Pourquoi faire compliqué quand on peut faire simple ? C'est probablement l'adage qui a guidé les ingénieurs de la NASA à la tête du projet STARC-ABL. Il s'agit d'un nouveau système de propulsion pour les avions qui aurait la particularité de permettre de réduire la consommation de carburant de ces derniers. Pour ce faire, il suffirait d'ajouter une turbine...
Le STARC-ABL : un avion avec une turbine électrique en plus
Le nouveau projet de la NASA a été présenté par l'agence spatiale dans une vidéo postée le 7 novembre 2017 sur Youtube. Il s'agit d'un concept révolutionnaire pour la propulsion des avions. Mais s'il est révolutionnaire, il n'est pas compliqué en termes de design : en fait la NASA a tout simplement ajouté une turbine à l'arrière de l'appareil.
Cette turbine va augmenter la puissance disponible ce qui permettrait aux constructeurs de réduire la taille des réacteurs. Réduire leur taille revient également à réduire leur frottement ainsi que leur puissance : l'avion consommera donc, logiquement, moins. La turbine placée à l'arrière de l'avion, elle, vient compenser la puissance réduite des turbines placées au niveau des ailes.
Seul souci : comment alimenter la turbine à l'arrière ? Si on l'alimente avec du kérosène la solution n'a aucun intérêt. La NASA a donc imaginé la turbine totalement électrique : l'électricité est produite par les autres turbines, notamment grâce au vent qui s'engouffre à l'intérieur et un simple système de générateurs électriques. Avec ce système, la NASA estime qu'il est possible de réduire de 10 % la consommation de carburant des avions de ligne.
C'est ainsi qu'est né le STARC-ABL : le nom est l'acronyme de « Single-aisle Turboelectric Aircraft with an Aft Boundary-Layer propulsor » ou « Avion monocouloir turboélectrique avec propulseur arrière couche limite » en français. Heureusement, avant de devoir dire à quelqu'un qu'on a voyagé sur un tel engin des années passeront : la NASA va commencer l'étude de prototypes et espère que le premier avion STAR-ABL prendra son envol dans une vingtaine d'années. Et d'ici là on aura peut-être droit à un nom plus simple...
Pourquoi faire compliqué quand on peut faire simple ? C'est probablement l'adage qui a guidé les ingénieurs de la NASA à la tête du projet STARC-ABL. Il s'agit d'un nouveau système de propulsion pour les avions qui aurait la particularité de permettre de réduire la consommation de carburant de ces derniers. Pour ce faire, il suffirait d'ajouter une turbine...
Le STARC-ABL : un avion avec une turbine électrique en plus
Le nouveau projet de la NASA a été présenté par l'agence spatiale dans une vidéo postée le 7 novembre 2017 sur Youtube. Il s'agit d'un concept révolutionnaire pour la propulsion des avions. Mais s'il est révolutionnaire, il n'est pas compliqué en termes de design : en fait la NASA a tout simplement ajouté une turbine à l'arrière de l'appareil.
Cette turbine va augmenter la puissance disponible ce qui permettrait aux constructeurs de réduire la taille des réacteurs. Réduire leur taille revient également à réduire leur frottement ainsi que leur puissance : l'avion consommera donc, logiquement, moins. La turbine placée à l'arrière de l'avion, elle, vient compenser la puissance réduite des turbines placées au niveau des ailes.
Seul souci : comment alimenter la turbine à l'arrière ? Si on l'alimente avec du kérosène la solution n'a aucun intérêt. La NASA a donc imaginé la turbine totalement électrique : l'électricité est produite par les autres turbines, notamment grâce au vent qui s'engouffre à l'intérieur et un simple système de générateurs électriques. Avec ce système, la NASA estime qu'il est possible de réduire de 10 % la consommation de carburant des avions de ligne.
C'est ainsi qu'est né le STARC-ABL : le nom est l'acronyme de « Single-aisle Turboelectric Aircraft with an Aft Boundary-Layer propulsor » ou « Avion monocouloir turboélectrique avec propulseur arrière couche limite » en français. Heureusement, avant de devoir dire à quelqu'un qu'on a voyagé sur un tel engin des années passeront : la NASA va commencer l'étude de prototypes et espère que le premier avion STAR-ABL prendra son envol dans une vingtaine d'années. Et d'ici là on aura peut-être droit à un nom plus simple...
