0
Le colloque "développement de la recherche industrielle en France et aux Etats-Unis" a fait salle comble lundi rue de Bercy, au centre de conférences Pierre Mendès France du ministère de l'économie, des finances et de l'industrie (MINEFI).
La conférence a été l'objet d'interventions remarquées en faveur du "soutien à l'innovation et la croissance."
Parmi les intervenants : Jeanne SEYVET, Directrice générale de l'industrie, des technologies de l'information et des postes, Charles WESSNER, Directeur de l'innovation et des technologies de la National Academy of Sciences (NAS), et Philippe JURGENSEN, Président de l'ANVAR - Agence nationale de valorisation de la recherche.
La ministre déléguée à l'industrie, Nicole FONTAINE, a salué chaleureusement la présence de tous les participants américains au colloque, notamment Howard H. LEACH, ambassadeur des Etats-Unis en France.
"Ce qui nous unit est plus fort que ce qui nous distingue", a souligné la ministre en référence au conflit actuel en Irak.
"Les Etats-Unis sont les premiers investisseurs étrangers en France, ainsi que les premiers destinataires des investissements français hors de l'hexagone", a par ailleurs rappelé Madame FONTAINE.
Pour l'ensemble des intervenants, les échanges en matière de R&D ne doivent plus se limiter aux grands groupes (les français Saint Gobain, Air Liquide, Michelin présents aux Etats-Unis, ou encore les américains et présents en France), les PMI doivent également bénéficier du partage des connaissances.
"Le dynamisme d'une économie dépend de sa capacité à sortir de la logique routinière du 'circuit', pour entrer dans un processus 'd'évolution' grâce à la réorganisation des moyens de production, de nouvelles techniques, de nouveaux produits, de nouvelles formes d'organisation", a insisté Nicole FONTAINE.
Le développement de l'innovation est le meilleur atout "pour permettre aux entreprises de réagir de façon positive à la concurrence mondiale qu'entraîne la globalisation des échanges. Toutefois, la solution n'est ni dans le protectionnisme frileux ni dans le maintien en survie artificielle des secteurs non compétitifs", a poursuivi la ministre déléguée à l'industrie.
Avant de conclure : "Aujourd'hui environ 50% de la croissance tient directement à notre capacité innovatrice. Manque d'innovation, c'est le déclin programmé. Dynamisme de l'innovation, c'est la croissance assurée."
La conférence a été l'objet d'interventions remarquées en faveur du "soutien à l'innovation et la croissance."
Parmi les intervenants : Jeanne SEYVET, Directrice générale de l'industrie, des technologies de l'information et des postes, Charles WESSNER, Directeur de l'innovation et des technologies de la National Academy of Sciences (NAS), et Philippe JURGENSEN, Président de l'ANVAR - Agence nationale de valorisation de la recherche.
La ministre déléguée à l'industrie, Nicole FONTAINE, a salué chaleureusement la présence de tous les participants américains au colloque, notamment Howard H. LEACH, ambassadeur des Etats-Unis en France.
"Ce qui nous unit est plus fort que ce qui nous distingue", a souligné la ministre en référence au conflit actuel en Irak.
"Les Etats-Unis sont les premiers investisseurs étrangers en France, ainsi que les premiers destinataires des investissements français hors de l'hexagone", a par ailleurs rappelé Madame FONTAINE.
Pour l'ensemble des intervenants, les échanges en matière de R&D ne doivent plus se limiter aux grands groupes (les français Saint Gobain, Air Liquide, Michelin présents aux Etats-Unis, ou encore les américains et présents en France), les PMI doivent également bénéficier du partage des connaissances.
"Le dynamisme d'une économie dépend de sa capacité à sortir de la logique routinière du 'circuit', pour entrer dans un processus 'd'évolution' grâce à la réorganisation des moyens de production, de nouvelles techniques, de nouveaux produits, de nouvelles formes d'organisation", a insisté Nicole FONTAINE.
Le développement de l'innovation est le meilleur atout "pour permettre aux entreprises de réagir de façon positive à la concurrence mondiale qu'entraîne la globalisation des échanges. Toutefois, la solution n'est ni dans le protectionnisme frileux ni dans le maintien en survie artificielle des secteurs non compétitifs", a poursuivi la ministre déléguée à l'industrie.
Avant de conclure : "Aujourd'hui environ 50% de la croissance tient directement à notre capacité innovatrice. Manque d'innovation, c'est le déclin programmé. Dynamisme de l'innovation, c'est la croissance assurée."
