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Lincoln Navigator : le concept futuriste qui va vous réconcilier avec le SUV limousine
Publié par Romain Heuillard
le jeudi 24 mars 2016
Diaporama : Filiale haut de gamme de Ford, le constructeur américain Lincoln a profité cette semaine du salon de l'automobile de New York, le NAIAS, pour présenter le concept d'un Navigator futuriste.
Le Lincoln Navigator est le pionnier du segment des grands SUV limousines, ces véhicules on ne peut plus statutaires qui sont conduits par des chauffeurs dans les quartiers chics de New York, notamment.
Inspiré selon le constructeur par les yachts et les voiliers de luxe, ce concept se veut plus raffiné. Des portières motorisées en « ailes de mouettes » d'un seul tenant contribuent aux lignes épurées. Il n'y a qu'une seule porte latérale pour les trois rangs, donc pas de montant.
Diaporama : BMW Vision Next 100 : la voiture métamorphe du 22e siècle
Le véhicule n'en demeure pas moins imposant, comme en témoigne l'escalier escamotable de trois marches qui remplace le simple marchepied pour faciliter l'accès à bord. En témoigne aussi le rétroviseur central numérique, un écran retransmettant une caméra arrière. Il faut dire que le coffre abrite une armoire destinée à accueillir la garde-robe d'un navigateur.
Techniquement, le concept embarque un V6 dont la cylindrée de 3,5 L est raisonnable pour le segment et pour le marché américain. Un bi-turbo lui permet malgré tout de délivrer une puissance de 400 cv. Ce moteur ainsi que la suspension et la direction offrent plusieurs modes de conduite, reflétés par une interface et des animations spécifiques sur le combiné d'instruments, naturellement constitué d'un écran plutôt que de compteurs à aiguilles.
Innovation : Goodyear : des pneus sphériques pour voitures autonomes à lévitation !
Et en matière de nouvelles technologies, ce concept offre le freinage d'urgence automatique, un avertisseur de franchissement de ligne avec correcteur de trajectoire (mais pas pour autant de pilote semi-automatique). Il combine par ailleurs quatre caméras pour une vue à 360 degrés facilitant les manœuvres.
À bord enfin, on trouve six fauteuils électriques « Perfect Position », inspirés des fauteuils d'avion de classe affaire, qui offrent jusqu'à 30 possibilités d'ajustement selon le niveau d'équipement. Le conducteur bénéficie d'un grand écran tactile, tout comme les quatre passagers aux places arrières. Une connectivité Wi-Fi embarquée permet d'y déporter l'affichage de son smartphone, pour se divertir dans les meilleures conditions.
Diaporama : Lo Res Car : des jeux vidéo d'autrefois au concept car futuriste
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Le véhicule n'en demeure pas moins imposant, comme en témoigne l'escalier escamotable de trois marches qui remplace le simple marchepied pour faciliter l'accès à bord. En témoigne aussi le rétroviseur central numérique, un écran retransmettant une caméra arrière. Il faut dire que le coffre abrite une armoire destinée à accueillir la garde-robe d'un navigateur.
Techniquement, le concept embarque un V6 dont la cylindrée de 3,5 L est raisonnable pour le segment et pour le marché américain. Un bi-turbo lui permet malgré tout de délivrer une puissance de 400 cv. Ce moteur ainsi que la suspension et la direction offrent plusieurs modes de conduite, reflétés par une interface et des animations spécifiques sur le combiné d'instruments, naturellement constitué d'un écran plutôt que de compteurs à aiguilles.
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Et en matière de nouvelles technologies, ce concept offre le freinage d'urgence automatique, un avertisseur de franchissement de ligne avec correcteur de trajectoire (mais pas pour autant de pilote semi-automatique). Il combine par ailleurs quatre caméras pour une vue à 360 degrés facilitant les manœuvres.
