Boris Johnson semble avoir finalement décidé d'écarter Huawei du réseau 5G du pays. Ce qui n'enchante pas l'entreprise, ni certains opérateurs télécoms locaux.
L'association de consommateurs appelle à un report des enchères de la technologie, invitant le gouvernement à ne pas tomber dans la précipitation et à attendre la publication du rapport de l'ANSES, prévu pour 2021.
Évoquant une rencontre entre un dirigeant italien et Washington, les médias locaux pensent que l'Italie pourrait prendre ses distances avec la firme de Shenzhen concernant la 5G.
Au programme : des smartphones plus économes en énergie, une connexion plus stable et un suivi amélioré en intérieur.
Le maire EELV de Grenoble a fait un drôle de raccourci pour résumer l'utilité de la 5G, dimanche dans le Grand Jury. Mais il estime surtout qu'en l'état, la priorité doit être mise ailleurs que sur la technologie de cinquième génération.
La firme de Shenzhen ne sera pas complètement rayée de l'Hexagone, même si l'ANSSI incite les opérateurs à ne pas collaborer avec elle.
Le géant chinois enregistre un nouveau revers et devra se contenter, face à ses concurrents européens, d'un rôle secondaire au sein de la Cité-État.
L'ARCEP a publié, jeudi, son observatoire des marchés télécoms pour le premier trimestre 2020, arrêté au 31 mars et marqué par la première partie de la crise de coronavirus. Avec des impacts indéniables sur les services de communications électroniques en France.
La Convention citoyenne pour le climat demandait un moratoire sur la 5G. Le gouvernement a décidé de ne pas donner suite à cette proposition, et confirmé le lancement des enchères à la rentrée.
Conséquence : les entreprises des télécommunications américaines ne pourront pas utiliser de fonds fédéraux pour installer les équipements de ces entreprises.
La RATP et les opérateurs de télécommunications ont annoncé, lundi, une couverture intégrale du réseau avec la technologie mobile. Une réelle avancée.
Les opérateurs de la Botte ont dépensé énormément d'argent pour lancer la technologie de cinquième génération, qui a du mal à prendre son envol. Et ce n'est pas forcément la faute des consommateurs.
L'ARCEP a publié, jeudi, son rapport annuel dans lequel elle dresse les évolutions marquantes des réseaux internet fixes et mobiles pour 2019 et leurs perspectives.
Les États-Unis commencent à se faire une raison. L'impact technologique de la firme chinoise sur la 5G est tel que les autorités ont daigné relâcher (un peu) la pression.
Le gouvernement avait préconisé la rentrée, l'autorité des télécoms a fini par trancher en sa faveur. La bataille pour les blocs de fréquence de 10 MHz ne démarrera donc que dans quatre mois.
Le président-directeur général du groupe Bouygues était auditionné par la commission de l'aménagement du territoire et du développement durable du Sénat, ce mercredi. L'occasion pour lui d'exprimer le fond de sa pensée sur la technologie de cinquième génération.
La secrétaire d'État à l'Économie, Agnès Pannier-Runacher, est plutôt favorable à un lancement des enchères 5G à la rentrée de septembre. Les quatre opérateurs, eux, ne privilégient pas tous la même option.
La firme de Shenzhen a démarré, lundi, une campagne publicitaire dans les journaux du Royaume-Uni, pour rappeler son attachement et sa fidélité au pays de la reine Elizabeth II.
Le gouvernement britannique serait en pourparlers avec NEC et Samsung pour construire son réseau de cinquième génération.
Douze bases militaires expérimentent désormais autour de cette technologie.
Deux des principaux opérateurs de télécommunications canadiens ont décidé de tourner le dos à la firme de Shenzhen, de plus en plus esseulée dans le monde anglo-saxon.
Notre voisin d'outre-Manche semble plus que décidé à écarter l'équipementier Huawei et les autres acteurs chinois de ses infrastructures 5G, au point de vouloir créer un « club » des nations contre les technologies de l'empire du Milieu.
Cette clé USB dite « anti-5G » est en réalité une simple clé USB (et de 128 Mo seulement).
Déjà fort de deux plateformes compatibles 5G, Samsung a inauguré hier l’Exynos 880 : un nouveau SoC prêt à accueillir le réseau de demain, à un prix beaucoup plus réduit.
Bouygues Telecom est le premier opérateur à se positionner ouvertement pour un décalage des enchères pour les bandes de fréquence 5G.
Neuf ans après la conclusion du contrat d'itinérance, les deux opérateurs ont annoncé que sa fin définitive n'interviendrait pas avant le 31 décembre 2022.
Plusieurs membres du parti conservateur font pression pour que les réseaux de télécommunications de la firme chinoise disparaissent progressivement du pays.
Le décalage de plusieurs semaines des enchères, motivé par la crise de coronavirus, irrite quelque peu l'opérateur, qui appelle à débloquer la machine assez rapidement.
© Pixabay L'Agence nationale des fréquences a dévoilé, mardi, les chiffres mensuels de son observatoire des déploiements mobiles 4G et 5G en France. En avril, les opérateurs n'ont pas ménagé leurs efforts malgré le confinement.