Les drones les plus connus sont ceux qui permettent des prises de vues aériennes qui sont aujourd'hui devenues la norme dans la photographie et les films. Mais les chercheurs de l'Université de Sherbrooke, au Québec, réfléchissent à d'autres utilisations plus professionnelles. Ils ont développé un drone capable de se poser à la verticale, sur un mur, puis de redécoller de cette même position.
Un drone qui se comporte comme un oiseau
Les chercheurs sont partis d'un constat : dans la nature, les oiseaux peuvent se poser sur des surfaces verticales grâce à un vol maîtrisé, puis ils peuvent repartir de cette même surface grâce à une impulsion sur leurs pattes. Mais adapter cette capacité naturelle à un produit artificiel comme le drone n'a pas été chose aisée.
Après de nombreuses tentatives, les chercheurs de l'Université de Sherbrooke y sont parvenus : leur drone, qui prend la forme d'un petit avion dans la vidéo montrant leur recherche postée sur Youtube début août 2017, réussit à se poser à la verticale sur une surface qui n'est pas lisse.
Grâce à un capteur, le drone identifie la distance qui le sépare de la surface en question et commence le changement de direction. Il atteint la surface à la verticale, soit parallèle au mur. Là, ce sont des extensions placées sous le drone et dotées de micro-crochets qui prennent le relais. Elles absorbent le choc lié à l'arrivée du drone sur la surface du mur et permettent à l'engin de s'accrocher sur les aspérités de cette dernière.
Appelé S-MAD, le drone a été présenté à la Living Machine Conference 2017 qui s'est tenue en juillet 2017, où il a remporté le prix « Best Robotic Paper Award ». Il s'agit du premier drone capable de se poser de cette manière et ouvre la voie à divers usages professionnels, comme de la surveillance et de la collecte d'informations dans des zones sinistrées ou difficiles d'accès, évitant ainsi de devoir dépêcher du personnel sans raison.
Les drones les plus connus sont ceux qui permettent des prises de vues aériennes qui sont aujourd'hui devenues la norme dans la photographie et les films. Mais les chercheurs de l'Université de Sherbrooke, au Québec, réfléchissent à d'autres utilisations plus professionnelles. Ils ont développé un drone capable de se poser à la verticale, sur un mur, puis de redécoller de cette même position.
Un drone qui se comporte comme un oiseau
Les chercheurs sont partis d'un constat : dans la nature, les oiseaux peuvent se poser sur des surfaces verticales grâce à un vol maîtrisé, puis ils peuvent repartir de cette même surface grâce à une impulsion sur leurs pattes. Mais adapter cette capacité naturelle à un produit artificiel comme le drone n'a pas été chose aisée.
Après de nombreuses tentatives, les chercheurs de l'Université de Sherbrooke y sont parvenus : leur drone, qui prend la forme d'un petit avion dans la vidéo montrant leur recherche postée sur Youtube début août 2017, réussit à se poser à la verticale sur une surface qui n'est pas lisse.
Grâce à un capteur, le drone identifie la distance qui le sépare de la surface en question et commence le changement de direction. Il atteint la surface à la verticale, soit parallèle au mur. Là, ce sont des extensions placées sous le drone et dotées de micro-crochets qui prennent le relais. Elles absorbent le choc lié à l'arrivée du drone sur la surface du mur et permettent à l'engin de s'accrocher sur les aspérités de cette dernière.
Appelé S-MAD, le drone a été présenté à la Living Machine Conference 2017 qui s'est tenue en juillet 2017, où il a remporté le prix « Best Robotic Paper Award ». Il s'agit du premier drone capable de se poser de cette manière et ouvre la voie à divers usages professionnels, comme de la surveillance et de la collecte d'informations dans des zones sinistrées ou difficiles d'accès, évitant ainsi de devoir dépêcher du personnel sans raison.
Les drones les plus connus sont ceux qui permettent des prises de vues aériennes qui sont aujourd'hui devenues la norme dans la photographie et les films. Mais les chercheurs de l'Université de Sherbrooke, au Québec, réfléchissent à d'autres utilisations plus professionnelles. Ils ont développé un drone capable de se poser à la verticale, sur un mur, puis de redécoller de cette même position.
Un drone qui se comporte comme un oiseau
Les chercheurs sont partis d'un constat : dans la nature, les oiseaux peuvent se poser sur des surfaces verticales grâce à un vol maîtrisé, puis ils peuvent repartir de cette même surface grâce à une impulsion sur leurs pattes. Mais adapter cette capacité naturelle à un produit artificiel comme le drone n'a pas été chose aisée.
Après de nombreuses tentatives, les chercheurs de l'Université de Sherbrooke y sont parvenus : leur drone, qui prend la forme d'un petit avion dans la vidéo montrant leur recherche postée sur Youtube début août 2017, réussit à se poser à la verticale sur une surface qui n'est pas lisse.
