Au CES 2018 de Las Vegas, impossible de manquer les constructeurs automobiles : depuis l'avènement de la voiture autonome, la technologie et l'automobile sont deux secteurs qui ont fusionné, les voitures autonomes nécessitant Intelligence Artificielle et capteurs en tout genre pour fonctionner. General Motors semble toutefois prêt à franchir un cap majeur dans ce domaine.
Cruise : une voiture que seul l'ordinateur conduit
Tesla a déjà montré que la conduite autonome de niveau 3, soit une assistance poussée, est possible et les premières voitures autonomes de niveau 4 devraient arriver dans le courant de l'année 2018. Mais ce que tentent d'atteindre les constructeurs, c'est la conduite autonome de niveau 5, sur laquelle les autorités doivent encore se pencher : la voiture qui n'a aucun volant.
Si en Europe elles sont encore interdites, General Motors espère convaincre les autorités américaines de lui donner le feu vert et pour ce faire, quoi de mieux que montrer au monde entier qu'elle est prête à se lancer ? Au CES, le 12 janvier 2018, General Motors a donc présenté son projet Cruise, son premier modèle de voiture intégralement autonome.
La voiture ne dispose d'aucun volant ni d'aucune pédale, transformant de fait la place traditionnellement occupée par le conducteur en simple place passager. Personne n'a la main sur la voiture, si ce n'est l'ordinateur de bord, son Intelligence Artificielle et les capteurs placés un peu partout, notamment sur le toit.
Dans le détail, la voiture est une Chevrolet Bolt, le modèle 100 % électrique de chez Chevrolet, filiale de General Motors, dans sa quatrième version. Cruise Automation, start-up de la Silicon Valley dans laquelle GM a investi 600 millions de dollars, s'est chargée de la rendre 100 % autonome au point, justement, de pouvoir enlever volant et pédales.
GM n'a toutefois pas encore l'autorisation de la faire rouler : sans volant ni pédales, elle ne répond pas aux standards de sécurité en vigueur aux Etats-Unis ou ailleurs. Le constructeur a demandé une autorisation, mais cette dernière est un peu spéciale : il ne s'agit pas d'une exemption à certains standards, mais une demande d'y répondre d'une autre manière que celle prévue actuellement.
Si la demande est acceptée, GM prévoit de faire rouler ces voitures 100 % autonomes dans le cadre d'un service de taxis dès 2019. Ce serait possible : actuellement, la législation prévoit que 2.500 véhicules puissent, pour chaque constructeur, rouler sans respecter les règles de sécurité, une nécessité pour réaliser des tests. Mais cette loi pourrait être amendée, pour faire passer ce nombre à 100.000. Suffisant pour lancer une service de taxis autonomes à grande échelle.
Au CES 2018 de Las Vegas, impossible de manquer les constructeurs automobiles : depuis l'avènement de la voiture autonome, la technologie et l'automobile sont deux secteurs qui ont fusionné, les voitures autonomes nécessitant Intelligence Artificielle et capteurs en tout genre pour fonctionner. General Motors semble toutefois prêt à franchir un cap majeur dans ce domaine.
Cruise : une voiture que seul l'ordinateur conduit
Tesla a déjà montré que la conduite autonome de niveau 3, soit une assistance poussée, est possible et les premières voitures autonomes de niveau 4 devraient arriver dans le courant de l'année 2018. Mais ce que tentent d'atteindre les constructeurs, c'est la conduite autonome de niveau 5, sur laquelle les autorités doivent encore se pencher : la voiture qui n'a aucun volant.
Si en Europe elles sont encore interdites, General Motors espère convaincre les autorités américaines de lui donner le feu vert et pour ce faire, quoi de mieux que montrer au monde entier qu'elle est prête à se lancer ? Au CES, le 12 janvier 2018, General Motors a donc présenté son projet Cruise, son premier modèle de voiture intégralement autonome.
La voiture ne dispose d'aucun volant ni d'aucune pédale, transformant de fait la place traditionnellement occupée par le conducteur en simple place passager. Personne n'a la main sur la voiture, si ce n'est l'ordinateur de bord, son Intelligence Artificielle et les capteurs placés un peu partout, notamment sur le toit.