À bord enfin, on trouve six fauteuils électriques « Perfect Position », inspirés des fauteuils d'avion de classe affaire, qui offrent jusqu'à 30 possibilités d'ajustement selon le niveau d'équipement. Le conducteur bénéficie d'un grand écran tactile, tout comme les quatre passagers aux places arrières. Une connectivité Wi-Fi embarquée permet d'y déporter l'affichage de son smartphone, pour se divertir dans les meilleures conditions.
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Techniquement, le concept embarque un V6 dont la cylindrée de 3,5 L est raisonnable pour le segment et pour le marché américain. Un bi-turbo lui permet malgré tout de délivrer une puissance de 400 cv. Ce moteur ainsi que la suspension et la direction offrent plusieurs modes de conduite, reflétés par une interface et des animations spécifiques sur le combiné d'instruments, naturellement constitué d'un écran plutôt que de compteurs à aiguilles.
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À bord enfin, on trouve six fauteuils électriques « Perfect Position », inspirés des fauteuils d'avion de classe affaire, qui offrent jusqu'à 30 possibilités d'ajustement selon le niveau d'équipement. Le conducteur bénéficie d'un grand écran tactile, tout comme les quatre passagers aux places arrières. Une connectivité Wi-Fi embarquée permet d'y déporter l'affichage de son smartphone, pour se divertir dans les meilleures conditions.
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Le véhicule n'en demeure pas moins imposant, comme en témoigne l'escalier escamotable de trois marches qui remplace le simple marchepied pour faciliter l'accès à bord. En témoigne aussi le rétroviseur central numérique, un écran retransmettant une caméra arrière. Il faut dire que le coffre abrite une armoire destinée à accueillir la garde-robe d'un navigateur.
Techniquement, le concept embarque un V6 dont la cylindrée de 3,5 L est raisonnable pour le segment et pour le marché américain. Un bi-turbo lui permet malgré tout de délivrer une puissance de 400 cv. Ce moteur ainsi que la suspension et la direction offrent plusieurs modes de conduite, reflétés par une interface et des animations spécifiques sur le combiné d'instruments, naturellement constitué d'un écran plutôt que de compteurs à aiguilles.
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Et en matière de nouvelles technologies, ce concept offre le freinage d'urgence automatique, un avertisseur de franchissement de ligne avec correcteur de trajectoire (mais pas pour autant de pilote semi-automatique). Il combine par ailleurs quatre caméras pour une vue à 360 degrés facilitant les manœuvres.
À bord enfin, on trouve six fauteuils électriques « Perfect Position », inspirés des fauteuils d'avion de classe affaire, qui offrent jusqu'à 30 possibilités d'ajustement selon le niveau d'équipement. Le conducteur bénéficie d'un grand écran tactile, tout comme les quatre passagers aux places arrières. Une connectivité Wi-Fi embarquée permet d'y déporter l'affichage de son smartphone, pour se divertir dans les meilleures conditions.
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Le Lincoln Navigator est le pionnier du segment des grands SUV limousines, ces véhicules on ne peut plus statutaires qui sont conduits par des chauffeurs dans les quartiers chics de New York, notamment.
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Le véhicule n'en demeure pas moins imposant, comme en témoigne l'escalier escamotable de trois marches qui remplace le simple marchepied pour faciliter l'accès à bord. En témoigne aussi le rétroviseur central numérique, un écran retransmettant une caméra arrière. Il faut dire que le coffre abrite une armoire destinée à accueillir la garde-robe d'un navigateur.
Techniquement, le concept embarque un V6 dont la cylindrée de 3,5 L est raisonnable pour le segment et pour le marché américain. Un bi-turbo lui permet malgré tout de délivrer une puissance de 400 cv. Ce moteur ainsi que la suspension et la direction offrent plusieurs modes de conduite, reflétés par une interface et des animations spécifiques sur le combiné d'instruments, naturellement constitué d'un écran plutôt que de compteurs à aiguilles.
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Et en matière de nouvelles technologies, ce concept offre le freinage d'urgence automatique, un avertisseur de franchissement de ligne avec correcteur de trajectoire (mais pas pour autant de pilote semi-automatique). Il combine par ailleurs quatre caméras pour une vue à 360 degrés facilitant les manœuvres.
