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Le fabricant de la célèbre pâte à tartiner Nutella contraint trois sites allemands utilisant le programme Gnutella à fermer leurs portes.
Alors que le site d'échange de musique Napster se débat dans un procès sans fin, essayant de retarder sa fermeture, voici qu'un de « ses successeurs potentiels » se voit attaqué, non pas par l'industrie du disque mais par un ennemi totalement insoupçonné qui n'est autre que son homonyme !
Ferrero, le fabricant allemand de la célèbre pâte à tartiner chocolat-noisette Nutella, a décidé d'attaquer en justice trois sites pirates allemands utilisant Gnutella, un programme qui permet de s'échanger fichiers musicaux et vidéos. Gnutella.de, Newtella.de et Knutella.de doivent fermer immédiatement sous peine de poursuites judiciaires.
Ferrero souhaite en effet protéger sa réputation. Le groupe en a assez que des "millions d'internautes associent la marque Nutella avec un conglomérat virtuel de pirates et d'amis de la pornographie infantile", selon les termes de la plainte déposée le 17 janvier.
Gnutella n'appartient à personne. Son code source a été répandu sur le net et se trouve donc accessible à tous les internautes. Ainsi des centaines de ses variantes coexistent sur la toile . Mais le problème c'est qu'en janvier dernier, un webzine allemand avait révélé que des photos pédophiles s'échangeaient sur des réseaux Gnutella.
Dur à avaler pour la marque qui fournit le goûter des enfants !
Alors que le site d'échange de musique Napster se débat dans un procès sans fin, essayant de retarder sa fermeture, voici qu'un de « ses successeurs potentiels » se voit attaqué, non pas par l'industrie du disque mais par un ennemi totalement insoupçonné qui n'est autre que son homonyme !
Ferrero, le fabricant allemand de la célèbre pâte à tartiner chocolat-noisette Nutella, a décidé d'attaquer en justice trois sites pirates allemands utilisant Gnutella, un programme qui permet de s'échanger fichiers musicaux et vidéos. Gnutella.de, Newtella.de et Knutella.de doivent fermer immédiatement sous peine de poursuites judiciaires.
Ferrero souhaite en effet protéger sa réputation. Le groupe en a assez que des "millions d'internautes associent la marque Nutella avec un conglomérat virtuel de pirates et d'amis de la pornographie infantile", selon les termes de la plainte déposée le 17 janvier.
Gnutella n'appartient à personne. Son code source a été répandu sur le net et se trouve donc accessible à tous les internautes. Ainsi des centaines de ses variantes coexistent sur la toile . Mais le problème c'est qu'en janvier dernier, un webzine allemand avait révélé que des photos pédophiles s'échangeaient sur des réseaux Gnutella.
Dur à avaler pour la marque qui fournit le goûter des enfants !