Dans le détail, la voiture est une Chevrolet Bolt, le modèle 100 % électrique de chez Chevrolet, filiale de General Motors, dans sa quatrième version. Cruise Automation, start-up de la Silicon Valley dans laquelle GM a investi 600 millions de dollars, s'est chargée de la rendre 100 % autonome au point, justement, de pouvoir enlever volant et pédales.
GM n'a toutefois pas encore l'autorisation de la faire rouler : sans volant ni pédales, elle ne répond pas aux standards de sécurité en vigueur aux Etats-Unis ou ailleurs. Le constructeur a demandé une autorisation, mais cette dernière est un peu spéciale : il ne s'agit pas d'une exemption à certains standards, mais une demande d'y répondre d'une autre manière que celle prévue actuellement.
Si la demande est acceptée, GM prévoit de faire rouler ces voitures 100 % autonomes dans le cadre d'un service de taxis dès 2019. Ce serait possible : actuellement, la législation prévoit que 2.500 véhicules puissent, pour chaque constructeur, rouler sans respecter les règles de sécurité, une nécessité pour réaliser des tests. Mais cette loi pourrait être amendée, pour faire passer ce nombre à 100.000. Suffisant pour lancer une service de taxis autonomes à grande échelle.
Au CES 2018 de Las Vegas, impossible de manquer les constructeurs automobiles : depuis l'avènement de la voiture autonome, la technologie et l'automobile sont deux secteurs qui ont fusionné, les voitures autonomes nécessitant Intelligence Artificielle et capteurs en tout genre pour fonctionner. General Motors semble toutefois prêt à franchir un cap majeur dans ce domaine.
Cruise : une voiture que seul l'ordinateur conduit
Tesla a déjà montré que la conduite autonome de niveau 3, soit une assistance poussée, est possible et les premières voitures autonomes de niveau 4 devraient arriver dans le courant de l'année 2018. Mais ce que tentent d'atteindre les constructeurs, c'est la conduite autonome de niveau 5, sur laquelle les autorités doivent encore se pencher : la voiture qui n'a aucun volant.
Si en Europe elles sont encore interdites, General Motors espère convaincre les autorités américaines de lui donner le feu vert et pour ce faire, quoi de mieux que montrer au monde entier qu'elle est prête à se lancer ? Au CES, le 12 janvier 2018, General Motors a donc présenté son projet Cruise, son premier modèle de voiture intégralement autonome.
La voiture ne dispose d'aucun volant ni d'aucune pédale, transformant de fait la place traditionnellement occupée par le conducteur en simple place passager. Personne n'a la main sur la voiture, si ce n'est l'ordinateur de bord, son Intelligence Artificielle et les capteurs placés un peu partout, notamment sur le toit.
Dans le détail, la voiture est une Chevrolet Bolt, le modèle 100 % électrique de chez Chevrolet, filiale de General Motors, dans sa quatrième version. Cruise Automation, start-up de la Silicon Valley dans laquelle GM a investi 600 millions de dollars, s'est chargée de la rendre 100 % autonome au point, justement, de pouvoir enlever volant et pédales.
GM n'a toutefois pas encore l'autorisation de la faire rouler : sans volant ni pédales, elle ne répond pas aux standards de sécurité en vigueur aux Etats-Unis ou ailleurs. Le constructeur a demandé une autorisation, mais cette dernière est un peu spéciale : il ne s'agit pas d'une exemption à certains standards, mais une demande d'y répondre d'une autre manière que celle prévue actuellement.
Si la demande est acceptée, GM prévoit de faire rouler ces voitures 100 % autonomes dans le cadre d'un service de taxis dès 2019. Ce serait possible : actuellement, la législation prévoit que 2.500 véhicules puissent, pour chaque constructeur, rouler sans respecter les règles de sécurité, une nécessité pour réaliser des tests. Mais cette loi pourrait être amendée, pour faire passer ce nombre à 100.000. Suffisant pour lancer une service de taxis autonomes à grande échelle.
Au CES 2018 de Las Vegas, impossible de manquer les constructeurs automobiles : depuis l'avènement de la voiture autonome, la technologie et l'automobile sont deux secteurs qui ont fusionné, les voitures autonomes nécessitant Intelligence Artificielle et capteurs en tout genre pour fonctionner. General Motors semble toutefois prêt à franchir un cap majeur dans ce domaine.