À bord enfin, on trouve six fauteuils électriques « Perfect Position », inspirés des fauteuils d'avion de classe affaire, qui offrent jusqu'à 30 possibilités d'ajustement selon le niveau d'équipement. Le conducteur bénéficie d'un grand écran tactile, tout comme les quatre passagers aux places arrières. Une connectivité Wi-Fi embarquée permet d'y déporter l'affichage de son smartphone, pour se divertir dans les meilleures conditions.
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Inspiré selon le constructeur par les yachts et les voiliers de luxe, ce concept se veut plus raffiné. Des portières motorisées en « ailes de mouettes » d'un seul tenant contribuent aux lignes épurées. Il n'y a qu'une seule porte latérale pour les trois rangs, donc pas de montant.
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Le véhicule n'en demeure pas moins imposant, comme en témoigne l'escalier escamotable de trois marches qui remplace le simple marchepied pour faciliter l'accès à bord. En témoigne aussi le rétroviseur central numérique, un écran retransmettant une caméra arrière. Il faut dire que le coffre abrite une armoire destinée à accueillir la garde-robe d'un navigateur.
Techniquement, le concept embarque un V6 dont la cylindrée de 3,5 L est raisonnable pour le segment et pour le marché américain. Un bi-turbo lui permet malgré tout de délivrer une puissance de 400 cv. Ce moteur ainsi que la suspension et la direction offrent plusieurs modes de conduite, reflétés par une interface et des animations spécifiques sur le combiné d'instruments, naturellement constitué d'un écran plutôt que de compteurs à aiguilles.
Innovation : Goodyear : des pneus sphériques pour voitures autonomes à lévitation !
Et en matière de nouvelles technologies, ce concept offre le freinage d'urgence automatique, un avertisseur de franchissement de ligne avec correcteur de trajectoire (mais pas pour autant de pilote semi-automatique). Il combine par ailleurs quatre caméras pour une vue à 360 degrés facilitant les manœuvres.
À bord enfin, on trouve six fauteuils électriques « Perfect Position », inspirés des fauteuils d'avion de classe affaire, qui offrent jusqu'à 30 possibilités d'ajustement selon le niveau d'équipement. Le conducteur bénéficie d'un grand écran tactile, tout comme les quatre passagers aux places arrières. Une connectivité Wi-Fi embarquée permet d'y déporter l'affichage de son smartphone, pour se divertir dans les meilleures conditions.
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Le Lincoln Navigator est le pionnier du segment des grands SUV limousines, ces véhicules on ne peut plus statutaires qui sont conduits par des chauffeurs dans les quartiers chics de New York, notamment.
Inspiré selon le constructeur par les yachts et les voiliers de luxe, ce concept se veut plus raffiné. Des portières motorisées en « ailes de mouettes » d'un seul tenant contribuent aux lignes épurées. Il n'y a qu'une seule porte latérale pour les trois rangs, donc pas de montant.
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Le véhicule n'en demeure pas moins imposant, comme en témoigne l'escalier escamotable de trois marches qui remplace le simple marchepied pour faciliter l'accès à bord. En témoigne aussi le rétroviseur central numérique, un écran retransmettant une caméra arrière. Il faut dire que le coffre abrite une armoire destinée à accueillir la garde-robe d'un navigateur.
Techniquement, le concept embarque un V6 dont la cylindrée de 3,5 L est raisonnable pour le segment et pour le marché américain. Un bi-turbo lui permet malgré tout de délivrer une puissance de 400 cv. Ce moteur ainsi que la suspension et la direction offrent plusieurs modes de conduite, reflétés par une interface et des animations spécifiques sur le combiné d'instruments, naturellement constitué d'un écran plutôt que de compteurs à aiguilles.
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Et en matière de nouvelles technologies, ce concept offre le freinage d'urgence automatique, un avertisseur de franchissement de ligne avec correcteur de trajectoire (mais pas pour autant de pilote semi-automatique). Il combine par ailleurs quatre caméras pour une vue à 360 degrés facilitant les manœuvres.
