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Orange et SFR contestent la décision du régulateur des Télécoms d'autoriser Bouygues à réutiliser certaines de ses fréquences pour la 4G (bande des 1..800 MHz). Ils pourront certes formuler la même demande même si Bouygues pourra utiliser cette plage de fréquences dès le 1er octobre.
C'est désormais officiel, le régulateur des Télécoms vient d'autoriser Bouygues Télécom à utiliser une partie de ses fréquences (1800 MHz) pour la 4G. Orange et SFR pourront faire de même. Quant à Free Mobile, il disposera, par souci de concurrence, d'un lot de fréquences sur cette bande.
Le régulateur des Télécoms livrera officiellement le 21 mars prochain sa décision sur la demande de Bouygues Télécom d'utiliser des fréquences actuellement affectées à la 2G dans la bande des 1..800 MHz, pour la 4G. L'Arcep devrait autoriser l'initiative mais réaménagera ou accordera également de nouvelles fréquences aux opérateurs concurrents.
D'ici la fin de l'année, la Chine devrait proposer aux opérateurs des bandes de fréquences leur permettant d'utiliser le très haut débit mobile. A terme, la 4G devrait donc être disponible dans le pays.
Alors que l'Arcep doit encore rendre sa position sur le sujet de l'utilisation de fréquences actuellement utilisées en 2G pour la 4G, le gouvernement aurait dans l'idée d'autoriser les opérateurs à proposer du très haut débit dans la bande des 1..800 MHz. Toutefois, ces derniers devraient s'acquitter d'une redevance annuelle s'élevant à plusieurs millions d'euros par an.
Le régulateur britannique des Télécoms vient de livrer les résultats de la mise aux enchères des licences d'utilisation pour la 4G. Pas moins de 5 opérateurs ont été retenus pour un montant global d'environ 2,7 milliards d'euros.
L'opérateur Télécom nippon annonce avoir séduit pas moins de 10 millions d'abonnés à la 4G LTE. Son service lancé en décembre 2010 a séduit de nombreux utilisateurs depuis que NTT DoCoMo leur a permis d'opter pour un vaste choix de smartphones compatibles.
Depuis la fin juillet dernier, l'Arcep a lancé une consultation publique portant sur la réutilisation de certaines fréquences utilisées pour le GSM, et notamment la bande à 1 800 MHz. Suite aux nombreuses réactions de la part des opérateurs, le gendarme des télécoms compte réunir ce jeudi 7 février les 4 principaux acteurs du marché afin d'entendre une nouvelle fois leurs points de vue.
Comme prévu, SFR vient d'inaugurer son réseau 4G LTE à La Défense, le quartier d'affaires situé à l'Ouest de Paris. La conférence de presse fut l'occasion d'obtenir quelques menus détails supplémentaires.
Sans crier gare, SFR a annoncé hier le lancement imminent de la 4G à La Défense, le quartier d'affaires situé à l'Ouest de Paris.
Bouygues est toujours en attente d'une autorisation pour utiliser certaines fréquences 2G pour la 4G. En attendant, la concurrence fourbit ses armes et Free pourrait signer un contrat d'itinérance avec SFR sur le très haut débit mobile.
BMW a annoncé cette semaine le lancement d'un accessoire permettant de partager une connexion 4G par Wi-Fi sur la route. Le « BMW Car Hotspot LTE » est en fait un modem Wi-Fi spécialement étudié pour ses voitures.
Alors que l'opérateur a mis sur pied un plan de restructuration concernant 556 collaborateurs, sa direction annonce que le recrutement de 200 personnes serait envisageable. A condition que les autorités permettent à Bouygues Telecom de pouvoir réutiliser ses fréquences de 1..800 MHz pour la 4G.
Avec un jour de retard sur ce qu'il avait prévu, SFR procèdera cet après-midi à l'inauguration officielle et au lancement commercial de son réseau 4G à Lyon, première ville couverte en France. L'opérateur en a profité pour compléter son calendrier.
Les opérateurs mettent en service la 4G ces jours-ci et s'attachent donc à enrichir leur catalogue de terminaux compatibles. Ils référencent tout particulièrement le Galaxy S III 4G, variante modernisée du fer de lance de Samsung.
Après un premier survol hier dans le cadre du show « hello! », Orange revient aujourd'hui sur l'annonce la plus concrète de l'évènement, celle de la disponibilité de la 4G dans quatre villes, en détaillant son premier forfait.
La multitude d'annonces réalisées par Orange mercredi n'a pas mis de côté la question de la 4G et de la fibre : 2013 sera l'année du très haut débit chez l'opérateur, qu'il soit mobile ou pas.
L'Europe fait la part belle à la réutilisation de fréquences pour la 4G. Dans ce cadre, la Commission européenne décide d'ajouter 120 MHz supplémentaires autour de la bande des 2 GHz afin que cette dernière puisse être utilisée dans le cadre d'offres de très haut débit mobile.
Dans une tribune signée par Pierre Louette, la Fédération française des Télécoms explique qu'elle ne « serait pas choquée par l'idée que la 4G soit vendue plus cher ». Ce représentant des opérateurs considère que le très haut débit mobile doit ainsi leur servir de relais de croissance majeur.
En Grande-Bretagne, l'opérateur Everything Everywhere vient d'annoncer que son réseau 4G sera disponible dès le 30 octobre prochain. La co-entreprise fondée par Orange et Deutsche Telekom précise que le forfait mensuel coûtera à ses abonnés environ 44 euros par mois.
Le gouvernement avait indiqué qu'il présenterait une série de mesures destinées à soutenir le marché des Télécoms en France. Il présente désormais 5 mesures concernant l'emploi, le déploiement des réseaux mobiles et l'encouragement dans la réaffectation de fréquences.
Afin de pouvoir proposer un réseau 4G (LTE) à ses clients rapidement, Bouygues Télécom avait demandé à ce que les autorités lui permettent de réutiliser certaines fréquences utilisées pour le GSM (1..800 MHz). Alors que l'Arcep doit clore sa consultation ce vendredi, Orange et SFR voient cette éventuelle autorisation d'un mauvais œil.
Bouygues Télécom intègre la 4G à ses forfaits destinés aux professionnels déjà sur le marché. Les offres ne diffèrent quasiment pas et l'opérateur insiste sur le fait que les prix ne seront pas modifiés, jusqu'à fin 2013.
En Grande-Bretagne, le régulateur des Télécoms vient d'autoriser Everything Everywhere à réutiliser ses propres fréquences pour le très haut débit mobile (4G). L'opérateur pourra ainsi proposer ses offres avant le reste de la concurrence.
En septembre dernier, plusieurs syndicats avaient attaqué la procédure d'attribution des licences 4G (LTE) devant le Conseil d'Etat. La juridiction vient de rejeter leurs demandes.
Une expérimentation commune à chaque opérateur va être menée dans la ville de Saint-Etienne. Le but de l'opération est de constater d'éventuels brouillages entre les fréquences utilisées par la 4G (LTE) et la TNT.
Selon l'Idate, la tendance actuelle penche clairement en faveur du développement du très haut débit mobile aux dépens du fixe. Dans son rapport, le cabinet prévoit ainsi qu'en 2016, 900 millions d'abonnés utiliseront le LTE contre près de 130 millions pour le fixe (FTTH/B et VDSL).
Alors que l'attribution des licences 4G, en décembre dernier, s'était soldée par un revers cuisant pour Free, les choses pourraient évoluer. La conversion de la fréquence à 1 800 MHz de la 2G à la 4G pourrait permettre au nouvel opérateur de bénéficier d'une seconde fréquence, après celle des 2 600 MHz.