Pourquoi faire compliqué quand on peut faire simple ? C'est probablement l'adage qui a guidé les ingénieurs de la NASA à la tête du projet STARC-ABL. Il s'agit d'un nouveau système de propulsion pour les avions qui aurait la particularité de permettre de réduire la consommation de carburant de ces derniers. Pour ce faire, il suffirait d'ajouter une turbine...
Le STARC-ABL : un avion avec une turbine électrique en plus
Le nouveau projet de la NASA a été présenté par l'agence spatiale dans une vidéo postée le 7 novembre 2017 sur Youtube. Il s'agit d'un concept révolutionnaire pour la propulsion des avions. Mais s'il est révolutionnaire, il n'est pas compliqué en termes de design : en fait la NASA a tout simplement ajouté une turbine à l'arrière de l'appareil.
Cette turbine va augmenter la puissance disponible ce qui permettrait aux constructeurs de réduire la taille des réacteurs. Réduire leur taille revient également à réduire leur frottement ainsi que leur puissance : l'avion consommera donc, logiquement, moins. La turbine placée à l'arrière de l'avion, elle, vient compenser la puissance réduite des turbines placées au niveau des ailes.
Seul souci : comment alimenter la turbine à l'arrière ? Si on l'alimente avec du kérosène la solution n'a aucun intérêt. La NASA a donc imaginé la turbine totalement électrique : l'électricité est produite par les autres turbines, notamment grâce au vent qui s'engouffre à l'intérieur et un simple système de générateurs électriques. Avec ce système, la NASA estime qu'il est possible de réduire de 10 % la consommation de carburant des avions de ligne.
C'est ainsi qu'est né le STARC-ABL : le nom est l'acronyme de « Single-aisle Turboelectric Aircraft with an Aft Boundary-Layer propulsor » ou « Avion monocouloir turboélectrique avec propulseur arrière couche limite » en français. Heureusement, avant de devoir dire à quelqu'un qu'on a voyagé sur un tel engin des années passeront : la NASA va commencer l'étude de prototypes et espère que le premier avion STAR-ABL prendra son envol dans une vingtaine d'années. Et d'ici là on aura peut-être droit à un nom plus simple...
Pourquoi faire compliqué quand on peut faire simple ? C'est probablement l'adage qui a guidé les ingénieurs de la NASA à la tête du projet STARC-ABL. Il s'agit d'un nouveau système de propulsion pour les avions qui aurait la particularité de permettre de réduire la consommation de carburant de ces derniers. Pour ce faire, il suffirait d'ajouter une turbine...
Le STARC-ABL : un avion avec une turbine électrique en plus
Le nouveau projet de la NASA a été présenté par l'agence spatiale dans une vidéo postée le 7 novembre 2017 sur Youtube. Il s'agit d'un concept révolutionnaire pour la propulsion des avions. Mais s'il est révolutionnaire, il n'est pas compliqué en termes de design : en fait la NASA a tout simplement ajouté une turbine à l'arrière de l'appareil.
Cette turbine va augmenter la puissance disponible ce qui permettrait aux constructeurs de réduire la taille des réacteurs. Réduire leur taille revient également à réduire leur frottement ainsi que leur puissance : l'avion consommera donc, logiquement, moins. La turbine placée à l'arrière de l'avion, elle, vient compenser la puissance réduite des turbines placées au niveau des ailes.
Seul souci : comment alimenter la turbine à l'arrière ? Si on l'alimente avec du kérosène la solution n'a aucun intérêt. La NASA a donc imaginé la turbine totalement électrique : l'électricité est produite par les autres turbines, notamment grâce au vent qui s'engouffre à l'intérieur et un simple système de générateurs électriques. Avec ce système, la NASA estime qu'il est possible de réduire de 10 % la consommation de carburant des avions de ligne.