À bord enfin, on trouve six fauteuils électriques « Perfect Position », inspirés des fauteuils d'avion de classe affaire, qui offrent jusqu'à 30 possibilités d'ajustement selon le niveau d'équipement. Le conducteur bénéficie d'un grand écran tactile, tout comme les quatre passagers aux places arrières. Une connectivité Wi-Fi embarquée permet d'y déporter l'affichage de son smartphone, pour se divertir dans les meilleures conditions.
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Inspiré selon le constructeur par les yachts et les voiliers de luxe, ce concept se veut plus raffiné. Des portières motorisées en « ailes de mouettes » d'un seul tenant contribuent aux lignes épurées. Il n'y a qu'une seule porte latérale pour les trois rangs, donc pas de montant.
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Le véhicule n'en demeure pas moins imposant, comme en témoigne l'escalier escamotable de trois marches qui remplace le simple marchepied pour faciliter l'accès à bord. En témoigne aussi le rétroviseur central numérique, un écran retransmettant une caméra arrière. Il faut dire que le coffre abrite une armoire destinée à accueillir la garde-robe d'un navigateur.
Techniquement, le concept embarque un V6 dont la cylindrée de 3,5 L est raisonnable pour le segment et pour le marché américain. Un bi-turbo lui permet malgré tout de délivrer une puissance de 400 cv. Ce moteur ainsi que la suspension et la direction offrent plusieurs modes de conduite, reflétés par une interface et des animations spécifiques sur le combiné d'instruments, naturellement constitué d'un écran plutôt que de compteurs à aiguilles.
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Et en matière de nouvelles technologies, ce concept offre le freinage d'urgence automatique, un avertisseur de franchissement de ligne avec correcteur de trajectoire (mais pas pour autant de pilote semi-automatique). Il combine par ailleurs quatre caméras pour une vue à 360 degrés facilitant les manœuvres.
À bord enfin, on trouve six fauteuils électriques « Perfect Position », inspirés des fauteuils d'avion de classe affaire, qui offrent jusqu'à 30 possibilités d'ajustement selon le niveau d'équipement. Le conducteur bénéficie d'un grand écran tactile, tout comme les quatre passagers aux places arrières. Une connectivité Wi-Fi embarquée permet d'y déporter l'affichage de son smartphone, pour se divertir dans les meilleures conditions.
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Le véhicule n'en demeure pas moins imposant, comme en témoigne l'escalier escamotable de trois marches qui remplace le simple marchepied pour faciliter l'accès à bord. En témoigne aussi le rétroviseur central numérique, un écran retransmettant une caméra arrière. Il faut dire que le coffre abrite une armoire destinée à accueillir la garde-robe d'un navigateur.
Techniquement, le concept embarque un V6 dont la cylindrée de 3,5 L est raisonnable pour le segment et pour le marché américain. Un bi-turbo lui permet malgré tout de délivrer une puissance de 400 cv. Ce moteur ainsi que la suspension et la direction offrent plusieurs modes de conduite, reflétés par une interface et des animations spécifiques sur le combiné d'instruments, naturellement constitué d'un écran plutôt que de compteurs à aiguilles.
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À bord enfin, on trouve six fauteuils électriques « Perfect Position », inspirés des fauteuils d'avion de classe affaire, qui offrent jusqu'à 30 possibilités d'ajustement selon le niveau d'équipement. Le conducteur bénéficie d'un grand écran tactile, tout comme les quatre passagers aux places arrières. Une connectivité Wi-Fi embarquée permet d'y déporter l'affichage de son smartphone, pour se divertir dans les meilleures conditions.
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Le Lincoln Navigator est le pionnier du segment des grands SUV limousines, ces véhicules on ne peut plus statutaires qui sont conduits par des chauffeurs dans les quartiers chics de New York, notamment.
