Commentaires : Uber, c'est 3 000 signalements d'agression sexuelle en 2018 aux États-Unis

Critiquée dans plusieurs pays pour les comportements parfois déplacés de ses chauffeurs et les risques encourus par ses clients, la société californienne a livré un bilan chiffré qui fait froid dans le dos, mais qui fait aussi acte de transparence.

Difficile de tirer des conclusions sur des chiffres donnés par Uber lui même et surtout en l’absence de toute comparaison.

Plus les nanas gazées que l’on n’a jamais revues.

3000 agressions. Wow.
Sur 1,5 milliards de trajets. Gné ?

Soit, en gros, 10 fois plus de chance de se faire agresser dans un Uber (aux USA) que de mourrir en avion. Dis comme ça c’est flippant. Sachant qu’on a 86000 fois plus de chance de mourrir de la grippe en France, de quoi faut-il avoir le plus à craindre ?

Il faudrait surtout pouvoir comparer avec les taxis : comme il ne s’agit pas d’une seule société, c’est plus difficile d’avoir des chiffres fiables et le nombre pourrait paraître moins important dans l’absolu, mais il faut rapporter ça au nombre de courses.
La vraie question est : est-ce pire ou mieux que les taxis conventionnels ?

Alors, « …3 000 plaintes pour agression sexuelle signalées… » pour 2018.
Et c’est en baisse par rapport à l’année d’avant.
Mais ce n’est que maintenant (Fin 2019) qu’ils ont eu l’idée toute simple d’ajouter un bouton de signalement.
Sinon, pourquoi Uber ne dédommage pas les victimes ?
C’est bien en utilisant leur service que les agressions ont eu lieu.

Bonne question.

Parce qu’un « signalement » n’est pas une condamnation :roll_eyes:

Pour information :
Il va falloir arrêter de rendre responsable les victimes.

Le prochain qui sort une excuse dégueulasse du genre : « Elle était habillée comme ça, elle l’a bien cherché » se retrouvera satellisé pour quelques temps.

A bon entendeur …

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On en comprend pas le sens de ta phrase.

Ta question : Sinon, pourquoi Uber ne dédommage pas les victimes ?
Ma réponse : Parce qu’un « signalement » n’est pas une condamnation.

Il ne suffit pas de signaler une agression pour qu’elle soit réelle, c’est à la justice de le déterminer et non à la victime présumée. Si la victime est considérée en tant que telle, et uniquement dans ce cas je te rejoint, elle peut prétendre à dédommagement.

Mec… tu as lu l’article ?
« …3000 plaintes… » Il te faut quoi de plus ?
On porte plainte, et ca en reste là ?
Il me semble que c’est 3000 plaintes sont contre Uber et/ou leurs chauffeurs.
Alors « OUI », il se passe quoi pour Uber ?
Et là on parle de 2018 qui est en baisse, alors qu’en est-il pour l’année 2017 ?
Les instructions sont toujours en cours, sur plus de 3 000 plaintes de 2017 à 2018 mininum ?
Comment se fait-il qu’il n’y a aucune info sur une condamnation à leur encontre ?

Faut redescendre de 7 étages.
À quel moment j’ai dit (ou sous-entendu) que les victimes étaient responsable de quoi que ce soit ? Je dis qu’il y a de tout en ce bas monde. Je dis qu’une femme aussi peut avoir un comportement déplacé. Le reste c’est ton imagination.

Ou alors pour toi une femme est irréprochable ? alors forcement ce que je dis n’a aucun sens.

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3000 signalements … c’est quoi au juste au regard de la loi U.S. un « signalement » d’agression sexuelle ? Un peu comme une plainte… mais la victime de l’agression ne s’en plaint pas…?

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Oui j’ai lu l’article qui parle d’une répartition 50/50 entre clients et chauffeurs, d’ailleurs.
Je note surtout que l’article originel, le doc de Uber donc, ne semble pas parler de « plaintes » ni de « condamnations ».

Si tu trouves le passage où les 3000 « signalements » sont des plaintes au tribunal, et qu’elles ont donné lieu à des condamnations de chauffeurs comme de clients (et de Uber au passage) je suis preneur.

Connais-tu la différence entre « être poursuivis » et « être condamné »?