Grâce à un capteur, le drone identifie la distance qui le sépare de la surface en question et commence le changement de direction. Il atteint la surface à la verticale, soit parallèle au mur. Là, ce sont des extensions placées sous le drone et dotées de micro-crochets qui prennent le relais. Elles absorbent le choc lié à l'arrivée du drone sur la surface du mur et permettent à l'engin de s'accrocher sur les aspérités de cette dernière.
Appelé S-MAD, le drone a été présenté à la Living Machine Conference 2017 qui s'est tenue en juillet 2017, où il a remporté le prix « Best Robotic Paper Award ». Il s'agit du premier drone capable de se poser de cette manière et ouvre la voie à divers usages professionnels, comme de la surveillance et de la collecte d'informations dans des zones sinistrées ou difficiles d'accès, évitant ainsi de devoir dépêcher du personnel sans raison.
Les drones les plus connus sont ceux qui permettent des prises de vues aériennes qui sont aujourd'hui devenues la norme dans la photographie et les films. Mais les chercheurs de l'Université de Sherbrooke, au Québec, réfléchissent à d'autres utilisations plus professionnelles. Ils ont développé un drone capable de se poser à la verticale, sur un mur, puis de redécoller de cette même position.
Un drone qui se comporte comme un oiseau
Les chercheurs sont partis d'un constat : dans la nature, les oiseaux peuvent se poser sur des surfaces verticales grâce à un vol maîtrisé, puis ils peuvent repartir de cette même surface grâce à une impulsion sur leurs pattes. Mais adapter cette capacité naturelle à un produit artificiel comme le drone n'a pas été chose aisée.
Après de nombreuses tentatives, les chercheurs de l'Université de Sherbrooke y sont parvenus : leur drone, qui prend la forme d'un petit avion dans la vidéo montrant leur recherche postée sur Youtube début août 2017, réussit à se poser à la verticale sur une surface qui n'est pas lisse.
Grâce à un capteur, le drone identifie la distance qui le sépare de la surface en question et commence le changement de direction. Il atteint la surface à la verticale, soit parallèle au mur. Là, ce sont des extensions placées sous le drone et dotées de micro-crochets qui prennent le relais. Elles absorbent le choc lié à l'arrivée du drone sur la surface du mur et permettent à l'engin de s'accrocher sur les aspérités de cette dernière.
Appelé S-MAD, le drone a été présenté à la Living Machine Conference 2017 qui s'est tenue en juillet 2017, où il a remporté le prix « Best Robotic Paper Award ». Il s'agit du premier drone capable de se poser de cette manière et ouvre la voie à divers usages professionnels, comme de la surveillance et de la collecte d'informations dans des zones sinistrées ou difficiles d'accès, évitant ainsi de devoir dépêcher du personnel sans raison.
Les drones les plus connus sont ceux qui permettent des prises de vues aériennes qui sont aujourd'hui devenues la norme dans la photographie et les films. Mais les chercheurs de l'Université de Sherbrooke, au Québec, réfléchissent à d'autres utilisations plus professionnelles. Ils ont développé un drone capable de se poser à la verticale, sur un mur, puis de redécoller de cette même position.
Un drone qui se comporte comme un oiseau
Les chercheurs sont partis d'un constat : dans la nature, les oiseaux peuvent se poser sur des surfaces verticales grâce à un vol maîtrisé, puis ils peuvent repartir de cette même surface grâce à une impulsion sur leurs pattes. Mais adapter cette capacité naturelle à un produit artificiel comme le drone n'a pas été chose aisée.
Après de nombreuses tentatives, les chercheurs de l'Université de Sherbrooke y sont parvenus : leur drone, qui prend la forme d'un petit avion dans la vidéo montrant leur recherche postée sur Youtube début août 2017, réussit à se poser à la verticale sur une surface qui n'est pas lisse.
Grâce à un capteur, le drone identifie la distance qui le sépare de la surface en question et commence le changement de direction. Il atteint la surface à la verticale, soit parallèle au mur. Là, ce sont des extensions placées sous le drone et dotées de micro-crochets qui prennent le relais. Elles absorbent le choc lié à l'arrivée du drone sur la surface du mur et permettent à l'engin de s'accrocher sur les aspérités de cette dernière.
Appelé S-MAD, le drone a été présenté à la Living Machine Conference 2017 qui s'est tenue en juillet 2017, où il a remporté le prix « Best Robotic Paper Award ». Il s'agit du premier drone capable de se poser de cette manière et ouvre la voie à divers usages professionnels, comme de la surveillance et de la collecte d'informations dans des zones sinistrées ou difficiles d'accès, évitant ainsi de devoir dépêcher du personnel sans raison.