Cruise : une voiture que seul l'ordinateur conduit
Tesla a déjà montré que la conduite autonome de niveau 3, soit une assistance poussée, est possible et les premières voitures autonomes de niveau 4 devraient arriver dans le courant de l'année 2018. Mais ce que tentent d'atteindre les constructeurs, c'est la conduite autonome de niveau 5, sur laquelle les autorités doivent encore se pencher : la voiture qui n'a aucun volant.
Si en Europe elles sont encore interdites, General Motors espère convaincre les autorités américaines de lui donner le feu vert et pour ce faire, quoi de mieux que montrer au monde entier qu'elle est prête à se lancer ? Au CES, le 12 janvier 2018, General Motors a donc présenté son projet Cruise, son premier modèle de voiture intégralement autonome.
La voiture ne dispose d'aucun volant ni d'aucune pédale, transformant de fait la place traditionnellement occupée par le conducteur en simple place passager. Personne n'a la main sur la voiture, si ce n'est l'ordinateur de bord, son Intelligence Artificielle et les capteurs placés un peu partout, notamment sur le toit.
Dans le détail, la voiture est une Chevrolet Bolt, le modèle 100 % électrique de chez Chevrolet, filiale de General Motors, dans sa quatrième version. Cruise Automation, start-up de la Silicon Valley dans laquelle GM a investi 600 millions de dollars, s'est chargée de la rendre 100 % autonome au point, justement, de pouvoir enlever volant et pédales.
GM n'a toutefois pas encore l'autorisation de la faire rouler : sans volant ni pédales, elle ne répond pas aux standards de sécurité en vigueur aux Etats-Unis ou ailleurs. Le constructeur a demandé une autorisation, mais cette dernière est un peu spéciale : il ne s'agit pas d'une exemption à certains standards, mais une demande d'y répondre d'une autre manière que celle prévue actuellement.
Si la demande est acceptée, GM prévoit de faire rouler ces voitures 100 % autonomes dans le cadre d'un service de taxis dès 2019. Ce serait possible : actuellement, la législation prévoit que 2.500 véhicules puissent, pour chaque constructeur, rouler sans respecter les règles de sécurité, une nécessité pour réaliser des tests. Mais cette loi pourrait être amendée, pour faire passer ce nombre à 100.000. Suffisant pour lancer une service de taxis autonomes à grande échelle.
Au CES 2018 de Las Vegas, impossible de manquer les constructeurs automobiles : depuis l'avènement de la voiture autonome, la technologie et l'automobile sont deux secteurs qui ont fusionné, les voitures autonomes nécessitant Intelligence Artificielle et capteurs en tout genre pour fonctionner. General Motors semble toutefois prêt à franchir un cap majeur dans ce domaine.
Cruise : une voiture que seul l'ordinateur conduit
Tesla a déjà montré que la conduite autonome de niveau 3, soit une assistance poussée, est possible et les premières voitures autonomes de niveau 4 devraient arriver dans le courant de l'année 2018. Mais ce que tentent d'atteindre les constructeurs, c'est la conduite autonome de niveau 5, sur laquelle les autorités doivent encore se pencher : la voiture qui n'a aucun volant.
Si en Europe elles sont encore interdites, General Motors espère convaincre les autorités américaines de lui donner le feu vert et pour ce faire, quoi de mieux que montrer au monde entier qu'elle est prête à se lancer ? Au CES, le 12 janvier 2018, General Motors a donc présenté son projet Cruise, son premier modèle de voiture intégralement autonome.
La voiture ne dispose d'aucun volant ni d'aucune pédale, transformant de fait la place traditionnellement occupée par le conducteur en simple place passager. Personne n'a la main sur la voiture, si ce n'est l'ordinateur de bord, son Intelligence Artificielle et les capteurs placés un peu partout, notamment sur le toit.
Dans le détail, la voiture est une Chevrolet Bolt, le modèle 100 % électrique de chez Chevrolet, filiale de General Motors, dans sa quatrième version. Cruise Automation, start-up de la Silicon Valley dans laquelle GM a investi 600 millions de dollars, s'est chargée de la rendre 100 % autonome au point, justement, de pouvoir enlever volant et pédales.
