Nintendo a joué, en 2016, la carte du rétro-gaming en sortant une nouvelle console qui n'en était pas une : la NES mini. La réédition de la première console de Nintendo, la Nintendo Entertainment System (ou Famicon au Japon), a été un gros succès commercial. Entre la forte demande et une production qui n'a pas pu la combler, bon nombre de joueurs n'ont pas pu en obtenir.
Nintendo, toutefois, ne cache pas ses résultats : la barre du million d'unités vendues a été rapidement franchie et deux mois après sa sortie, les ventes ne semblent pas baisser.
Une console idéale pour le rétro-gaming
Là où Nintendo a fait fort, bien que le groupe ait raté l'occasion de sortir sa console pour les 30 ans de la sortie de la NES, c'est que la NES mini surfe sur la vague du rétro-gaming, très en vogue chez les joueurs. Entre nostalgie de la génération qui a grandi dans les années 80 et curiosité chez les jeunes, la NES mini comble un véritable manque.
Difficile, en effet, de se procurer une véritable NES et, surtout, les cartouches des jeux qui vont avec, sans dépenser parfois des fortunes. La NES mini intègre 30 jeux parmi les plus classiques de Nintendo, comme Mario ou Zelda.
La NES mini, contrairement à sa grande sœur, se branche en HDMI, ce qui la rend compatible avec les nouvelles télé : la prise Scart se fait de plus en plus rare.
Le 2 février 2017, Nintendo a dévoilé les chiffres des ventes de la NES mini : la barre des 1,5 million d'unités vendues a été franchie, quelques mois seulement après la sortie. Un record pour Nintendo, qui ne compte pas s'arrêter en si bon chemin.
La demande est encore forte pour la NES mini et le groupe japonais veut la combler. Rien qu'en France, Nintendo estime entre 20 000 et 25 000 le nombre de personnes désirant une NES mini qui n'ont pas pu en acheter.
Nintendo a joué, en 2016, la carte du rétro-gaming en sortant une nouvelle console qui n'en était pas une : la NES mini. La réédition de la première console de Nintendo, la Nintendo Entertainment System (ou Famicon au Japon), a été un gros succès commercial. Entre la forte demande et une production qui n'a pas pu la combler, bon nombre de joueurs n'ont pas pu en obtenir.
Nintendo, toutefois, ne cache pas ses résultats : la barre du million d'unités vendues a été rapidement franchie et deux mois après sa sortie, les ventes ne semblent pas baisser.
Une console idéale pour le rétro-gaming
Là où Nintendo a fait fort, bien que le groupe ait raté l'occasion de sortir sa console pour les 30 ans de la sortie de la NES, c'est que la NES mini surfe sur la vague du rétro-gaming, très en vogue chez les joueurs. Entre nostalgie de la génération qui a grandi dans les années 80 et curiosité chez les jeunes, la NES mini comble un véritable manque.
Difficile, en effet, de se procurer une véritable NES et, surtout, les cartouches des jeux qui vont avec, sans dépenser parfois des fortunes. La NES mini intègre 30 jeux parmi les plus classiques de Nintendo, comme Mario ou Zelda.
La NES mini, contrairement à sa grande sœur, se branche en HDMI, ce qui la rend compatible avec les nouvelles télé : la prise Scart se fait de plus en plus rare.
Le 2 février 2017, Nintendo a dévoilé les chiffres des ventes de la NES mini : la barre des 1,5 million d'unités vendues a été franchie, quelques mois seulement après la sortie. Un record pour Nintendo, qui ne compte pas s'arrêter en si bon chemin.
La demande est encore forte pour la NES mini et le groupe japonais veut la combler. Rien qu'en France, Nintendo estime entre 20 000 et 25 000 le nombre de personnes désirant une NES mini qui n'ont pas pu en acheter.
Nintendo a joué, en 2016, la carte du rétro-gaming en sortant une nouvelle console qui n'en était pas une : la NES mini. La réédition de la première console de Nintendo, la Nintendo Entertainment System (ou Famicon au Japon), a été un gros succès commercial. Entre la forte demande et une production qui n'a pas pu la combler, bon nombre de joueurs n'ont pas pu en obtenir.
