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Ericsson France lance "Mobility World", un programme de partenariats pour le développement de l'internet mobile.
Le semi échec du WAP a visiblement traumatisé les constructeurs. Afin de ratraper le coup et de veiller à la migration d'un maximum de services en ligne vers l'internet mobile, le constructeur suédois Ericsson lance "Mobility World", un programme destiné à promouvoir sa plate-forme technique et à aider les éditeurs dans leur migration vers le WAP, le MMS, Bluetooth,la géolocalisation ou encore les applications à haut débit exploitant les réseaux GPRS et demain UMTS.
Lancé en Mars en suède et fin Mai en France, "Ericsson Mobility Word" se décline en 3 niveaux de coopération avec les concepteurs de services. D'une part, la traduction en français du site "OpenZone" disposant de nombreuses informations techniques comme des kits de développement d'applications WAP ou bluetooth. Le site compterait ainsi près de 90.000 abonnés dont 2.500 français.
Le second niveau de EMW, qualifié de "Associates", permet aux partenaires d'Ericsson de procéder à des tests et à la certification d'applications sur du matériel Ericsson. Le constructeur propose ainsi la location d'une camionette équipée de PC, supposés reproduire
les conditions d'utilisation d'un téléphone UMTS (mais la camionette ne tient pas dans la poche...). Ce deuxième niveau aurait déjà séduit des start-up comme Wap'n'roll, MobiQuid, Himalaya ou encore tincell.
Enfin, Ericsson propose un troisième niveau appelé "Partners", permettant une commercialisation commune, sous la forme de Packs de services, auprès des opérateurs.
Cherchant visiblement à éviter les problèmes d'incompatiblité, très fréquents dans l'informatique, Ericsson affiche officiellement sa préférence pour les solutions "ouvertes" : LIF pour la géolocalisation, SynchML pour les synchronisations, Bluetooth pour les réseaux locaux ou encore MPEG4 pour le multimédia.
Relativement humble, de la part d'un poids lourd comme Ericsson, ce programme devrait ainsi lui permettre de populariser ses outils et ses standards auprès des développeurs, au même titre que n'importe quel éditeur de système d'exploitation.
Le semi échec du WAP a visiblement traumatisé les constructeurs. Afin de ratraper le coup et de veiller à la migration d'un maximum de services en ligne vers l'internet mobile, le constructeur suédois Ericsson lance "Mobility World", un programme destiné à promouvoir sa plate-forme technique et à aider les éditeurs dans leur migration vers le WAP, le MMS, Bluetooth,la géolocalisation ou encore les applications à haut débit exploitant les réseaux GPRS et demain UMTS.
Lancé en Mars en suède et fin Mai en France, "Ericsson Mobility Word" se décline en 3 niveaux de coopération avec les concepteurs de services. D'une part, la traduction en français du site "OpenZone" disposant de nombreuses informations techniques comme des kits de développement d'applications WAP ou bluetooth. Le site compterait ainsi près de 90.000 abonnés dont 2.500 français.
Le second niveau de EMW, qualifié de "Associates", permet aux partenaires d'Ericsson de procéder à des tests et à la certification d'applications sur du matériel Ericsson. Le constructeur propose ainsi la location d'une camionette équipée de PC, supposés reproduire
les conditions d'utilisation d'un téléphone UMTS (mais la camionette ne tient pas dans la poche...). Ce deuxième niveau aurait déjà séduit des start-up comme Wap'n'roll, MobiQuid, Himalaya ou encore tincell.
Enfin, Ericsson propose un troisième niveau appelé "Partners", permettant une commercialisation commune, sous la forme de Packs de services, auprès des opérateurs.
Cherchant visiblement à éviter les problèmes d'incompatiblité, très fréquents dans l'informatique, Ericsson affiche officiellement sa préférence pour les solutions "ouvertes" : LIF pour la géolocalisation, SynchML pour les synchronisations, Bluetooth pour les réseaux locaux ou encore MPEG4 pour le multimédia.
Relativement humble, de la part d'un poids lourd comme Ericsson, ce programme devrait ainsi lui permettre de populariser ses outils et ses standards auprès des développeurs, au même titre que n'importe quel éditeur de système d'exploitation.