GM n'a toutefois pas encore l'autorisation de la faire rouler : sans volant ni pédales, elle ne répond pas aux standards de sécurité en vigueur aux Etats-Unis ou ailleurs. Le constructeur a demandé une autorisation, mais cette dernière est un peu spéciale : il ne s'agit pas d'une exemption à certains standards, mais une demande d'y répondre d'une autre manière que celle prévue actuellement.
Si la demande est acceptée, GM prévoit de faire rouler ces voitures 100 % autonomes dans le cadre d'un service de taxis dès 2019. Ce serait possible : actuellement, la législation prévoit que 2.500 véhicules puissent, pour chaque constructeur, rouler sans respecter les règles de sécurité, une nécessité pour réaliser des tests. Mais cette loi pourrait être amendée, pour faire passer ce nombre à 100.000. Suffisant pour lancer une service de taxis autonomes à grande échelle.
Au CES 2018 de Las Vegas, impossible de manquer les constructeurs automobiles : depuis l'avènement de la voiture autonome, la technologie et l'automobile sont deux secteurs qui ont fusionné, les voitures autonomes nécessitant Intelligence Artificielle et capteurs en tout genre pour fonctionner. General Motors semble toutefois prêt à franchir un cap majeur dans ce domaine.
Cruise : une voiture que seul l'ordinateur conduit
Tesla a déjà montré que la conduite autonome de niveau 3, soit une assistance poussée, est possible et les premières voitures autonomes de niveau 4 devraient arriver dans le courant de l'année 2018. Mais ce que tentent d'atteindre les constructeurs, c'est la conduite autonome de niveau 5, sur laquelle les autorités doivent encore se pencher : la voiture qui n'a aucun volant.
Si en Europe elles sont encore interdites, General Motors espère convaincre les autorités américaines de lui donner le feu vert et pour ce faire, quoi de mieux que montrer au monde entier qu'elle est prête à se lancer ? Au CES, le 12 janvier 2018, General Motors a donc présenté son projet Cruise, son premier modèle de voiture intégralement autonome.
La voiture ne dispose d'aucun volant ni d'aucune pédale, transformant de fait la place traditionnellement occupée par le conducteur en simple place passager. Personne n'a la main sur la voiture, si ce n'est l'ordinateur de bord, son Intelligence Artificielle et les capteurs placés un peu partout, notamment sur le toit.
Dans le détail, la voiture est une Chevrolet Bolt, le modèle 100 % électrique de chez Chevrolet, filiale de General Motors, dans sa quatrième version. Cruise Automation, start-up de la Silicon Valley dans laquelle GM a investi 600 millions de dollars, s'est chargée de la rendre 100 % autonome au point, justement, de pouvoir enlever volant et pédales.
GM n'a toutefois pas encore l'autorisation de la faire rouler : sans volant ni pédales, elle ne répond pas aux standards de sécurité en vigueur aux Etats-Unis ou ailleurs. Le constructeur a demandé une autorisation, mais cette dernière est un peu spéciale : il ne s'agit pas d'une exemption à certains standards, mais une demande d'y répondre d'une autre manière que celle prévue actuellement.
Si la demande est acceptée, GM prévoit de faire rouler ces voitures 100 % autonomes dans le cadre d'un service de taxis dès 2019. Ce serait possible : actuellement, la législation prévoit que 2.500 véhicules puissent, pour chaque constructeur, rouler sans respecter les règles de sécurité, une nécessité pour réaliser des tests. Mais cette loi pourrait être amendée, pour faire passer ce nombre à 100.000. Suffisant pour lancer une service de taxis autonomes à grande échelle.
Au CES 2018 de Las Vegas, impossible de manquer les constructeurs automobiles : depuis l'avènement de la voiture autonome, la technologie et l'automobile sont deux secteurs qui ont fusionné, les voitures autonomes nécessitant Intelligence Artificielle et capteurs en tout genre pour fonctionner. General Motors semble toutefois prêt à franchir un cap majeur dans ce domaine.
Cruise : une voiture que seul l'ordinateur conduit
Tesla a déjà montré que la conduite autonome de niveau 3, soit une assistance poussée, est possible et les premières voitures autonomes de niveau 4 devraient arriver dans le courant de l'année 2018. Mais ce que tentent d'atteindre les constructeurs, c'est la conduite autonome de niveau 5, sur laquelle les autorités doivent encore se pencher : la voiture qui n'a aucun volant.
