Commentaires : Des versions européennes de Wikipedia passent offline pour boycotter la Directive Copyright

Si la version française de la plus grande encyclopédie du monde se pose des questions, d’autres versions européennes ont décidé de baisser pavillon, face à la réforme du droit d’auteur.

En tant que créateur de contenus, je suis favorable à cet article 13. Trop marre de me faire piquer mon contenu, et qu’en plus les pilleurs se fassent du blé sur mon travail.

En plus cet article 13 va permettre d’avoir un web plus qualitatif, car seuls ceux ayant de vrais projets feront des demandes d’utilisation.

Cet article devrait permettre également d’abaisser les tensions sur le web car ce pillage des contenus est souvent utilisés à des fins de propagande, pour soutenir une idéologie ou encore pour se monter la tête.

Nous, les créateurs, sommes le coeur du web. Sans nous, pas de web. Il est plus que temps que l’on respecte notre travail et qu’on nous reverse l’argent qui nous revient.

Les verrous humains et numériques n’ont jamais empêché le vol et le piratage.
Pour une plateforme à but non lucratif comme wikipedia, ce genre de mesure est un gouffre financier et chronophage pour développer toute la chaine de controle de conformité.
Donc pour wikipedia qui galère à boucler ses fin de mois, ca s’annonce presque mortel et Internet dans son ensemble va perdre énormément en réactivité.

Si des gens te volent ton travail (image, son, video), il existe de nombreux organismes (scam, maison des artistes, sacem…) qui s’occupent des démarches en cas de vol.
Une nouvelle loi va juste pénaliser les acteurs du web qui devront trouver des partenariats ou afficher plus de pubs pour combler le manque à gagner, au final, c’est experience utilisateur qui va être dégradée

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tout ressemblera à la Duff dans les Simpsons qui eux même ressembleront à la Duff.
Le résultat sera le même que pour les droits de cultiver des variétés de plantes bio (150 000€ par variété), il faudra payer des gros ou accepter de voir son travail recouvert de pub de m… pour pouvoir diffuser et exploiter sa création.
Tout ça profitera aux gros, encore et toujours. Il faut créer une autre plateforme, indépendante et de partage libre, et libre de rémunération, sans pub pour bagnoles, bank, ou bouffe toxique.
Et ça ne protègera rien du tout. Piratebay et les autres auront toujours de l’avance.D’ailleurs où sont les Anon sur cette affaire ?

Wikipédia hors ligne : le niveau du Web vient immédiatement de significativement remonter.

J’applaudis l’effort, pourvu qu’il dure.

L’avenir c’est le partage et donc l’open source. Voir comment rémunérer les créateurs est un autre sujet. Pour moi l’UE va à l’encontre de l’histoire et nous savons que ce n’est pas l’interdiction qui empêche le piratage ou l’utilisation de ressources à mauvais escient. Si vous refaites l’historique au niveau musique et mp3 en particulier, on remarque exactement la même problématique. Des ayants droits qui se plaignent d’être piratés. La solution n’a pas été l’interdiction mais la mise en place de plateformes dédiés.

Concernant WIKIPEDIA j’ai rejoint ces milliers ou centaines de milliers d’internautes qui constatent preuves à l’appui la désinformation qui s’étalent sur Wikipédia , la fausseté d’un grands nombre de parution attribuant des travaux aux suiveurs, copistes, contrefacteurs et refusant de supprimer, rectifier, corriger ces erreurs, ces faussetés. Les pseudos modérateurs siégeant souvent en des terres reculées s’érigeant en érudits tout comme les rédacteurs qui postent sur Wikipédia. Wikipédia est tout comme tous autre site social éditeur de tout et n’importe quoi ce n’est en rien une encyclopédie puisque ceux qui y écrivent n’ont quasi tous aucune capacité à relater, dires, raconter sur les gens, personnages dont ils font histoire, inventions et créations sans en connaître des matières, filières professionnelles et techniques pas plus que du terrain de la chose. Wikipedia dans une très grande proportion viole les droits moraux, intellectuels, de création des véritables détenteurs. En tant qu’éditeur il en est judiciairement responsable et est pénalement condamnable pour chaque parution mise en ligne. L’Italie a judiciairement il y a peu pour des parution sur réseau la société éditrice.