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Malgré ses surcapacités, le business des télécoms intéresse les investisseurs. Courtier spécialisé dans les capacités de télécommunications, la société française TradingCom annonce une troisième levée de fonds de 3 millions d'euros réalisée auprès du groupe LCF Rothschild.
Fondée en 1999 par Arnaud Beauregard, la société a réalisé une première levée de fonds de 600 000 euros en octobre 1999, auprès de deux business angels (Antoine Leprince-Ringuet et Alain du Brule de Rouvroy) puis une seconde levée de fonds de 10 millions d'euros en juin 2000, auprès d'Azéo Ventures, Artémis-net, Euler-Sfac, Netcre@tion et ADBR Ventures.
Tout comme BandX ou ArbiNet, TradingCom cherche à profiter de la dérégulation des télécommunications pour devenir un véritable intermédiaire réunissant propriétaires de réseaux de télécommunications ou grossistes d'une part, et "distributeurs" et consommateurs de capacités (entreprises, opérateurs avec contact client, cartes prépayées, etc...) d'autre part. La société fluidifie la rencontre entre offre et demande et prend une marge sur chaque communication réalisée par son intermédiaire.
Présente en Allemagne, en France et en Grande-Bretagne, la société revendique environ 80 clients et a réalisé un CA de 29 millions d'euros tout en restant déficitaire. Mais la croissance de la demande (gsm, adsl, etc...) et la disparition de certains acteurs (Worldcom, KPN qwest) pourraient entrainer une hausse de prix au plus grand bénéfice.. de ses bénéfices.
Fondée en 1999 par Arnaud Beauregard, la société a réalisé une première levée de fonds de 600 000 euros en octobre 1999, auprès de deux business angels (Antoine Leprince-Ringuet et Alain du Brule de Rouvroy) puis une seconde levée de fonds de 10 millions d'euros en juin 2000, auprès d'Azéo Ventures, Artémis-net, Euler-Sfac, Netcre@tion et ADBR Ventures.
Tout comme BandX ou ArbiNet, TradingCom cherche à profiter de la dérégulation des télécommunications pour devenir un véritable intermédiaire réunissant propriétaires de réseaux de télécommunications ou grossistes d'une part, et "distributeurs" et consommateurs de capacités (entreprises, opérateurs avec contact client, cartes prépayées, etc...) d'autre part. La société fluidifie la rencontre entre offre et demande et prend une marge sur chaque communication réalisée par son intermédiaire.
Présente en Allemagne, en France et en Grande-Bretagne, la société revendique environ 80 clients et a réalisé un CA de 29 millions d'euros tout en restant déficitaire. Mais la croissance de la demande (gsm, adsl, etc...) et la disparition de certains acteurs (Worldcom, KPN qwest) pourraient entrainer une hausse de prix au plus grand bénéfice.. de ses bénéfices.