C'est ainsi qu'est né le STARC-ABL : le nom est l'acronyme de « Single-aisle Turboelectric Aircraft with an Aft Boundary-Layer propulsor » ou « Avion monocouloir turboélectrique avec propulseur arrière couche limite » en français. Heureusement, avant de devoir dire à quelqu'un qu'on a voyagé sur un tel engin des années passeront : la NASA va commencer l'étude de prototypes et espère que le premier avion STAR-ABL prendra son envol dans une vingtaine d'années. Et d'ici là on aura peut-être droit à un nom plus simple...
Pourquoi faire compliqué quand on peut faire simple ? C'est probablement l'adage qui a guidé les ingénieurs de la NASA à la tête du projet STARC-ABL. Il s'agit d'un nouveau système de propulsion pour les avions qui aurait la particularité de permettre de réduire la consommation de carburant de ces derniers. Pour ce faire, il suffirait d'ajouter une turbine...
Le STARC-ABL : un avion avec une turbine électrique en plus
Le nouveau projet de la NASA a été présenté par l'agence spatiale dans une vidéo postée le 7 novembre 2017 sur Youtube. Il s'agit d'un concept révolutionnaire pour la propulsion des avions. Mais s'il est révolutionnaire, il n'est pas compliqué en termes de design : en fait la NASA a tout simplement ajouté une turbine à l'arrière de l'appareil.
Cette turbine va augmenter la puissance disponible ce qui permettrait aux constructeurs de réduire la taille des réacteurs. Réduire leur taille revient également à réduire leur frottement ainsi que leur puissance : l'avion consommera donc, logiquement, moins. La turbine placée à l'arrière de l'avion, elle, vient compenser la puissance réduite des turbines placées au niveau des ailes.
Seul souci : comment alimenter la turbine à l'arrière ? Si on l'alimente avec du kérosène la solution n'a aucun intérêt. La NASA a donc imaginé la turbine totalement électrique : l'électricité est produite par les autres turbines, notamment grâce au vent qui s'engouffre à l'intérieur et un simple système de générateurs électriques. Avec ce système, la NASA estime qu'il est possible de réduire de 10 % la consommation de carburant des avions de ligne.
C'est ainsi qu'est né le STARC-ABL : le nom est l'acronyme de « Single-aisle Turboelectric Aircraft with an Aft Boundary-Layer propulsor » ou « Avion monocouloir turboélectrique avec propulseur arrière couche limite » en français. Heureusement, avant de devoir dire à quelqu'un qu'on a voyagé sur un tel engin des années passeront : la NASA va commencer l'étude de prototypes et espère que le premier avion STAR-ABL prendra son envol dans une vingtaine d'années. Et d'ici là on aura peut-être droit à un nom plus simple...
Pourquoi faire compliqué quand on peut faire simple ? C'est probablement l'adage qui a guidé les ingénieurs de la NASA à la tête du projet STARC-ABL. Il s'agit d'un nouveau système de propulsion pour les avions qui aurait la particularité de permettre de réduire la consommation de carburant de ces derniers. Pour ce faire, il suffirait d'ajouter une turbine...
Le STARC-ABL : un avion avec une turbine électrique en plus
Le nouveau projet de la NASA a été présenté par l'agence spatiale dans une vidéo postée le 7 novembre 2017 sur Youtube. Il s'agit d'un concept révolutionnaire pour la propulsion des avions. Mais s'il est révolutionnaire, il n'est pas compliqué en termes de design : en fait la NASA a tout simplement ajouté une turbine à l'arrière de l'appareil.
Cette turbine va augmenter la puissance disponible ce qui permettrait aux constructeurs de réduire la taille des réacteurs. Réduire leur taille revient également à réduire leur frottement ainsi que leur puissance : l'avion consommera donc, logiquement, moins. La turbine placée à l'arrière de l'avion, elle, vient compenser la puissance réduite des turbines placées au niveau des ailes.
Seul souci : comment alimenter la turbine à l'arrière ? Si on l'alimente avec du kérosène la solution n'a aucun intérêt. La NASA a donc imaginé la turbine totalement électrique : l'électricité est produite par les autres turbines, notamment grâce au vent qui s'engouffre à l'intérieur et un simple système de générateurs électriques. Avec ce système, la NASA estime qu'il est possible de réduire de 10 % la consommation de carburant des avions de ligne.