Nintendo, toutefois, ne cache pas ses résultats : la barre du million d'unités vendues a été rapidement franchie et deux mois après sa sortie, les ventes ne semblent pas baisser.
Une console idéale pour le rétro-gaming
Là où Nintendo a fait fort, bien que le groupe ait raté l'occasion de sortir sa console pour les 30 ans de la sortie de la NES, c'est que la NES mini surfe sur la vague du rétro-gaming, très en vogue chez les joueurs. Entre nostalgie de la génération qui a grandi dans les années 80 et curiosité chez les jeunes, la NES mini comble un véritable manque.
Difficile, en effet, de se procurer une véritable NES et, surtout, les cartouches des jeux qui vont avec, sans dépenser parfois des fortunes. La NES mini intègre 30 jeux parmi les plus classiques de Nintendo, comme Mario ou Zelda.
La NES mini, contrairement à sa grande sœur, se branche en HDMI, ce qui la rend compatible avec les nouvelles télé : la prise Scart se fait de plus en plus rare.
Le 2 février 2017, Nintendo a dévoilé les chiffres des ventes de la NES mini : la barre des 1,5 million d'unités vendues a été franchie, quelques mois seulement après la sortie. Un record pour Nintendo, qui ne compte pas s'arrêter en si bon chemin.
La demande est encore forte pour la NES mini et le groupe japonais veut la combler. Rien qu'en France, Nintendo estime entre 20 000 et 25 000 le nombre de personnes désirant une NES mini qui n'ont pas pu en acheter.
Nintendo a joué, en 2016, la carte du rétro-gaming en sortant une nouvelle console qui n'en était pas une : la NES mini. La réédition de la première console de Nintendo, la Nintendo Entertainment System (ou Famicon au Japon), a été un gros succès commercial. Entre la forte demande et une production qui n'a pas pu la combler, bon nombre de joueurs n'ont pas pu en obtenir.
Nintendo, toutefois, ne cache pas ses résultats : la barre du million d'unités vendues a été rapidement franchie et deux mois après sa sortie, les ventes ne semblent pas baisser.
Une console idéale pour le rétro-gaming
Là où Nintendo a fait fort, bien que le groupe ait raté l'occasion de sortir sa console pour les 30 ans de la sortie de la NES, c'est que la NES mini surfe sur la vague du rétro-gaming, très en vogue chez les joueurs. Entre nostalgie de la génération qui a grandi dans les années 80 et curiosité chez les jeunes, la NES mini comble un véritable manque.
Difficile, en effet, de se procurer une véritable NES et, surtout, les cartouches des jeux qui vont avec, sans dépenser parfois des fortunes. La NES mini intègre 30 jeux parmi les plus classiques de Nintendo, comme Mario ou Zelda.
La NES mini, contrairement à sa grande sœur, se branche en HDMI, ce qui la rend compatible avec les nouvelles télé : la prise Scart se fait de plus en plus rare.
Le 2 février 2017, Nintendo a dévoilé les chiffres des ventes de la NES mini : la barre des 1,5 million d'unités vendues a été franchie, quelques mois seulement après la sortie. Un record pour Nintendo, qui ne compte pas s'arrêter en si bon chemin.
La demande est encore forte pour la NES mini et le groupe japonais veut la combler. Rien qu'en France, Nintendo estime entre 20 000 et 25 000 le nombre de personnes désirant une NES mini qui n'ont pas pu en acheter.
Nintendo a joué, en 2016, la carte du rétro-gaming en sortant une nouvelle console qui n'en était pas une : la NES mini. La réédition de la première console de Nintendo, la Nintendo Entertainment System (ou Famicon au Japon), a été un gros succès commercial. Entre la forte demande et une production qui n'a pas pu la combler, bon nombre de joueurs n'ont pas pu en obtenir.
Nintendo, toutefois, ne cache pas ses résultats : la barre du million d'unités vendues a été rapidement franchie et deux mois après sa sortie, les ventes ne semblent pas baisser.
Une console idéale pour le rétro-gaming
Là où Nintendo a fait fort, bien que le groupe ait raté l'occasion de sortir sa console pour les 30 ans de la sortie de la NES, c'est que la NES mini surfe sur la vague du rétro-gaming, très en vogue chez les joueurs. Entre nostalgie de la génération qui a grandi dans les années 80 et curiosité chez les jeunes, la NES mini comble un véritable manque.