Inspiré selon le constructeur par les yachts et les voiliers de luxe, ce concept se veut plus raffiné. Des portières motorisées en « ailes de mouettes » d'un seul tenant contribuent aux lignes épurées. Il n'y a qu'une seule porte latérale pour les trois rangs, donc pas de montant.
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Le véhicule n'en demeure pas moins imposant, comme en témoigne l'escalier escamotable de trois marches qui remplace le simple marchepied pour faciliter l'accès à bord. En témoigne aussi le rétroviseur central numérique, un écran retransmettant une caméra arrière. Il faut dire que le coffre abrite une armoire destinée à accueillir la garde-robe d'un navigateur.
Techniquement, le concept embarque un V6 dont la cylindrée de 3,5 L est raisonnable pour le segment et pour le marché américain. Un bi-turbo lui permet malgré tout de délivrer une puissance de 400 cv. Ce moteur ainsi que la suspension et la direction offrent plusieurs modes de conduite, reflétés par une interface et des animations spécifiques sur le combiné d'instruments, naturellement constitué d'un écran plutôt que de compteurs à aiguilles.
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Le véhicule n'en demeure pas moins imposant, comme en témoigne l'escalier escamotable de trois marches qui remplace le simple marchepied pour faciliter l'accès à bord. En témoigne aussi le rétroviseur central numérique, un écran retransmettant une caméra arrière. Il faut dire que le coffre abrite une armoire destinée à accueillir la garde-robe d'un navigateur.
Techniquement, le concept embarque un V6 dont la cylindrée de 3,5 L est raisonnable pour le segment et pour le marché américain. Un bi-turbo lui permet malgré tout de délivrer une puissance de 400 cv. Ce moteur ainsi que la suspension et la direction offrent plusieurs modes de conduite, reflétés par une interface et des animations spécifiques sur le combiné d'instruments, naturellement constitué d'un écran plutôt que de compteurs à aiguilles.
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Le Lincoln Navigator est le pionnier du segment des grands SUV limousines, ces véhicules on ne peut plus statutaires qui sont conduits par des chauffeurs dans les quartiers chics de New York, notamment.
Inspiré selon le constructeur par les yachts et les voiliers de luxe, ce concept se veut plus raffiné. Des portières motorisées en « ailes de mouettes » d'un seul tenant contribuent aux lignes épurées. Il n'y a qu'une seule porte latérale pour les trois rangs, donc pas de montant.
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Le véhicule n'en demeure pas moins imposant, comme en témoigne l'escalier escamotable de trois marches qui remplace le simple marchepied pour faciliter l'accès à bord. En témoigne aussi le rétroviseur central numérique, un écran retransmettant une caméra arrière. Il faut dire que le coffre abrite une armoire destinée à accueillir la garde-robe d'un navigateur.
Techniquement, le concept embarque un V6 dont la cylindrée de 3,5 L est raisonnable pour le segment et pour le marché américain. Un bi-turbo lui permet malgré tout de délivrer une puissance de 400 cv. Ce moteur ainsi que la suspension et la direction offrent plusieurs modes de conduite, reflétés par une interface et des animations spécifiques sur le combiné d'instruments, naturellement constitué d'un écran plutôt que de compteurs à aiguilles.
Innovation : Goodyear : des pneus sphériques pour voitures autonomes à lévitation !
Et en matière de nouvelles technologies, ce concept offre le freinage d'urgence automatique, un avertisseur de franchissement de ligne avec correcteur de trajectoire (mais pas pour autant de pilote semi-automatique). Il combine par ailleurs quatre caméras pour une vue à 360 degrés facilitant les manœuvres.
À bord enfin, on trouve six fauteuils électriques « Perfect Position », inspirés des fauteuils d'avion de classe affaire, qui offrent jusqu'à 30 possibilités d'ajustement selon le niveau d'équipement. Le conducteur bénéficie d'un grand écran tactile, tout comme les quatre passagers aux places arrières. Une connectivité Wi-Fi embarquée permet d'y déporter l'affichage de son smartphone, pour se divertir dans les meilleures conditions.