C'est ainsi qu'est né le STARC-ABL : le nom est l'acronyme de « Single-aisle Turboelectric Aircraft with an Aft Boundary-Layer propulsor » ou « Avion monocouloir turboélectrique avec propulseur arrière couche limite » en français. Heureusement, avant de devoir dire à quelqu'un qu'on a voyagé sur un tel engin des années passeront : la NASA va commencer l'étude de prototypes et espère que le premier avion STAR-ABL prendra son envol dans une vingtaine d'années. Et d'ici là on aura peut-être droit à un nom plus simple...
Pourquoi faire compliqué quand on peut faire simple ? C'est probablement l'adage qui a guidé les ingénieurs de la NASA à la tête du projet STARC-ABL. Il s'agit d'un nouveau système de propulsion pour les avions qui aurait la particularité de permettre de réduire la consommation de carburant de ces derniers. Pour ce faire, il suffirait d'ajouter une turbine...
Le STARC-ABL : un avion avec une turbine électrique en plus
Le nouveau projet de la NASA a été présenté par l'agence spatiale dans une vidéo postée le 7 novembre 2017 sur Youtube. Il s'agit d'un concept révolutionnaire pour la propulsion des avions. Mais s'il est révolutionnaire, il n'est pas compliqué en termes de design : en fait la NASA a tout simplement ajouté une turbine à l'arrière de l'appareil.
Cette turbine va augmenter la puissance disponible ce qui permettrait aux constructeurs de réduire la taille des réacteurs. Réduire leur taille revient également à réduire leur frottement ainsi que leur puissance : l'avion consommera donc, logiquement, moins. La turbine placée à l'arrière de l'avion, elle, vient compenser la puissance réduite des turbines placées au niveau des ailes.
Seul souci : comment alimenter la turbine à l'arrière ? Si on l'alimente avec du kérosène la solution n'a aucun intérêt. La NASA a donc imaginé la turbine totalement électrique : l'électricité est produite par les autres turbines, notamment grâce au vent qui s'engouffre à l'intérieur et un simple système de générateurs électriques. Avec ce système, la NASA estime qu'il est possible de réduire de 10 % la consommation de carburant des avions de ligne.
C'est ainsi qu'est né le STARC-ABL : le nom est l'acronyme de « Single-aisle Turboelectric Aircraft with an Aft Boundary-Layer propulsor » ou « Avion monocouloir turboélectrique avec propulseur arrière couche limite » en français. Heureusement, avant de devoir dire à quelqu'un qu'on a voyagé sur un tel engin des années passeront : la NASA va commencer l'étude de prototypes et espère que le premier avion STAR-ABL prendra son envol dans une vingtaine d'années. Et d'ici là on aura peut-être droit à un nom plus simple...
Pourquoi faire compliqué quand on peut faire simple ? C'est probablement l'adage qui a guidé les ingénieurs de la NASA à la tête du projet STARC-ABL. Il s'agit d'un nouveau système de propulsion pour les avions qui aurait la particularité de permettre de réduire la consommation de carburant de ces derniers. Pour ce faire, il suffirait d'ajouter une turbine...
Le STARC-ABL : un avion avec une turbine électrique en plus
Le nouveau projet de la NASA a été présenté par l'agence spatiale dans une vidéo postée le 7 novembre 2017 sur Youtube. Il s'agit d'un concept révolutionnaire pour la propulsion des avions. Mais s'il est révolutionnaire, il n'est pas compliqué en termes de design : en fait la NASA a tout simplement ajouté une turbine à l'arrière de l'appareil.
Cette turbine va augmenter la puissance disponible ce qui permettrait aux constructeurs de réduire la taille des réacteurs. Réduire leur taille revient également à réduire leur frottement ainsi que leur puissance : l'avion consommera donc, logiquement, moins. La turbine placée à l'arrière de l'avion, elle, vient compenser la puissance réduite des turbines placées au niveau des ailes.
Seul souci : comment alimenter la turbine à l'arrière ? Si on l'alimente avec du kérosène la solution n'a aucun intérêt. La NASA a donc imaginé la turbine totalement électrique : l'électricité est produite par les autres turbines, notamment grâce au vent qui s'engouffre à l'intérieur et un simple système de générateurs électriques. Avec ce système, la NASA estime qu'il est possible de réduire de 10 % la consommation de carburant des avions de ligne.