Difficile, en effet, de se procurer une véritable NES et, surtout, les cartouches des jeux qui vont avec, sans dépenser parfois des fortunes. La NES mini intègre 30 jeux parmi les plus classiques de Nintendo, comme Mario ou Zelda.
La NES mini, contrairement à sa grande sœur, se branche en HDMI, ce qui la rend compatible avec les nouvelles télé : la prise Scart se fait de plus en plus rare.
Le 2 février 2017, Nintendo a dévoilé les chiffres des ventes de la NES mini : la barre des 1,5 million d'unités vendues a été franchie, quelques mois seulement après la sortie. Un record pour Nintendo, qui ne compte pas s'arrêter en si bon chemin.
La demande est encore forte pour la NES mini et le groupe japonais veut la combler. Rien qu'en France, Nintendo estime entre 20 000 et 25 000 le nombre de personnes désirant une NES mini qui n'ont pas pu en acheter.
Nintendo a joué, en 2016, la carte du rétro-gaming en sortant une nouvelle console qui n'en était pas une : la NES mini. La réédition de la première console de Nintendo, la Nintendo Entertainment System (ou Famicon au Japon), a été un gros succès commercial. Entre la forte demande et une production qui n'a pas pu la combler, bon nombre de joueurs n'ont pas pu en obtenir.
Nintendo, toutefois, ne cache pas ses résultats : la barre du million d'unités vendues a été rapidement franchie et deux mois après sa sortie, les ventes ne semblent pas baisser.
Une console idéale pour le rétro-gaming
Là où Nintendo a fait fort, bien que le groupe ait raté l'occasion de sortir sa console pour les 30 ans de la sortie de la NES, c'est que la NES mini surfe sur la vague du rétro-gaming, très en vogue chez les joueurs. Entre nostalgie de la génération qui a grandi dans les années 80 et curiosité chez les jeunes, la NES mini comble un véritable manque.
Difficile, en effet, de se procurer une véritable NES et, surtout, les cartouches des jeux qui vont avec, sans dépenser parfois des fortunes. La NES mini intègre 30 jeux parmi les plus classiques de Nintendo, comme Mario ou Zelda.
La NES mini, contrairement à sa grande sœur, se branche en HDMI, ce qui la rend compatible avec les nouvelles télé : la prise Scart se fait de plus en plus rare.
Le 2 février 2017, Nintendo a dévoilé les chiffres des ventes de la NES mini : la barre des 1,5 million d'unités vendues a été franchie, quelques mois seulement après la sortie. Un record pour Nintendo, qui ne compte pas s'arrêter en si bon chemin.
La demande est encore forte pour la NES mini et le groupe japonais veut la combler. Rien qu'en France, Nintendo estime entre 20 000 et 25 000 le nombre de personnes désirant une NES mini qui n'ont pas pu en acheter.
Nintendo a joué, en 2016, la carte du rétro-gaming en sortant une nouvelle console qui n'en était pas une : la NES mini. La réédition de la première console de Nintendo, la Nintendo Entertainment System (ou Famicon au Japon), a été un gros succès commercial. Entre la forte demande et une production qui n'a pas pu la combler, bon nombre de joueurs n'ont pas pu en obtenir.
Nintendo, toutefois, ne cache pas ses résultats : la barre du million d'unités vendues a été rapidement franchie et deux mois après sa sortie, les ventes ne semblent pas baisser.
Une console idéale pour le rétro-gaming
Là où Nintendo a fait fort, bien que le groupe ait raté l'occasion de sortir sa console pour les 30 ans de la sortie de la NES, c'est que la NES mini surfe sur la vague du rétro-gaming, très en vogue chez les joueurs. Entre nostalgie de la génération qui a grandi dans les années 80 et curiosité chez les jeunes, la NES mini comble un véritable manque.
Difficile, en effet, de se procurer une véritable NES et, surtout, les cartouches des jeux qui vont avec, sans dépenser parfois des fortunes. La NES mini intègre 30 jeux parmi les plus classiques de Nintendo, comme Mario ou Zelda.
La NES mini, contrairement à sa grande sœur, se branche en HDMI, ce qui la rend compatible avec les nouvelles télé : la prise Scart se fait de plus en plus rare.
