Avis de la redaction
pour son prix, Sequel allie fonctionnalités et simplicité d'utilisation. On regrettera en revanche qu'il soit uniquement orienté grand public et ne propose pas, par exemple, d'ajouter des plugins d'effets ou instruments VST.
Plus réputé pour ses outils professionnels comme Cubase, Wavelab ou Nuendo, l'éditeur allemand Steinberg s'est lancé sur le terrain de la création musique " grand public " avec Sequel, la réponse de l'éditeur à Music Maker ou Garageband. Pour celà, le poids lourd de la MAO reprend la formule éprouvée par ses concurrents : création musicale à base de boucles, bibliothèque de sons rangés par catégorie et possibilité d'enregistrer ses propres mélodies avec un clavier MIDI (ou virtuel) et ses voix ou guitares si on dispose de l'équipement adéquat.
L'interface de Sequel est déroutante au premier abord mais s'avère tout à fait intuitive au bout de quelques minutes d'utilisation. Les fonctionnalités ne sont pas en reste : outre des possibilités d'éditions élevées, Sequel propose de nombreux effets à appliquer aux pistes ainsi qu'un mode " Live " permettant d'arranger ses créations en direct.
L'interface de Sequel est déroutante au premier abord mais s'avère tout à fait intuitive au bout de quelques minutes d'utilisation. Les fonctionnalités ne sont pas en reste : outre des possibilités d'éditions élevées, Sequel propose de nombreux effets à appliquer aux pistes ainsi qu'un mode " Live " permettant d'arranger ses créations en direct.