C'est ainsi qu'est né le STARC-ABL : le nom est l'acronyme de « Single-aisle Turboelectric Aircraft with an Aft Boundary-Layer propulsor » ou « Avion monocouloir turboélectrique avec propulseur arrière couche limite » en français. Heureusement, avant de devoir dire à quelqu'un qu'on a voyagé sur un tel engin des années passeront : la NASA va commencer l'étude de prototypes et espère que le premier avion STAR-ABL prendra son envol dans une vingtaine d'années. Et d'ici là on aura peut-être droit à un nom plus simple...
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Le STARC-ABL : un avion avec une turbine électrique en plus
Le nouveau projet de la NASA a été présenté par l'agence spatiale dans une vidéo postée le 7 novembre 2017 sur Youtube. Il s'agit d'un concept révolutionnaire pour la propulsion des avions. Mais s'il est révolutionnaire, il n'est pas compliqué en termes de design : en fait la NASA a tout simplement ajouté une turbine à l'arrière de l'appareil.
Cette turbine va augmenter la puissance disponible ce qui permettrait aux constructeurs de réduire la taille des réacteurs. Réduire leur taille revient également à réduire leur frottement ainsi que leur puissance : l'avion consommera donc, logiquement, moins. La turbine placée à l'arrière de l'avion, elle, vient compenser la puissance réduite des turbines placées au niveau des ailes.
Seul souci : comment alimenter la turbine à l'arrière ? Si on l'alimente avec du kérosène la solution n'a aucun intérêt. La NASA a donc imaginé la turbine totalement électrique : l'électricité est produite par les autres turbines, notamment grâce au vent qui s'engouffre à l'intérieur et un simple système de générateurs électriques. Avec ce système, la NASA estime qu'il est possible de réduire de 10 % la consommation de carburant des avions de ligne.
C'est ainsi qu'est né le STARC-ABL : le nom est l'acronyme de « Single-aisle Turboelectric Aircraft with an Aft Boundary-Layer propulsor » ou « Avion monocouloir turboélectrique avec propulseur arrière couche limite » en français. Heureusement, avant de devoir dire à quelqu'un qu'on a voyagé sur un tel engin des années passeront : la NASA va commencer l'étude de prototypes et espère que le premier avion STAR-ABL prendra son envol dans une vingtaine d'années. Et d'ici là on aura peut-être droit à un nom plus simple...
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Le STARC-ABL : un avion avec une turbine électrique en plus
Le nouveau projet de la NASA a été présenté par l'agence spatiale dans une vidéo postée le 7 novembre 2017 sur Youtube. Il s'agit d'un concept révolutionnaire pour la propulsion des avions. Mais s'il est révolutionnaire, il n'est pas compliqué en termes de design : en fait la NASA a tout simplement ajouté une turbine à l'arrière de l'appareil.
Cette turbine va augmenter la puissance disponible ce qui permettrait aux constructeurs de réduire la taille des réacteurs. Réduire leur taille revient également à réduire leur frottement ainsi que leur puissance : l'avion consommera donc, logiquement, moins. La turbine placée à l'arrière de l'avion, elle, vient compenser la puissance réduite des turbines placées au niveau des ailes.
Seul souci : comment alimenter la turbine à l'arrière ? Si on l'alimente avec du kérosène la solution n'a aucun intérêt. La NASA a donc imaginé la turbine totalement électrique : l'électricité est produite par les autres turbines, notamment grâce au vent qui s'engouffre à l'intérieur et un simple système de générateurs électriques. Avec ce système, la NASA estime qu'il est possible de réduire de 10 % la consommation de carburant des avions de ligne.
C'est ainsi qu'est né le STARC-ABL : le nom est l'acronyme de « Single-aisle Turboelectric Aircraft with an Aft Boundary-Layer propulsor » ou « Avion monocouloir turboélectrique avec propulseur arrière couche limite » en français. Heureusement, avant de devoir dire à quelqu'un qu'on a voyagé sur un tel engin des années passeront : la NASA va commencer l'étude de prototypes et espère que le premier avion STAR-ABL prendra son envol dans une vingtaine d'années. Et d'ici là on aura peut-être droit à un nom plus simple...