Le 2 février 2017, Nintendo a dévoilé les chiffres des ventes de la NES mini : la barre des 1,5 million d'unités vendues a été franchie, quelques mois seulement après la sortie. Un record pour Nintendo, qui ne compte pas s'arrêter en si bon chemin.
La demande est encore forte pour la NES mini et le groupe japonais veut la combler. Rien qu'en France, Nintendo estime entre 20 000 et 25 000 le nombre de personnes désirant une NES mini qui n'ont pas pu en acheter.
Nintendo a joué, en 2016, la carte du rétro-gaming en sortant une nouvelle console qui n'en était pas une : la NES mini. La réédition de la première console de Nintendo, la Nintendo Entertainment System (ou Famicon au Japon), a été un gros succès commercial. Entre la forte demande et une production qui n'a pas pu la combler, bon nombre de joueurs n'ont pas pu en obtenir.
Nintendo, toutefois, ne cache pas ses résultats : la barre du million d'unités vendues a été rapidement franchie et deux mois après sa sortie, les ventes ne semblent pas baisser.
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Là où Nintendo a fait fort, bien que le groupe ait raté l'occasion de sortir sa console pour les 30 ans de la sortie de la NES, c'est que la NES mini surfe sur la vague du rétro-gaming, très en vogue chez les joueurs. Entre nostalgie de la génération qui a grandi dans les années 80 et curiosité chez les jeunes, la NES mini comble un véritable manque.
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La demande est encore forte pour la NES mini et le groupe japonais veut la combler. Rien qu'en France, Nintendo estime entre 20 000 et 25 000 le nombre de personnes désirant une NES mini qui n'ont pas pu en acheter.
Nintendo a joué, en 2016, la carte du rétro-gaming en sortant une nouvelle console qui n'en était pas une : la NES mini. La réédition de la première console de Nintendo, la Nintendo Entertainment System (ou Famicon au Japon), a été un gros succès commercial. Entre la forte demande et une production qui n'a pas pu la combler, bon nombre de joueurs n'ont pas pu en obtenir.
Nintendo, toutefois, ne cache pas ses résultats : la barre du million d'unités vendues a été rapidement franchie et deux mois après sa sortie, les ventes ne semblent pas baisser.
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Difficile, en effet, de se procurer une véritable NES et, surtout, les cartouches des jeux qui vont avec, sans dépenser parfois des fortunes. La NES mini intègre 30 jeux parmi les plus classiques de Nintendo, comme Mario ou Zelda.
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La demande est encore forte pour la NES mini et le groupe japonais veut la combler. Rien qu'en France, Nintendo estime entre 20 000 et 25 000 le nombre de personnes désirant une NES mini qui n'ont pas pu en acheter.
Nintendo a joué, en 2016, la carte du rétro-gaming en sortant une nouvelle console qui n'en était pas une : la NES mini. La réédition de la première console de Nintendo, la Nintendo Entertainment System (ou Famicon au Japon), a été un gros succès commercial. Entre la forte demande et une production qui n'a pas pu la combler, bon nombre de joueurs n'ont pas pu en obtenir.
Nintendo, toutefois, ne cache pas ses résultats : la barre du million d'unités vendues a été rapidement franchie et deux mois après sa sortie, les ventes ne semblent pas baisser.
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Difficile, en effet, de se procurer une véritable NES et, surtout, les cartouches des jeux qui vont avec, sans dépenser parfois des fortunes. La NES mini intègre 30 jeux parmi les plus classiques de Nintendo, comme Mario ou Zelda.
La NES mini, contrairement à sa grande sœur, se branche en HDMI, ce qui la rend compatible avec les nouvelles télé : la prise Scart se fait de plus en plus rare.
Le 2 février 2017, Nintendo a dévoilé les chiffres des ventes de la NES mini : la barre des 1,5 million d'unités vendues a été franchie, quelques mois seulement après la sortie. Un record pour Nintendo, qui ne compte pas s'arrêter en si bon chemin.
La demande est encore forte pour la NES mini et le groupe japonais veut la combler. Rien qu'en France, Nintendo estime entre 20 000 et 25 000 le nombre de personnes désirant une NES mini qui n'ont pas pu en acheter.