Si en Europe elles sont encore interdites, General Motors espère convaincre les autorités américaines de lui donner le feu vert et pour ce faire, quoi de mieux que montrer au monde entier qu'elle est prête à se lancer ? Au CES, le 12 janvier 2018, General Motors a donc présenté son projet Cruise, son premier modèle de voiture intégralement autonome.
La voiture ne dispose d'aucun volant ni d'aucune pédale, transformant de fait la place traditionnellement occupée par le conducteur en simple place passager. Personne n'a la main sur la voiture, si ce n'est l'ordinateur de bord, son Intelligence Artificielle et les capteurs placés un peu partout, notamment sur le toit.
Dans le détail, la voiture est une Chevrolet Bolt, le modèle 100 % électrique de chez Chevrolet, filiale de General Motors, dans sa quatrième version. Cruise Automation, start-up de la Silicon Valley dans laquelle GM a investi 600 millions de dollars, s'est chargée de la rendre 100 % autonome au point, justement, de pouvoir enlever volant et pédales.
GM n'a toutefois pas encore l'autorisation de la faire rouler : sans volant ni pédales, elle ne répond pas aux standards de sécurité en vigueur aux Etats-Unis ou ailleurs. Le constructeur a demandé une autorisation, mais cette dernière est un peu spéciale : il ne s'agit pas d'une exemption à certains standards, mais une demande d'y répondre d'une autre manière que celle prévue actuellement.
Si la demande est acceptée, GM prévoit de faire rouler ces voitures 100 % autonomes dans le cadre d'un service de taxis dès 2019. Ce serait possible : actuellement, la législation prévoit que 2.500 véhicules puissent, pour chaque constructeur, rouler sans respecter les règles de sécurité, une nécessité pour réaliser des tests. Mais cette loi pourrait être amendée, pour faire passer ce nombre à 100.000. Suffisant pour lancer une service de taxis autonomes à grande échelle.
Au CES 2018 de Las Vegas, impossible de manquer les constructeurs automobiles : depuis l'avènement de la voiture autonome, la technologie et l'automobile sont deux secteurs qui ont fusionné, les voitures autonomes nécessitant Intelligence Artificielle et capteurs en tout genre pour fonctionner. General Motors semble toutefois prêt à franchir un cap majeur dans ce domaine.
Cruise : une voiture que seul l'ordinateur conduit
Tesla a déjà montré que la conduite autonome de niveau 3, soit une assistance poussée, est possible et les premières voitures autonomes de niveau 4 devraient arriver dans le courant de l'année 2018. Mais ce que tentent d'atteindre les constructeurs, c'est la conduite autonome de niveau 5, sur laquelle les autorités doivent encore se pencher : la voiture qui n'a aucun volant.
Si en Europe elles sont encore interdites, General Motors espère convaincre les autorités américaines de lui donner le feu vert et pour ce faire, quoi de mieux que montrer au monde entier qu'elle est prête à se lancer ? Au CES, le 12 janvier 2018, General Motors a donc présenté son projet Cruise, son premier modèle de voiture intégralement autonome.
La voiture ne dispose d'aucun volant ni d'aucune pédale, transformant de fait la place traditionnellement occupée par le conducteur en simple place passager. Personne n'a la main sur la voiture, si ce n'est l'ordinateur de bord, son Intelligence Artificielle et les capteurs placés un peu partout, notamment sur le toit.
Dans le détail, la voiture est une Chevrolet Bolt, le modèle 100 % électrique de chez Chevrolet, filiale de General Motors, dans sa quatrième version. Cruise Automation, start-up de la Silicon Valley dans laquelle GM a investi 600 millions de dollars, s'est chargée de la rendre 100 % autonome au point, justement, de pouvoir enlever volant et pédales.
GM n'a toutefois pas encore l'autorisation de la faire rouler : sans volant ni pédales, elle ne répond pas aux standards de sécurité en vigueur aux Etats-Unis ou ailleurs. Le constructeur a demandé une autorisation, mais cette dernière est un peu spéciale : il ne s'agit pas d'une exemption à certains standards, mais une demande d'y répondre d'une autre manière que celle prévue actuellement.