Diaporama : Lo Res Car : des jeux vidéo d'autrefois au concept car futuriste
Inspiré selon le constructeur par les yachts et les voiliers de luxe, ce concept se veut plus raffiné. Des portières motorisées en « ailes de mouettes » d'un seul tenant contribuent aux lignes épurées. Il n'y a qu'une seule porte latérale pour les trois rangs, donc pas de montant.
Diaporama : BMW Vision Next 100 : la voiture métamorphe du 22e siècle
Le véhicule n'en demeure pas moins imposant, comme en témoigne l'escalier escamotable de trois marches qui remplace le simple marchepied pour faciliter l'accès à bord. En témoigne aussi le rétroviseur central numérique, un écran retransmettant une caméra arrière. Il faut dire que le coffre abrite une armoire destinée à accueillir la garde-robe d'un navigateur.
Techniquement, le concept embarque un V6 dont la cylindrée de 3,5 L est raisonnable pour le segment et pour le marché américain. Un bi-turbo lui permet malgré tout de délivrer une puissance de 400 cv. Ce moteur ainsi que la suspension et la direction offrent plusieurs modes de conduite, reflétés par une interface et des animations spécifiques sur le combiné d'instruments, naturellement constitué d'un écran plutôt que de compteurs à aiguilles.
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Et en matière de nouvelles technologies, ce concept offre le freinage d'urgence automatique, un avertisseur de franchissement de ligne avec correcteur de trajectoire (mais pas pour autant de pilote semi-automatique). Il combine par ailleurs quatre caméras pour une vue à 360 degrés facilitant les manœuvres.
À bord enfin, on trouve six fauteuils électriques « Perfect Position », inspirés des fauteuils d'avion de classe affaire, qui offrent jusqu'à 30 possibilités d'ajustement selon le niveau d'équipement. Le conducteur bénéficie d'un grand écran tactile, tout comme les quatre passagers aux places arrières. Une connectivité Wi-Fi embarquée permet d'y déporter l'affichage de son smartphone, pour se divertir dans les meilleures conditions.
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Le Lincoln Navigator est le pionnier du segment des grands SUV limousines, ces véhicules on ne peut plus statutaires qui sont conduits par des chauffeurs dans les quartiers chics de New York, notamment.
Inspiré selon le constructeur par les yachts et les voiliers de luxe, ce concept se veut plus raffiné. Des portières motorisées en « ailes de mouettes » d'un seul tenant contribuent aux lignes épurées. Il n'y a qu'une seule porte latérale pour les trois rangs, donc pas de montant.
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Le véhicule n'en demeure pas moins imposant, comme en témoigne l'escalier escamotable de trois marches qui remplace le simple marchepied pour faciliter l'accès à bord. En témoigne aussi le rétroviseur central numérique, un écran retransmettant une caméra arrière. Il faut dire que le coffre abrite une armoire destinée à accueillir la garde-robe d'un navigateur.
Techniquement, le concept embarque un V6 dont la cylindrée de 3,5 L est raisonnable pour le segment et pour le marché américain. Un bi-turbo lui permet malgré tout de délivrer une puissance de 400 cv. Ce moteur ainsi que la suspension et la direction offrent plusieurs modes de conduite, reflétés par une interface et des animations spécifiques sur le combiné d'instruments, naturellement constitué d'un écran plutôt que de compteurs à aiguilles.
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À bord enfin, on trouve six fauteuils électriques « Perfect Position », inspirés des fauteuils d'avion de classe affaire, qui offrent jusqu'à 30 possibilités d'ajustement selon le niveau d'équipement. Le conducteur bénéficie d'un grand écran tactile, tout comme les quatre passagers aux places arrières. Une connectivité Wi-Fi embarquée permet d'y déporter l'affichage de son smartphone, pour se divertir dans les meilleures conditions.
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Le véhicule n'en demeure pas moins imposant, comme en témoigne l'escalier escamotable de trois marches qui remplace le simple marchepied pour faciliter l'accès à bord. En témoigne aussi le rétroviseur central numérique, un écran retransmettant une caméra arrière. Il faut dire que le coffre abrite une armoire destinée à accueillir la garde-robe d'un navigateur.
