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New.net cherche à conquérir l'Europe avec ses noms de domaine. Camouflet envers l'ICANN ?
La société américaine New.net arrive sur le marché européen avec ses noms de domaine fleuris. L'ICANN, organisme de contrôle des noms de domaine, apprécie peu.
New.net cherche à tirer profit de la saturation de l'offre au niveau des «.com», «.org» et «.net», en se passant de la structure chargée d'administrer les adresses Internet dans leur ensemble : l'ICANN (The Internet Corporation for Assigned Names and Numbers).
Bill GROSS fondateur de Idealab, maison mère de New.net, insatisfait des 7 nouveaux domaines Internet retenus par l'ICANN, décidait de combattre le système.
Dès le mois de mars, New.net proposait l'enregistrement de 20 noms de domaine non officiels de premier niveau (TLD), que la société entendait bien administrer seule.
Aujourd'hui 10 autres suffixes viennent s'ajouter à cette longue liste. Moyennant 25 dollars, New.net enregistre des adresses web utilisant les extensions «.family », «.shop », «.sport », ou «.love », par exemple.
Dans le cadre de son développement européen, New.net a signé un accord avec Energis Squared au Royaume-Uni. Cette société fournit des solutions e-business et télécoms à ses clients, dont 6 fournisseurs d'accès britanniques. New.net a choisi par ailleurs d'ouvrir un bureau à Londres.
A noter : la consultation de sites utilisant les suffixes New.net nécessite que le fournisseur d'accès choisi par l'internaute ait passé un accord avec la société, ou que l'utilisateur installe un logiciel, distribué gratuitement, dans son navigateur...
Le résultat ne serait pas garanti.
La société américaine New.net arrive sur le marché européen avec ses noms de domaine fleuris. L'ICANN, organisme de contrôle des noms de domaine, apprécie peu.
New.net cherche à tirer profit de la saturation de l'offre au niveau des «.com», «.org» et «.net», en se passant de la structure chargée d'administrer les adresses Internet dans leur ensemble : l'ICANN (The Internet Corporation for Assigned Names and Numbers).
Bill GROSS fondateur de Idealab, maison mère de New.net, insatisfait des 7 nouveaux domaines Internet retenus par l'ICANN, décidait de combattre le système.
Dès le mois de mars, New.net proposait l'enregistrement de 20 noms de domaine non officiels de premier niveau (TLD), que la société entendait bien administrer seule.
Aujourd'hui 10 autres suffixes viennent s'ajouter à cette longue liste. Moyennant 25 dollars, New.net enregistre des adresses web utilisant les extensions «.family », «.shop », «.sport », ou «.love », par exemple.
Dans le cadre de son développement européen, New.net a signé un accord avec Energis Squared au Royaume-Uni. Cette société fournit des solutions e-business et télécoms à ses clients, dont 6 fournisseurs d'accès britanniques. New.net a choisi par ailleurs d'ouvrir un bureau à Londres.
A noter : la consultation de sites utilisant les suffixes New.net nécessite que le fournisseur d'accès choisi par l'internaute ait passé un accord avec la société, ou que l'utilisateur installe un logiciel, distribué gratuitement, dans son navigateur...
Le résultat ne serait pas garanti.