Les drones les plus connus sont ceux qui permettent des prises de vues aériennes qui sont aujourd'hui devenues la norme dans la photographie et les films. Mais les chercheurs de l'Université de Sherbrooke, au Québec, réfléchissent à d'autres utilisations plus professionnelles. Ils ont développé un drone capable de se poser à la verticale, sur un mur, puis de redécoller de cette même position.
Un drone qui se comporte comme un oiseau
Les chercheurs sont partis d'un constat : dans la nature, les oiseaux peuvent se poser sur des surfaces verticales grâce à un vol maîtrisé, puis ils peuvent repartir de cette même surface grâce à une impulsion sur leurs pattes. Mais adapter cette capacité naturelle à un produit artificiel comme le drone n'a pas été chose aisée.
Après de nombreuses tentatives, les chercheurs de l'Université de Sherbrooke y sont parvenus : leur drone, qui prend la forme d'un petit avion dans la vidéo montrant leur recherche postée sur Youtube début août 2017, réussit à se poser à la verticale sur une surface qui n'est pas lisse.
Grâce à un capteur, le drone identifie la distance qui le sépare de la surface en question et commence le changement de direction. Il atteint la surface à la verticale, soit parallèle au mur. Là, ce sont des extensions placées sous le drone et dotées de micro-crochets qui prennent le relais. Elles absorbent le choc lié à l'arrivée du drone sur la surface du mur et permettent à l'engin de s'accrocher sur les aspérités de cette dernière.
Appelé S-MAD, le drone a été présenté à la Living Machine Conference 2017 qui s'est tenue en juillet 2017, où il a remporté le prix « Best Robotic Paper Award ». Il s'agit du premier drone capable de se poser de cette manière et ouvre la voie à divers usages professionnels, comme de la surveillance et de la collecte d'informations dans des zones sinistrées ou difficiles d'accès, évitant ainsi de devoir dépêcher du personnel sans raison.
Les drones les plus connus sont ceux qui permettent des prises de vues aériennes qui sont aujourd'hui devenues la norme dans la photographie et les films. Mais les chercheurs de l'Université de Sherbrooke, au Québec, réfléchissent à d'autres utilisations plus professionnelles. Ils ont développé un drone capable de se poser à la verticale, sur un mur, puis de redécoller de cette même position.
Un drone qui se comporte comme un oiseau
Les chercheurs sont partis d'un constat : dans la nature, les oiseaux peuvent se poser sur des surfaces verticales grâce à un vol maîtrisé, puis ils peuvent repartir de cette même surface grâce à une impulsion sur leurs pattes. Mais adapter cette capacité naturelle à un produit artificiel comme le drone n'a pas été chose aisée.
Après de nombreuses tentatives, les chercheurs de l'Université de Sherbrooke y sont parvenus : leur drone, qui prend la forme d'un petit avion dans la vidéo montrant leur recherche postée sur Youtube début août 2017, réussit à se poser à la verticale sur une surface qui n'est pas lisse.
Grâce à un capteur, le drone identifie la distance qui le sépare de la surface en question et commence le changement de direction. Il atteint la surface à la verticale, soit parallèle au mur. Là, ce sont des extensions placées sous le drone et dotées de micro-crochets qui prennent le relais. Elles absorbent le choc lié à l'arrivée du drone sur la surface du mur et permettent à l'engin de s'accrocher sur les aspérités de cette dernière.
Appelé S-MAD, le drone a été présenté à la Living Machine Conference 2017 qui s'est tenue en juillet 2017, où il a remporté le prix « Best Robotic Paper Award ». Il s'agit du premier drone capable de se poser de cette manière et ouvre la voie à divers usages professionnels, comme de la surveillance et de la collecte d'informations dans des zones sinistrées ou difficiles d'accès, évitant ainsi de devoir dépêcher du personnel sans raison.
Les drones les plus connus sont ceux qui permettent des prises de vues aériennes qui sont aujourd'hui devenues la norme dans la photographie et les films. Mais les chercheurs de l'Université de Sherbrooke, au Québec, réfléchissent à d'autres utilisations plus professionnelles. Ils ont développé un drone capable de se poser à la verticale, sur un mur, puis de redécoller de cette même position.
Un drone qui se comporte comme un oiseau
Les chercheurs sont partis d'un constat : dans la nature, les oiseaux peuvent se poser sur des surfaces verticales grâce à un vol maîtrisé, puis ils peuvent repartir de cette même surface grâce à une impulsion sur leurs pattes. Mais adapter cette capacité naturelle à un produit artificiel comme le drone n'a pas été chose aisée.
Après de nombreuses tentatives, les chercheurs de l'Université de Sherbrooke y sont parvenus : leur drone, qui prend la forme d'un petit avion dans la vidéo montrant leur recherche postée sur Youtube début août 2017, réussit à se poser à la verticale sur une surface qui n'est pas lisse.