Techniquement, le concept embarque un V6 dont la cylindrée de 3,5 L est raisonnable pour le segment et pour le marché américain. Un bi-turbo lui permet malgré tout de délivrer une puissance de 400 cv. Ce moteur ainsi que la suspension et la direction offrent plusieurs modes de conduite, reflétés par une interface et des animations spécifiques sur le combiné d'instruments, naturellement constitué d'un écran plutôt que de compteurs à aiguilles.
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Et en matière de nouvelles technologies, ce concept offre le freinage d'urgence automatique, un avertisseur de franchissement de ligne avec correcteur de trajectoire (mais pas pour autant de pilote semi-automatique). Il combine par ailleurs quatre caméras pour une vue à 360 degrés facilitant les manœuvres.
À bord enfin, on trouve six fauteuils électriques « Perfect Position », inspirés des fauteuils d'avion de classe affaire, qui offrent jusqu'à 30 possibilités d'ajustement selon le niveau d'équipement. Le conducteur bénéficie d'un grand écran tactile, tout comme les quatre passagers aux places arrières. Une connectivité Wi-Fi embarquée permet d'y déporter l'affichage de son smartphone, pour se divertir dans les meilleures conditions.
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Inspiré selon le constructeur par les yachts et les voiliers de luxe, ce concept se veut plus raffiné. Des portières motorisées en « ailes de mouettes » d'un seul tenant contribuent aux lignes épurées. Il n'y a qu'une seule porte latérale pour les trois rangs, donc pas de montant.
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Le véhicule n'en demeure pas moins imposant, comme en témoigne l'escalier escamotable de trois marches qui remplace le simple marchepied pour faciliter l'accès à bord. En témoigne aussi le rétroviseur central numérique, un écran retransmettant une caméra arrière. Il faut dire que le coffre abrite une armoire destinée à accueillir la garde-robe d'un navigateur.
Techniquement, le concept embarque un V6 dont la cylindrée de 3,5 L est raisonnable pour le segment et pour le marché américain. Un bi-turbo lui permet malgré tout de délivrer une puissance de 400 cv. Ce moteur ainsi que la suspension et la direction offrent plusieurs modes de conduite, reflétés par une interface et des animations spécifiques sur le combiné d'instruments, naturellement constitué d'un écran plutôt que de compteurs à aiguilles.
Innovation : Goodyear : des pneus sphériques pour voitures autonomes à lévitation !
Et en matière de nouvelles technologies, ce concept offre le freinage d'urgence automatique, un avertisseur de franchissement de ligne avec correcteur de trajectoire (mais pas pour autant de pilote semi-automatique). Il combine par ailleurs quatre caméras pour une vue à 360 degrés facilitant les manœuvres.
À bord enfin, on trouve six fauteuils électriques « Perfect Position », inspirés des fauteuils d'avion de classe affaire, qui offrent jusqu'à 30 possibilités d'ajustement selon le niveau d'équipement. Le conducteur bénéficie d'un grand écran tactile, tout comme les quatre passagers aux places arrières. Une connectivité Wi-Fi embarquée permet d'y déporter l'affichage de son smartphone, pour se divertir dans les meilleures conditions.
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Le Lincoln Navigator est le pionnier du segment des grands SUV limousines, ces véhicules on ne peut plus statutaires qui sont conduits par des chauffeurs dans les quartiers chics de New York, notamment.
Inspiré selon le constructeur par les yachts et les voiliers de luxe, ce concept se veut plus raffiné. Des portières motorisées en « ailes de mouettes » d'un seul tenant contribuent aux lignes épurées. Il n'y a qu'une seule porte latérale pour les trois rangs, donc pas de montant.
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Le véhicule n'en demeure pas moins imposant, comme en témoigne l'escalier escamotable de trois marches qui remplace le simple marchepied pour faciliter l'accès à bord. En témoigne aussi le rétroviseur central numérique, un écran retransmettant une caméra arrière. Il faut dire que le coffre abrite une armoire destinée à accueillir la garde-robe d'un navigateur.
