Malgré la crise des télécoms, la baisse du dollar et un recul de 26% du chiffre d'affaires, désormais de 3 149 M€, le groupe Alcatel, dirigé par Serge TCHURUK, est parvenu à maîtrises ses dépenses au prix de nombreux sacrifices. En deux ans, Alcatel devrait ainsi perdre la moitié de ses effectifs...
Le groupe est désormais profitable dans les communications fixes, grâce au boom de l'ADSL et dans le mobile, grâce à la croissance du GSM. Par contre, le segment des combinés téléphoniques reste négatif et le groupe mise sur un retour à la profitabilité au prochain semestre. Sur l'ensemble de l'année 2003, Alcatel devrait toutefois afficher un résultat opérationnel positif.
Affichant une croissance de 6% sur la séance de mardi et de 98% depuis le 1er janvier, le cours de l'action Alcatel semble traduire le retour en grâce de l'équipementier auprès des marchés financiers.
Probablement mieux gérée que Vivendi Universal et , deux autres géants du CAC40 dont les PDG ont été remerciés, le groupe Alcatel est donc bien positionné pour attendre une reprise du secteur des télécoms avec l'arrivée de la télévision sur ligne DSL et bien sûr de l'UMTS.
Malgré la crise des télécoms, la baisse du dollar et un recul de 26% du chiffre d'affaires, désormais de 3 149 M€, le groupe Alcatel, dirigé par Serge TCHURUK, est parvenu à maîtrises ses dépenses au prix de nombreux sacrifices. En deux ans, Alcatel devrait ainsi perdre la moitié de ses effectifs...
Le groupe est désormais profitable dans les communications fixes, grâce au boom de l'ADSL et dans le mobile, grâce à la croissance du GSM. Par contre, le segment des combinés téléphoniques reste négatif et le groupe mise sur un retour à la profitabilité au prochain semestre. Sur l'ensemble de l'année 2003, Alcatel devrait toutefois afficher un résultat opérationnel positif.
Affichant une croissance de 6% sur la séance de mardi et de 98% depuis le 1er janvier, le cours de l'action Alcatel semble traduire le retour en grâce de l'équipementier auprès des marchés financiers.
Probablement mieux gérée que Vivendi Universal et , deux autres géants du CAC40 dont les PDG ont été remerciés, le groupe Alcatel est donc bien positionné pour attendre une reprise du secteur des télécoms avec l'arrivée de la télévision sur ligne DSL et bien sûr de l'UMTS.