Si la demande est acceptée, GM prévoit de faire rouler ces voitures 100 % autonomes dans le cadre d'un service de taxis dès 2019. Ce serait possible : actuellement, la législation prévoit que 2.500 véhicules puissent, pour chaque constructeur, rouler sans respecter les règles de sécurité, une nécessité pour réaliser des tests. Mais cette loi pourrait être amendée, pour faire passer ce nombre à 100.000. Suffisant pour lancer une service de taxis autonomes à grande échelle.
Au CES 2018 de Las Vegas, impossible de manquer les constructeurs automobiles : depuis l'avènement de la voiture autonome, la technologie et l'automobile sont deux secteurs qui ont fusionné, les voitures autonomes nécessitant Intelligence Artificielle et capteurs en tout genre pour fonctionner. General Motors semble toutefois prêt à franchir un cap majeur dans ce domaine.
Cruise : une voiture que seul l'ordinateur conduit
Tesla a déjà montré que la conduite autonome de niveau 3, soit une assistance poussée, est possible et les premières voitures autonomes de niveau 4 devraient arriver dans le courant de l'année 2018. Mais ce que tentent d'atteindre les constructeurs, c'est la conduite autonome de niveau 5, sur laquelle les autorités doivent encore se pencher : la voiture qui n'a aucun volant.
Si en Europe elles sont encore interdites, General Motors espère convaincre les autorités américaines de lui donner le feu vert et pour ce faire, quoi de mieux que montrer au monde entier qu'elle est prête à se lancer ? Au CES, le 12 janvier 2018, General Motors a donc présenté son projet Cruise, son premier modèle de voiture intégralement autonome.
La voiture ne dispose d'aucun volant ni d'aucune pédale, transformant de fait la place traditionnellement occupée par le conducteur en simple place passager. Personne n'a la main sur la voiture, si ce n'est l'ordinateur de bord, son Intelligence Artificielle et les capteurs placés un peu partout, notamment sur le toit.
Dans le détail, la voiture est une Chevrolet Bolt, le modèle 100 % électrique de chez Chevrolet, filiale de General Motors, dans sa quatrième version. Cruise Automation, start-up de la Silicon Valley dans laquelle GM a investi 600 millions de dollars, s'est chargée de la rendre 100 % autonome au point, justement, de pouvoir enlever volant et pédales.
GM n'a toutefois pas encore l'autorisation de la faire rouler : sans volant ni pédales, elle ne répond pas aux standards de sécurité en vigueur aux Etats-Unis ou ailleurs. Le constructeur a demandé une autorisation, mais cette dernière est un peu spéciale : il ne s'agit pas d'une exemption à certains standards, mais une demande d'y répondre d'une autre manière que celle prévue actuellement.
Si la demande est acceptée, GM prévoit de faire rouler ces voitures 100 % autonomes dans le cadre d'un service de taxis dès 2019. Ce serait possible : actuellement, la législation prévoit que 2.500 véhicules puissent, pour chaque constructeur, rouler sans respecter les règles de sécurité, une nécessité pour réaliser des tests. Mais cette loi pourrait être amendée, pour faire passer ce nombre à 100.000. Suffisant pour lancer une service de taxis autonomes à grande échelle.
Au CES 2018 de Las Vegas, impossible de manquer les constructeurs automobiles : depuis l'avènement de la voiture autonome, la technologie et l'automobile sont deux secteurs qui ont fusionné, les voitures autonomes nécessitant Intelligence Artificielle et capteurs en tout genre pour fonctionner. General Motors semble toutefois prêt à franchir un cap majeur dans ce domaine.
Cruise : une voiture que seul l'ordinateur conduit
Tesla a déjà montré que la conduite autonome de niveau 3, soit une assistance poussée, est possible et les premières voitures autonomes de niveau 4 devraient arriver dans le courant de l'année 2018. Mais ce que tentent d'atteindre les constructeurs, c'est la conduite autonome de niveau 5, sur laquelle les autorités doivent encore se pencher : la voiture qui n'a aucun volant.
Si en Europe elles sont encore interdites, General Motors espère convaincre les autorités américaines de lui donner le feu vert et pour ce faire, quoi de mieux que montrer au monde entier qu'elle est prête à se lancer ? Au CES, le 12 janvier 2018, General Motors a donc présenté son projet Cruise, son premier modèle de voiture intégralement autonome.
