Malgré les efforts des gouvernements européens, mais sans réelle surprise, le marché automobile est en berne. Avec près de 275 000 voitures particulières vendues en moins par rapport à la même période de 2019, l’épisode COVID-19 aura fait souffrir l’industrie automobile.
Heureusement qu’on peut compter sur les chemises vertes et les prophètes de l’écologie punitive apocalypique pour achever le marché, à grand coup de lois, taxes et pistes cyclables
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Les constructeurs nous prennent pour des pigeons. Les véhicules sont trop cher, consomment beaucoup trop, toujours aussi lourd, aucunes innovations pas de cycle vertueux.
Les véhicules consommant plus de 8 litres devraient être interdit. Il y a beaucoup trop de pousse-couillons et autres véhicules statutaires en ventes.
C’est un peu exagéré…
J’ai eu une Toyota Yaris 2 de 2008 à 2016 : 1.3 essence-boîte MMT5-1.100 kg-6,2 L/100 en été sans clim (elle n’en avait pas)-18.000 €
Depuis 2016 j’ai une Mazda 2 : 1.5 essence-bva6-1.000 kg-6,2 L/100 en été avec usage de la clim-21.500 €
(contexte des consos : je fais énormément de ville, un peu de nationales, et très peu d’autoroute)
Et je trouve la différence de prix après 8 ans justifiée par les évolutions mécaniques (entre autres, bva digne du segment supérieur, celle de la Yaris n’était qu’une désagréable boîte robotisée à simple embrayage) et le niveau d’équipement bien supérieur 