Grâce à un capteur, le drone identifie la distance qui le sépare de la surface en question et commence le changement de direction. Il atteint la surface à la verticale, soit parallèle au mur. Là, ce sont des extensions placées sous le drone et dotées de micro-crochets qui prennent le relais. Elles absorbent le choc lié à l'arrivée du drone sur la surface du mur et permettent à l'engin de s'accrocher sur les aspérités de cette dernière.
Appelé S-MAD, le drone a été présenté à la Living Machine Conference 2017 qui s'est tenue en juillet 2017, où il a remporté le prix « Best Robotic Paper Award ». Il s'agit du premier drone capable de se poser de cette manière et ouvre la voie à divers usages professionnels, comme de la surveillance et de la collecte d'informations dans des zones sinistrées ou difficiles d'accès, évitant ainsi de devoir dépêcher du personnel sans raison.
Les drones les plus connus sont ceux qui permettent des prises de vues aériennes qui sont aujourd'hui devenues la norme dans la photographie et les films. Mais les chercheurs de l'Université de Sherbrooke, au Québec, réfléchissent à d'autres utilisations plus professionnelles. Ils ont développé un drone capable de se poser à la verticale, sur un mur, puis de redécoller de cette même position.
Un drone qui se comporte comme un oiseau
Les chercheurs sont partis d'un constat : dans la nature, les oiseaux peuvent se poser sur des surfaces verticales grâce à un vol maîtrisé, puis ils peuvent repartir de cette même surface grâce à une impulsion sur leurs pattes. Mais adapter cette capacité naturelle à un produit artificiel comme le drone n'a pas été chose aisée.
Après de nombreuses tentatives, les chercheurs de l'Université de Sherbrooke y sont parvenus : leur drone, qui prend la forme d'un petit avion dans la vidéo montrant leur recherche postée sur Youtube début août 2017, réussit à se poser à la verticale sur une surface qui n'est pas lisse.
Grâce à un capteur, le drone identifie la distance qui le sépare de la surface en question et commence le changement de direction. Il atteint la surface à la verticale, soit parallèle au mur. Là, ce sont des extensions placées sous le drone et dotées de micro-crochets qui prennent le relais. Elles absorbent le choc lié à l'arrivée du drone sur la surface du mur et permettent à l'engin de s'accrocher sur les aspérités de cette dernière.
Appelé S-MAD, le drone a été présenté à la Living Machine Conference 2017 qui s'est tenue en juillet 2017, où il a remporté le prix « Best Robotic Paper Award ». Il s'agit du premier drone capable de se poser de cette manière et ouvre la voie à divers usages professionnels, comme de la surveillance et de la collecte d'informations dans des zones sinistrées ou difficiles d'accès, évitant ainsi de devoir dépêcher du personnel sans raison.
Les drones les plus connus sont ceux qui permettent des prises de vues aériennes qui sont aujourd'hui devenues la norme dans la photographie et les films. Mais les chercheurs de l'Université de Sherbrooke, au Québec, réfléchissent à d'autres utilisations plus professionnelles. Ils ont développé un drone capable de se poser à la verticale, sur un mur, puis de redécoller de cette même position.
Un drone qui se comporte comme un oiseau
Les chercheurs sont partis d'un constat : dans la nature, les oiseaux peuvent se poser sur des surfaces verticales grâce à un vol maîtrisé, puis ils peuvent repartir de cette même surface grâce à une impulsion sur leurs pattes. Mais adapter cette capacité naturelle à un produit artificiel comme le drone n'a pas été chose aisée.
Après de nombreuses tentatives, les chercheurs de l'Université de Sherbrooke y sont parvenus : leur drone, qui prend la forme d'un petit avion dans la vidéo montrant leur recherche postée sur Youtube début août 2017, réussit à se poser à la verticale sur une surface qui n'est pas lisse.
Grâce à un capteur, le drone identifie la distance qui le sépare de la surface en question et commence le changement de direction. Il atteint la surface à la verticale, soit parallèle au mur. Là, ce sont des extensions placées sous le drone et dotées de micro-crochets qui prennent le relais. Elles absorbent le choc lié à l'arrivée du drone sur la surface du mur et permettent à l'engin de s'accrocher sur les aspérités de cette dernière.
Appelé S-MAD, le drone a été présenté à la Living Machine Conference 2017 qui s'est tenue en juillet 2017, où il a remporté le prix « Best Robotic Paper Award ». Il s'agit du premier drone capable de se poser de cette manière et ouvre la voie à divers usages professionnels, comme de la surveillance et de la collecte d'informations dans des zones sinistrées ou difficiles d'accès, évitant ainsi de devoir dépêcher du personnel sans raison.