La voiture ne dispose d'aucun volant ni d'aucune pédale, transformant de fait la place traditionnellement occupée par le conducteur en simple place passager. Personne n'a la main sur la voiture, si ce n'est l'ordinateur de bord, son Intelligence Artificielle et les capteurs placés un peu partout, notamment sur le toit.
Dans le détail, la voiture est une Chevrolet Bolt, le modèle 100 % électrique de chez Chevrolet, filiale de General Motors, dans sa quatrième version. Cruise Automation, start-up de la Silicon Valley dans laquelle GM a investi 600 millions de dollars, s'est chargée de la rendre 100 % autonome au point, justement, de pouvoir enlever volant et pédales.
GM n'a toutefois pas encore l'autorisation de la faire rouler : sans volant ni pédales, elle ne répond pas aux standards de sécurité en vigueur aux Etats-Unis ou ailleurs. Le constructeur a demandé une autorisation, mais cette dernière est un peu spéciale : il ne s'agit pas d'une exemption à certains standards, mais une demande d'y répondre d'une autre manière que celle prévue actuellement.
Si la demande est acceptée, GM prévoit de faire rouler ces voitures 100 % autonomes dans le cadre d'un service de taxis dès 2019. Ce serait possible : actuellement, la législation prévoit que 2.500 véhicules puissent, pour chaque constructeur, rouler sans respecter les règles de sécurité, une nécessité pour réaliser des tests. Mais cette loi pourrait être amendée, pour faire passer ce nombre à 100.000. Suffisant pour lancer une service de taxis autonomes à grande échelle.
Au CES 2018 de Las Vegas, impossible de manquer les constructeurs automobiles : depuis l'avènement de la voiture autonome, la technologie et l'automobile sont deux secteurs qui ont fusionné, les voitures autonomes nécessitant Intelligence Artificielle et capteurs en tout genre pour fonctionner. General Motors semble toutefois prêt à franchir un cap majeur dans ce domaine.
Cruise : une voiture que seul l'ordinateur conduit
Tesla a déjà montré que la conduite autonome de niveau 3, soit une assistance poussée, est possible et les premières voitures autonomes de niveau 4 devraient arriver dans le courant de l'année 2018. Mais ce que tentent d'atteindre les constructeurs, c'est la conduite autonome de niveau 5, sur laquelle les autorités doivent encore se pencher : la voiture qui n'a aucun volant.
Si en Europe elles sont encore interdites, General Motors espère convaincre les autorités américaines de lui donner le feu vert et pour ce faire, quoi de mieux que montrer au monde entier qu'elle est prête à se lancer ? Au CES, le 12 janvier 2018, General Motors a donc présenté son projet Cruise, son premier modèle de voiture intégralement autonome.
La voiture ne dispose d'aucun volant ni d'aucune pédale, transformant de fait la place traditionnellement occupée par le conducteur en simple place passager. Personne n'a la main sur la voiture, si ce n'est l'ordinateur de bord, son Intelligence Artificielle et les capteurs placés un peu partout, notamment sur le toit.
Dans le détail, la voiture est une Chevrolet Bolt, le modèle 100 % électrique de chez Chevrolet, filiale de General Motors, dans sa quatrième version. Cruise Automation, start-up de la Silicon Valley dans laquelle GM a investi 600 millions de dollars, s'est chargée de la rendre 100 % autonome au point, justement, de pouvoir enlever volant et pédales.
GM n'a toutefois pas encore l'autorisation de la faire rouler : sans volant ni pédales, elle ne répond pas aux standards de sécurité en vigueur aux Etats-Unis ou ailleurs. Le constructeur a demandé une autorisation, mais cette dernière est un peu spéciale : il ne s'agit pas d'une exemption à certains standards, mais une demande d'y répondre d'une autre manière que celle prévue actuellement.
Si la demande est acceptée, GM prévoit de faire rouler ces voitures 100 % autonomes dans le cadre d'un service de taxis dès 2019. Ce serait possible : actuellement, la législation prévoit que 2.500 véhicules puissent, pour chaque constructeur, rouler sans respecter les règles de sécurité, une nécessité pour réaliser des tests. Mais cette loi pourrait être amendée, pour faire passer ce nombre à 100.000. Suffisant pour lancer une service de taxis autonomes à grande échelle.