Techniquement, le concept embarque un V6 dont la cylindrée de 3,5 L est raisonnable pour le segment et pour le marché américain. Un bi-turbo lui permet malgré tout de délivrer une puissance de 400 cv. Ce moteur ainsi que la suspension et la direction offrent plusieurs modes de conduite, reflétés par une interface et des animations spécifiques sur le combiné d'instruments, naturellement constitué d'un écran plutôt que de compteurs à aiguilles.
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Et en matière de nouvelles technologies, ce concept offre le freinage d'urgence automatique, un avertisseur de franchissement de ligne avec correcteur de trajectoire (mais pas pour autant de pilote semi-automatique). Il combine par ailleurs quatre caméras pour une vue à 360 degrés facilitant les manœuvres.
À bord enfin, on trouve six fauteuils électriques « Perfect Position », inspirés des fauteuils d'avion de classe affaire, qui offrent jusqu'à 30 possibilités d'ajustement selon le niveau d'équipement. Le conducteur bénéficie d'un grand écran tactile, tout comme les quatre passagers aux places arrières. Une connectivité Wi-Fi embarquée permet d'y déporter l'affichage de son smartphone, pour se divertir dans les meilleures conditions.
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Diaporama : BMW Vision Next 100 : la voiture métamorphe du 22e siècle
Le véhicule n'en demeure pas moins imposant, comme en témoigne l'escalier escamotable de trois marches qui remplace le simple marchepied pour faciliter l'accès à bord. En témoigne aussi le rétroviseur central numérique, un écran retransmettant une caméra arrière. Il faut dire que le coffre abrite une armoire destinée à accueillir la garde-robe d'un navigateur.
Techniquement, le concept embarque un V6 dont la cylindrée de 3,5 L est raisonnable pour le segment et pour le marché américain. Un bi-turbo lui permet malgré tout de délivrer une puissance de 400 cv. Ce moteur ainsi que la suspension et la direction offrent plusieurs modes de conduite, reflétés par une interface et des animations spécifiques sur le combiné d'instruments, naturellement constitué d'un écran plutôt que de compteurs à aiguilles.
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À bord enfin, on trouve six fauteuils électriques « Perfect Position », inspirés des fauteuils d'avion de classe affaire, qui offrent jusqu'à 30 possibilités d'ajustement selon le niveau d'équipement. Le conducteur bénéficie d'un grand écran tactile, tout comme les quatre passagers aux places arrières. Une connectivité Wi-Fi embarquée permet d'y déporter l'affichage de son smartphone, pour se divertir dans les meilleures conditions.
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À bord enfin, on trouve six fauteuils électriques « Perfect Position », inspirés des fauteuils d'avion de classe affaire, qui offrent jusqu'à 30 possibilités d'ajustement selon le niveau d'équipement. Le conducteur bénéficie d'un grand écran tactile, tout comme les quatre passagers aux places arrières. Une connectivité Wi-Fi embarquée permet d'y déporter l'affichage de son smartphone, pour se divertir dans les meilleures conditions.
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Le véhicule n'en demeure pas moins imposant, comme en témoigne l'escalier escamotable de trois marches qui remplace le simple marchepied pour faciliter l'accès à bord. En témoigne aussi le rétroviseur central numérique, un écran retransmettant une caméra arrière. Il faut dire que le coffre abrite une armoire destinée à accueillir la garde-robe d'un navigateur.
Techniquement, le concept embarque un V6 dont la cylindrée de 3,5 L est raisonnable pour le segment et pour le marché américain. Un bi-turbo lui permet malgré tout de délivrer une puissance de 400 cv. Ce moteur ainsi que la suspension et la direction offrent plusieurs modes de conduite, reflétés par une interface et des animations spécifiques sur le combiné d'instruments, naturellement constitué d'un écran plutôt que de compteurs à aiguilles.
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Modifié le jeudi 24 mars 2016